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C'est vrai Keitaro, t'as beau être bêta et pervers, tu restes quand même notre gérant...
Afficher en entierSû, t'approche, pas de lui, la bêtises est contagieuse tu sais... ”
Afficher en entier"Keitarô ! Tu m'as fait une promesse ! Tu vas pas renoncer maintenant ?! Et ta promesse alors ?! T'avais dit qu'on entrerait à Tôdai ensemble !"
Afficher en entierExtrait du journal de Naru :
J'ai encore aidé l'autre idiot à bosser aujourd'hui... Comment fait-il pour ne pas comprendre des trucs aussi simples ?! Quoi qu'on dise, un crétin reste un crétin ! J'ai eu confirmation aujourd'hui que ce crétin-là est l'incarnation même de la crétinerie absolue !
Afficher en entierOn s'est souvent disputés et elle m'en a fait voir de toutes les couleurs. Elle m'a beaucoup charrié, mais aussi beaucoup aidé.
Finalement, elle a toujours été à mes côtés.Le concours est déjà demain, mais j'aimerais bien que nos rapports restent les mêmes. "
Afficher en entierGâteau choco spécial Keitaro, Saint-Valentin 1999, goût extra aux amendes amères ! "
Afficher en entierKeitarô : J'ai déprimé, alors ma moyenne en prépa s'est cassé la gueule, et c'est comme ça que je me suis fait jeté par mes parents. Voilà toute l'histoire de ma triste vie.
Afficher en entierEt merde, j'ai encore fait pleurer Shinobu... C'est exactement comme le mikuji le disait ! Il suffit que je m'approche d'une fille pour qu'un malheur arrive !
Afficher en entierMotoko : Pourquoi tu fais pas reboucher ce trou, Naru ?
Naru : Ben... Avant, c'était grand-mère qui était en dessous, et y avait pas de problème... (Mais... Maintenant c'est la chambre de l'autre idiot...) Après tout, c'est toi le gérant, pas vrai ? C'est toi qui dois réparer ça...
Keitarô : Mais, il est bien pratique, ce trou !
Naru : Moi, il me gêne !
Kitsune : C'est vrai, y a qu'une toute petite planche qui sépare vos deux chambres... On pourrait entendre des bruits étranges au milieu de la nuit... ♥
Afficher en entierKeitarô, à l'agonie : (Raah ! Motoko, reviens vite ! J'ai changé d'avis sur toi : je commence à comprendre ta douleur de vivre avec elle [Sû] tous les jours ! Revieeeens, je t'en priiiiie !)
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