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- Qu'y a-t-il, Jess?
Jessica adressa un sourire las à Constanza. Elle aurait voulu pouvoir partager ses inquiétudes avec quelqu'un mais, étant la seule midnighter à n'avoir pas séché les cours ce jour-là, elle ne pouvait compter que sur elle-même.
- Rien, seulement...
Que pouvait-elle dire?
- Quelques nuages sur Coupleville?
Jessica hocha la tête.
- Plus au moins.
- Allez, raconte-moi. (Constanza sourit.) Je sais que tu en as envie.
Ce qui était vrai. Et puis, Jessica n'avait pas juré de garder le secret sur tous les aspects de sa vie.
- Eh bien, Jonathan est vraiment super, la plupart du temps. Surtout la nuit.
- Mais pas aussi super le lendemain matin.
Jessica leva les yeux au ciel.
- Ce n'est pas un question de lendemain matin. Il n'y a pas eu de lendemain matin. Je te parle d'ici, au lycée. Je le trouve un peu distant quand nous sommes tous les deux.
- Ah, j'ai compris. Il a peur des DPA.
- Oui. Les démonstrations publiques d'affection ne sont pas sont truc. Pas plus que les démonstrations privées, d'ailleurs. Sauf la nuit. C'est un peu difficile à expliquer.
Constanza ricana.
- Pas tant que ça.
- Je veux dire, ce n'est pas ce que tu crois.
- Qu'est-ce que je croie?
Jessica sentit un sourire lui éclairer son visage.
- Que crois-tu que je crois que tu crois?
Constanza plissa les yeux.
- Je crois que tu vois très bien ce que je veux dire.
Afficher en entierPage 109: "-Donc l'alarme sonne, la famille se réveille, inspecte toute la maison, mais les cambrioleurs, les satanistes ou je ne sais quoi ont déjà disparu. Comme volatilisés.
[...]
L'entendre évoquer des événement qui n'avaient pu se dérouler qu'au cours de l'heure secrète lui donnait le tournis.
-Qu'est-ce qu'ils ont fait?
Constanza passa son bras sous celui de Jessica et l'entraina vers la bibliothèque.
-C'est ça le truc. Ils n'ont rien volé du tout. Ils ont seulement retourné la maison en laissant des symboles sans queue ni tête derrière eux. Par exemple, il y avait une porte avec douze couteaux plantés dedans. Et du sang sur l'un des couteaux."
Afficher en entier_ salut, beth, je m'appelle jonathan, déclare-t-il poliment. très heureux de faire enfin ta connaissance.
Afficher en entier-Réveille-toi! Tu as une commotion. Si tu t'endors, tu risques de mourir.
-ça me vas, grommela Mélissa.
-Quelle coïncidence. ça me vas aussi.
Afficher en entierpage 223 à 224
--Tu es là!
--Je m'apprêtais à partir en fait.Tu ne vas pas à la soirée?
--Non,je ... Jade,il faut que tu m'aides.Il y a ... un ... homme dans ma chambre!
--Brava,lapin!Meme s'il faut avouer que cela n'a rien d'un grand exploit dans cette ville.
Je secoue la tête.
--Non,non!Je n'ai pas ...il est juste...écoute...je suis rentrée et je l'ai trouvé dans ma chambre!Il s'est invité.Et je n'arrive pas à le faire partir.(Je la gratifie d'un regard.)J'ai une grosse panne de communication.Pourrais-tu venir lui expliquer que sa compagnie ne m'intéresse pas?
Elle heusse les épaules.
--Si tu y tiens.
Quelques instants plus tard,nous nous tenons toutes les deux sur le pas de la porte.Mon petit ami italien se fend d'un sourire confiant en avisant Jade à mon coté,croyant probablement à tort que ce bracelet lui a permis d'acheter la nuit la plus chanceuse de sa vie.C'est blessant-même pour quelq'un d'ouvert comme moi.Croit-il que l'on peut acheter toutes les Américaines avec un repas,des sous-vetements hors de prix et des bijoux?
D'accord les bijoux étaient tentants....
--Signore...,commence Jade en commençant à discuter avec lui,en me traduisant les parties importantes.
--Il s'appelle Luciano.C'est l'héritier d'une fortune du textile....Il t'a vu défiler pour Miu Miu aujourd'hui et il est tombé fou amoureux de toi...
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