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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par Cali80 2024-02-25T19:27:11+01:00
Or

Un conte tout en noir et blanc, avec de belles illustrations qui viennent compléter le texte qui est relativement court, et apporter des informations supplémentaires.

Une histoire sur l'acceptation de la différence, une amitié touchante.

"Les monstres nous ressemblent parfois et les cages sont faites pour être brisées".

Un très bel album jeunesse.

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Commentaire ajouté par Judefch 2023-07-26T13:35:26+02:00
Argent

Petit roman jeunesse (à partir de 8-9 ans) sur la différence. Les illustrations prennent beaucoup de place donc le roman est finalement assez court et se lit très vite. Elles sont assez sombres mais vraiment très belles.

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Commentaire ajouté par Les_petites_lectures 2023-06-22T13:08:24+02:00
Bronze

J'ai bien aimé ce roman.

Les illustrations sont assez sombres mais rajoutent un plus à l'histoire. Le point de vu de l'auteur sur la définition d'un monstre est très intéressante ( qu'est ce qu'un monstres ? en quoi est-il monstrueux ? ou diffèrent de nous ?)

C'est aussi une très belle histoire d'amitié avec deux garçons qui s'unissent au premier regard.

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Commentaire ajouté par Isallya 2023-06-04T08:53:24+02:00
Or

J'ai bien apprécié ce petit roman, plus profond qu'il ne semble l'être de prime abord puisqu'il bouscule toute notion de normalité. L'intrigue est quant à elle simple et efficace et les illustrations sont un vrai plus en renforçant le côté "conte" de l'histoire.

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Commentaire ajouté par vampire44 2023-05-26T21:46:02+02:00
Or

Très bon livre jeunesse parlant du rejet d'une personne par rapport à son physique. Ce livre parle aussi de l'amitié entre deux jeunes qui s'allie au premier regard. Ce roman graphique est tout aussi émouvant que intéressant. Les dessins très bien réussi rajoute un gros plus à ce livre.

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Commentaire ajouté par Shaynning 2023-04-16T20:35:24+02:00
Argent

Incontournable Avril 2023

"Monstres" est ce genre de roman qui a tout pour lui. On s'en rendra compte après coup, mais cette magnifique couverture, où le noir côtoie le doré, est révélatrice de ce qu'on y trouve. On y trouvera un coeur en or dans un monde ténébreux, des contrastes qui ne sont pas simplement d'ombres et lumières, et qui servit par monsieur Servant, offre une fois encore à l'univers de la littérature intermédiaire une oeuvre tirant sa grande force d'une histoire sobre à la portée universelle. Si j'ai déjà vu ce genre d'histoire où le "monstre" côtoie l'humain, je n'avais jamais vu cette tournure.

Quelque part au bout du monde, accessible par un sentier poussiéreux, un village isolé se voit visité par une troupe d'artistes ambulatoires, le cirque d'Érêves. Pour le jeune Otto, voilà une distraction surprenante dont les promesses d'exotisme et de frissons du maître de cérémonie viennent bout de tous les doutes des habitants. Son émois est cependant obscurcit par quelques canailles bien connues qui lui associe des sobriquets mesquins et laissent entendre que le "monstre" promis par le cirque promet d'être aussi horrible que lui. Otto et ses parents vont assister au spectacle, comme tous les autres, mais ce qu'il trouve dans cette cage à monstre ne correspond pas à l'idée qu'il se fait de la monstruosité. Au jeu des apparences, le coeur a bien souvent les meilleurs yeux.

Poétique, intriguant, pas exactement dans le registre épouvante, plutôt à la frontière de celui-ci, j'y retrouve cette impression angoissante et désespérément humaine du roman "Frères noirs" où des enfants étaient vendus pour devenir ramoneurs dans des conditions de vie sordides. le lien? Cette lumière qui perce même les coins les plus sombres et le style graphique en clair obscure sinistre. Ici, c'est plus évident car la "monstruosité " est présente dans sa forme physique, et non avec son visage d'humain adulte intéressé, comme dans "Les Frères noirs". Seulement, ce n'est pas ce que vous croyez.

Attention, je compte divulgâcher.

Avec une habile ambiguïté liée étroitement aux illustrations, sans qui l'effet aurait été moins percutant, on se retrouve dans un envers de miroir. Ici, le monstre a une peau lisse et blanche, une morphologie symétrique, des yeux ronds et aucunes cornes, griffes ou autres potentiels attributs "monstrueux". En somme, un humain. Un humain qui a le même prénom, qui plus est.

En y revenant, je constate que cette légère impression de malaise vient justement des illustrations. Ces étranges têtes de bois cornues, ses visages cachés par la pénombre, cette peluche à l'oeil anormalement tombant ou ces villageois vus de dos donnent certains indices quand à la nature réelle des habitants du village qui est , rappelons-le, isolée. Commodément.

Otto se profilait déjà comme un personnage singulier dès le début, avec le traitement des autres personnages à son endroit, qui n'a rien de sympathique. Heureusement, ses parents sont aimants, ce n'est donc pas un enfant martyr, mais on sent qu'il a une "différence". Est-ce vraiment son physique? Peut-être. Il semble avoir un décalage avec les autres monstres, en témoignent les horribles faciès des pages 40-41 où l'on voit Otto à travers les autres personnages de son village. Il est une sorte d'enfant-félin, avec un pelage, des moustaches et un museau. Cette espèce d'anthropomorphisme contraste avec les autres, davantage des altérations faciale dotés d'attributs prédateurs ou de difformités à des degrés variables. En ce sens, Otto semble effectivement différent et son visage est aussi très symétrique. Peut-être y a t-il un peu de "laideur" en ce sens, aux yeux des autres, pour qui les canons esthétiques sont "monstrueux". Mais je pense qu'avec ce sobriquet de "Coeur de piaf" ( Coeur d'oiseau), les intimidateurs visent aussi sa "sensibilité" singulière, son manque d'attrait pour la destruction, sa douceur de tempérament et son côté rêveur. Otto présente des traits qu'on estime peu dignes des monstres, j'imagine, mais en même temps, je me fais la réflexion que les garçons qu'on élève à devenir "virils" ont le même genre de tare, celle de diminuer ce qui leur semble ne pas correspondent à leur vision idéal du "mâle", ou dans ce cas-ci, du "monstre". La situation d'Otto est donc on ne peut plus humaine, dans cette optique.

Otto prendra contact avec le "monstre de la cage" du cirque. Alors qu'on jetais des aliments au garçon à travers les barreaux de sa cage, Otto lui a plutôt tendu cette dernière avec la mains, comme on offre un présent. L"humain en cage se met alors à chanter, ce qui déconcerte les habitants. À l'instar de l'animal qui rugit, l'action choque. Mais pas Otto. Au contraire, il semble cultiver une forte empathie. Éventuellement, le "monstre" s'évade du cirque, ce qui cause une commotion dans la petite collectivité. C'est Otto qui fini par tomber sur lui, caché dans un poulailler. À force de chants et de mimiques, ils en viennent à se communiquer leur intentions. Otto réalise même que le monstre porte le même prénom et qu'il vient de l'autre côté du lac. L'enfant décide de l'aider à regagner son foyer. Quand les deux enfants se trouvent confrontés à la même petite bande voyous qui harcèlent Otto l'enfant-félin, ce dernier décide de faire face, pour une fois. Refusant d'écraser le malheureux petit oiseau prisonnier des voyous, en le laissant au contraire s'envoler, et ultimement, tient tête aux autres enfants. Je vous laisse découvrir comment.

Une chose est sure: Dès lors, Otto ne se laissera plus atteindre par les moqueries et il inspirera autre chose que du mépris. Otto le monstre regagnera son foyer.

Fait étrange, quand Otto le monstre chante, Otto l'enfant-félin semble entendre son histoire. On ne sait pas si c'est là son imagination ou une forme de télépathie, mais c'est grâce aux illustrations qu'on voit ce qui est arrivé à Otto le monstre. Enfant prit au coeur d'une bisbille d'adultes, déraciné de la ville au profit de la campagne, on peut imaginer que cet enfant fugueur en a eu assez de son foyer dysfonctionnel. Faut amusant, son sac à dos et son jouet fétiche sont à thématique monstrueuse.

Histoire d'amitié et de contact empathique, c'est aussi une histoire d'émancipation, de part et d'autre. J'ai trouvé ce roman étrangement doux pour un registre aussi lugubre. Je reconnais aussi la plume habile de Stéphane Servant sur le fond humain et les relations interpersonnelles. Comme mes lecteurs intermédiaires, les 8 à 12 ans, sont particulièrement réceptifs aux histoires à connotation épouvante, tout comme à la diversité de manière générale, je pense que cet hybride roman-roman graphique n'aura pas de mal à se trouver une place dans les écoles comme dans les foyers ( quoique son prix risque de rebuter certains budgets). Une autre belle découverte pour la littérature jeunesse intermédiaire!

Pou un lectorat à partir du second cycle primaire, 8-9 ans+.

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Commentaire ajouté par MaevaCerise 2023-04-08T11:00:29+02:00
Lu aussi

Jeu très intéressant sur le point du vue et narrateur, la perception de ce qu'est un monstre, ce qui définit un monstre et ce qui nous rend différent. Dessins très beaux mais sombres. Intéressant.

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Commentaire ajouté par PlumeB 2023-02-25T13:43:52+01:00
Argent

Une très agréable lecture, pleine de suspense, qui joue sur la curiosité et les frissons, entre la découverte d'un beau style d'écriture et de dessins captivants.

Il y a quelque chose de désarçonnant dans le trait de crayon et dans le style de dessin. Le tout est très immersif dès les premières pages. La couverture intrigue. À la fois effrayant et envoûtant, poétique. L'univers dessiné est très happant et intéressant. L'écriture est poétique. Pour un joli message.

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Commentaire ajouté par Lillyunlivre 2023-02-22T11:37:59+01:00
Argent

MON AVIS

Quand on lit le résumé, on se demande à quoi va ressembler ce monstre unique que va présenter ce cirque de passage.

Le jeune Otto est un peu à part, il ne s’entend pas forcément avec les enfants de son village, mais mène une petite vie tranquille avec sa famille sans souci majeur. Voilà qu’un cirque débarque au village, pour le plus grand plaisir de tous, surtout quand le cirque propose de découvrir un monstre unique en son genre !

Alors que tout le village se réunit sous le chapiteau aux heures les plus tardives de la nuit, le monstre se dévoile sous le regard médusé et terrifié de tous, même du jeune Otto.

Bon je ne vais pas dévoiler la nature du monstre, mais je m’étais posée plein de questions sur ce fameux monstre et lorsqu’il a été dévoilé, j’ai compris le sens de ce conte, car pour moi s’en est un.

Les graphismes sont vraiment beaux, ils laissent planer le mystère pour ensuite révéler un monde bien différent de ce que l’on peut imaginer. Sans les illustrations, l’histoire serait bien différente je pense.

Bon la petite leçon de ce conte, qui n’est pas fées, c’est que la définition d’un monstre dépend du point de vue et cela ne va pas s’appliquer qu’au monstre quand on réfléchit bien, ne dit-on pas toujours qu’il a plusieurs vérités et qu’elle dépend de qui la raconte ?

J’ai vraiment apprécié et ne peut que le recommandé.

Pour l’âge visé, je dirais que cela va plus dépendre de l’enfant s’il peut comprendre ou non cette petite leçon, car les illustrations même si personnellement j’aime beaucoup restent assez sombres pour un tout petit qui en général préfèrent les tons colorés.

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Commentaire ajouté par FungiLumini 2023-02-18T12:54:02+01:00
Argent

Une édition magnifique pour une histoire toute mignonne, bien qu’assez prévisible, agrémentée de somptueuses illustrations noir et blanc tout au long des pages. Une lecture pour le plaisir des yeux !

En savoir plus sur : https://livraisonslitteraires.wordpress.com/2023/02/18/monstres/

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