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L’amitié, tu sais, c’est comme une écharpe très douce dans laquel on s’enroule. Tu partages ça avec ton ami Max, c’est ton vieux pull en cachemire à toi.

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La vie est un fil.

Nous sommes tous des équilibristes.

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– On ne remplace pas l’amour par autre chose. On remplace les illusions, l’attente, les turbulences, la dépendance, les déceptions, les thérapies de couple, le rien, par des choses agréables, à portée de main, qui ne disparaîtront pas au premier coup de vent, à la montée de sève, au printemps.

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Elle ne veut plus de provisoire ni d'un spécimen sur mesure qui comblerait son manque au millimètre près. Elle ne veut plus de rêves géants et de réalité minuscule. Elle ne veut plus d'urgences qui se croisent. De mâles aux sexes aides et aux promesses floues. De nuits sans lendemains. Elle ne veut plus être un lieu de passage. Elle veut calmer sa course folle, poser ses valises, retrouver le même homme à côté d'elle chaque matin. Ouvrir les rideaux et dire à son chéri : "Qu'est-ce qu'on fait aujourd'hui ?" Elle veut rentrer le soir, qu'il lui demande comment s'est passée sa journée et lui poser la même question en retour. Un homme imparfait, des mots doux, des gestes tendres. Après, elle ne sait pas. on verra pour les grandes effusions, les serments, le coup de foudre avec orchestre symphonique, la grande histoire d'amour en couleurs. Elle veut voir le début du film, pas le générique de fin.

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« – … Au bout de la rue à droite, le Chou de Bruxelles. C’est le domaine de Nicole et Monique : deux ex-fonctionnaires de La Poste, reconverties dans les graines de courge, le quinoa et des légumes de toutes sortes. Surtout des choux : romanesco, violet, rouge, vert, chinois… Tu n’y échapperas pas, c’est leur dada. Un peu plus loin dans la rue… la librairie, avec ses vieilles étagères en bois. Le libraire, c’est Marcel. Un poète ! Il concocte des fiches genre coups de cœur. Tu peux lui faire confiance. À côté, y a le fleuriste. Son truc, c’est les bouquets japonais. Ces deux-là, tu les trouves souvent sur le pas de la porte en train de causer.

Carla avait continué pendant que Juliette buvait son café, les clés posées sur la table.

– Plus bas, un fromager, chez qui je ne vais jamais parce que tous les prix se terminent par virgule 99 et ça c’est plus fort que moi, je ne peux pas. Sur la gauche, la quincaillerie des frères Leroy. En tablier gris, à l’ancienne. Ils te font signe de la main quand tu passes devant la boutique. Quand tu entres, ils oublient de te servir, parce que, eux, ce qu’ils préfèrent, c’est commenter l’actualité… « Le quinze a mis une raclée aux Néo-Zélandais… le député est venu serrer les pinces pour qu’on vote pour lui dimanche. »

Plus moyen d’arrêter Carla. Juliette avait commandé un autre café.

– Il y a un cordonnier de l’autre côté du square, paraît qu’il a des mains en or. Je n’y suis pas encore allée. Chez Christian le boucher, il y a un banc. Comme il connaît tout le quartier, un jour il te présente Jacques et un jour Jacques te présente Hervé. Hervé c’est l’agent immobilier, qui, à cinquante ans, vit encore avec son père, sa mère et sa sœur. Ils se déplacent toujours ensemble, la famille Century ! Ils marchent les uns derrière les autres, Hervé en tête et, en dernier, le grand caniche blanc à pompons de sa sœur.

Séduite par cette description pittoresque, Juliette avait accepté la proposition de Carla, qui avait ajouté : « Je t’écrirai. » Tout s’était fait très vite. Juliette avait un nouveau chez-elle, alors qu’elle scrutait les annonces depuis des mois sans rien trouver. Mais des femmes de l’immeuble, elle ne savait rien, si ce n’est qu’elles avaient renoncé à l’amour. »

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Il n'y a que sur scène qu'on peut danser tous les jours la même chorégraphie avec son partenaire sans tomber. Dans la vie c'est plus périlleux.

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"Tes futures voisines sont des femmes attachantes, très différentes les unes des autres. Ce qui nous unit, c'est un même choix: il n'y a pas d'hommes dans nos vies et ça nous convient."

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Les médecins lui avaient dit d’un air grave que son cœur battait à deux cent quarante-sept pulsations minute. Ils avaient parlé d’une maladie de Bouveret, d’un fil électrique à sectionner pour éviter que ça se reproduise. Elle, elle savait que si son coeur avait piqué un sprint, c’était pour essayer de rattraper François qui s’enfuyait et que s’il y avait un fil à sectionner, il ne s’appelait pas Bouveret.

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Tu sais, les pensées, c’est comme des insectes. Quand tu les entends voler, reviens à ta respiration. Il y a une oasis à l’intérieur de toi, elle attend que tu viennes t’y reposer, te défroisser.

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On ne remplace pas l’amour par autre chose. On remplace les illusions, l’attente, les turbulences, la dépendance, les déceptions, les thérapies de couple, le rien, par des choses agréables, à portée de main, qui ne disparaîtront pas au premier coup de vent, à la montée de sève, au printemps.

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