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École des loisirs, p. 181

« Il ressentait une forme d'angoisse à l'idée que cette loutre n'hésiterait pas à le punir s'il ne l'a libérait pas comme prévu. Le punir ? Une loutre, punir un lapin comme lui ? Pourquoi pensait-il des choses pareilles ? Cette femelle menait la Résistance, et il la craignait ! C'était absurde ! Il fait dire que l'idée d'une femelle menant quoi que ce soit lui inspirait d'étranges sentiments. Les femelles ne pouvaient faire autre chose que de rester sagement dans un terrier à préparer un nid, à accoucher ou à nourrir des enfants. Évidemment, les lois de Londinium, en limitant les naissances, changeaient lentement la donné. Certaines femelles ne considéraient plus la maternité comme leur principale occupation. »

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École des loisirs, p. 124

« Arsène avait déjà bondi. Friser les moustaches ! Et puis quoi encore ! Il n'allait pas finir comme cet atroce détective belge au nom de légume dont Johnny lisait avidement les aventures... Comment s'appelait-il déjà ? Hercule Laitue ? Hercule Panais ? »

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École des loisirs, p. 111

« — [I]l se passe quelque chose de plus général, maman, et de plus grave.

— Plus grave qu'une renard qui a saigné un lapin ? Dans quel monde vis-tu, mon chéri ? Oh ! Je sais, un monde de perdition, dans lequel les lapins se bourrent de lucernum et passent leur temps dans des bouges tenus par des opossums, plutôt que de rendre visite à leur vielle mère... »

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École des loisirs, p. 70

« — Arsène, c'est pas un peu tôt pour une serpolette ?

— Non. Je suis complètement dévarié par ces creusements matinaux. Et je n'ai pas fumé la moindre pipe de lucernum aujourd'hui...

— Tu suis un programme de santé, ou j'ai raté une circulaire du ministère de l'Hygiène ? »

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École des loisirs, p. 65

« Finalement, les fanes de radis l'avaient emmené bien loin dans le passé. Trop loin ? Peut-être qu'il fallait vraiment s'en tenir aux pissenlits. »

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École des loisirs, p. 63

« Cette liberté, ils en avaient entendu parler, bien sûr, depuis Paris. Le monde entier bruissait de ce que Londinium offrait aux animaux, et c'était pour ça que l'immigration y était si difficile. Mais en entendre parler était une chose, le vivre, une autre. Tout à coup, la journée ne se passait plus à échapper à un prédateur. Les humains n'avaient pas le droit de vous manger. Le fait que la consommation de viande soit interdite dans la cité, même pour les animaux, freinait d'ailleurs les velléités d'immigration de certains prédateurs. Les humains ne pouvaient pas non plus vous mettre en cage, et le zoo avait été aboli. Seuls les animaux qui le décidaient vivaient asservis par les humains [...]. »

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École des loisirs, p. 59

« — Oui, bon, dis-moi exactement ce qu'il se passait entre vous ?

— Que crois-tu qu'il puisse se passer entre une loutre et un lapin ? Je suis fou amoureux d'elle, c'est tout. Mais c'est bien pour ça que je veux la revoir. Parce que je veux continuer à ma regarder et profiter de sa compagnie. C'est pas comme si je tombais amoureux d'une lapine et que je risquais de me retrouver père de famille à devoir nourrir huit gosses et une bonne femme qui ne me plaît plus...

Arsène ne dit rien. Il savait que Johnny venait d'une famille malheureuse. Il en parlait peu, mais ses parents étaient morts d'épuisement à force de faire des enfants qu'ils ne parvenaient plus à nourrir. »

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