Descrip­tions

Lola : le jour assistante de Natacha dit « le Dragon », la nuit auteur de roman érotique dont le personnage principal « Julia » a une vie sexuelle débordante ... Ce qui est loin d'être le cas de Lola ... Jusqu'au jour où notre héroïne, en retard au bureau pour ne pas changer, rencontre Jérémy Hamlish. Un bel, très bel étalon à la carrure de rugbyman aux cheveux mi-long, aux yeux ravageurs, nouveau patron de Hamlish Entreprise Holding et accessoirement celui de Lola.

Ce dernier ne laisse d'ailleurs pas indifférent notre petite ronde préférée qui fantasme totalement sur ce morceau de viande. Elle va d'ailleurs se changer dans le même ascenseur dans lequel est monté son futur boss ... Séance de voyeurisme garanti... Sauf que Lola est à mille lieu de se douter de qui s'agit il jusqu'au moment d'une réunion où elle réalise sa boulette MONUMENTALE ! D'autant que les employés vont devoir s'entretenir en particulier avec M. Sexy-Fossettes ; surnom personnalisé façon Lola.

Par ailleurs, elle va avoir l'occasion d'expérimenter ce qu'elle fait vivre à Julia dans ces récits, en se rapprochant très nettement de ce beau mâle empli de testostérone. Elle n'imagine même pas un instant que l'objet de ses fantasmes est loin de celui qu'il prétend être !

Moi, c’est Lola. Petite (pas tant que ça). Grosse (no comment). Et exhibitionniste (mais jamais exprès !).

Auteur de romans érotiques la nuit et, le jour, assistante d’une chef aussi tyrannique que botoxée pour une grosse boîte new-yorkaise : jusque-là, je ne m’en sortais pas trop mal – enfin, si on oublie le désert de ma vie sentimentale qui se résumait à de ponctuels tête-à-tête romantiques avec Jeannot-le-vibro.

Mais il a fallu que mon P-DG décède (l’égoïste !) et que son fils débarque dans nos bureaux pour le remplacer. Joseph Hamlish n’est plus, vive Jérémy Hamlish ! Alias M. l’héritier-et-fier-de-l’être, alias M. JE SUIS UN DIEU VIVANT – ou « gare à vos culottes » pour les intimes.

Et c’est là que tout s’est compliqué. Parce que moi, j’ai beau être une fille bien sous tous rapports, le jour où je me suis retrouvée dans un ascenseur avec l’incarnation de mes fantasmes, forcément, j’ai dépassé les bornes. Et le pire c’est qu’aujourd’hui, je n’ai qu’une envie : recommencer.