Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
716 769
Membres
1 022 921

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Et Geoffroy le frappa de l'épée sur la cuisse : il lui enleva un morceau de fesse d'une bonne quinzaine de centimètres d'épaisseur.

Afficher en entier

La bibliothèque du duc, qui possède une collection de manuscrits d'une richesse inimaginable, n'avait pas de rivales. Sa suprématie "n'a jamais été contestée par personne, et ce fut de tout temps un titre d'honneur pour un livre d'avoir appartenu à celui qu'on pourrait nommer le prince des bibliophiles français".

Afficher en entier

- Ah ! Raimondin, le jour où je t'ai vu pour la première fois a été pour moi jour de malheur ! Hélas ! c'est pour mon malheur que j'ai vu ta grâce, ton allure, ton beau visage, c'est pour mon malheur que j'ai désiré ta beauté, puisque tu m'as si ignoblement trahie ! Bien que tu aies manqué à ta promesse, je t'avais pardonné, au fond de mon cœur, d'avoir cherché à me voir, sans même t'en parler, parce que tu ne l'avais révélé à personne ; et Dieu te l'aurait pardonné, parce que tu en aurais fait pénitence en ce monde. Hélas ! mon ami, maintenant notre amour s'est changé en haine, notre tendresse en cruauté, nos plaisirs et nos joies, en larmes et en pleurs, notre bonheur, en grande infortune et dure calamité. Hélas ! mon ami, si tu ne m'avais pas trahie, j'étais sauvée de mes peines et de mes tourments, j'aurais vécue le cours naturel de la vie, comme une femme normale, je serais morte normalement, avec tous les sacrements de l'Église, j'aurais été ensevelie en l'église de Notre-Dame de Lusignan et on aurait célébré comme il se doit des messes de commémoration pour moi. Mais maintenant tu m'as replongée dans la sombre pénitence que j'avais longtemps connue, à cause de ma faute.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode