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Or il est six heures
Providentielles
Et abrupte est la giroflée du réveil-
C’est la fanfare du radioréveil
Du coloc Salamandre-
Un coup de fil malvenu
M’appelant aux corvées et aux pensums-
M’enjoignant
Debout Lutin !
Soit les jacasseries crispantes
De Monsieur météo
A la télé qu’on n’aura pas éteinte
La veille la nuit
Soit le vil ramdam de la BOM
Benne à ordures ménagères
Les vociférations du bourrier
Une heure plus tard
C’est la cloche sonnant
A l’école voisine
Dont je me contrefiche-
Étant déjà en classe
A l’école de Rome
Scola libre
Moi qui prépare mon avenir
A la force du poignet-
J’oubliai
..................
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.......
J’ai une fois vu
Une Gauloise berchue
Actrice boule noire***
D’au moins soixante ans
Qui disait en avoir
Quarante-quatre toute nue
Avant d’exsuder
Auprès d’un ponctuel galant
Comme une taure
Son astre
Est moins romanesque
Que la Cité du Mont Alban****
Plus noir
Que le Grand Noir du Berry*****
Le Couloir
Quand hier
Je jouai ma dernière
Au jeu du nain jaune
Lindor
Mes Huit années dans le corridor
Flore texane
Trèfles à quatre feuilles
Foulards de femme*
J’espérais
Le Vase d’or
Hélas
.......
.......
Or il est six heures
Providentielles
Et abrupte est la giroflée du réveil-
C’est la fanfare du radioréveil
Du coloc Salamandre-
Un coup de fil malvenu
M’appelant aux corvées et aux pensums-
M’enjoignant
Debout Lutin !
Soit les jacasseries crispantes
De Monsieur météo
A la télé qu’on n’aura pas éteinte
La veille la nuit
Soit le vil ramdam de la BOM
Benne à ordures ménagères
Les vociférations du bourrier
Une heure plus tard
C’est la cloche sonnant
A l’école voisine
Dont je me contrefiche-
Étant déjà en classe
A l’école de Rome
Scola libre
Moi qui prépare mon avenir
A la force du poignet-
J’oubliai
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