Extraits

— Il ne manque plus qu’une admission en fac et j’aurai absolument tout ce que je désirais, avoue - t - il.

Je le dévisage en me mordant la lèvre.

— Ah, parce que je faisais partie de ce que tu désirais ?

— Bien sûr, jolie Diana. Ce n’est pas parce que ton côté parfait m’agaçait que je ne te voulais pas.

point de vue de Corey

- Sa réflexion est ridicule, Diana. Mon père a grandi à Brooklyn. Il n'est pas né avec un balai dans le cul, il se l'est mis après, en gagnant du fric. Ma mère ne peut pas te reprocher une chose pareille alors que son marie était se qu'elle appelle un "torchon".

point de vue de Corey

- Tu juges quelqu'un sur ses fringues? Tu es si superficielle, Shannon! Quand elle sortira diplômée de Yale et heureuse dans sa vie et que toi tu bosseras dans l'entreprise de ta mère parce que tu n'as rien réussi, que tu seras mariée à un homme riche à qui tu serviras de potiche, tu reconsidéreras peut-être tes propos. En attendant, tant que tu continueras à être aussi méchante, oublie moi.

point de vue de Corey

- Qui t'as dit une chose pareil ? s’énerve-t-elle.

- Aucune importance, ce qui compte c'est que c'est vrai. Alors accepte, et la paix est à toi. Refuse, et tu n'auras plus qu'a croiser les doigts pour que notre cohabitation ne soit pas trop catastrophique.

Quand on aime quelqu’un on ne l’oublie jamais.

Lorsque l’on apprend vraiment à connaître quelqu’un, qu’on se rend compte que cette connexion physique est aussi psychique.

Il est souvent difficile de faire les bons choix