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S’efforçant de couvrir leurs voix, William se lança dans des salutations alambiquées et, dans un élan de galanterie, alla jusqu’à baiser la main de Mme MacKenzie. Dans la foulée, il baisa également celle du bébé, provoquant l’hilarité générale. M. MacKenzie le regarda bizarrement mais ne sembla pas en prendre ombrage. Il lui serra la main avec une vigueur toute républicaine puis, histoire de montrer qu’il avait lui aussi le sens de l’humour, enjoignit à son fils de tendre la sienne à son tour. Intrigué par l’épée d’apparat de l’officier, l’enfant lui demanda :

— T’as déjà trucidé quelqu’un ?

— Non, pas encore, répondit William avec un sourire.

— Mon grand-père, lui, il a zigouillé une vingtaine d’hommes !

— Jemmy !

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S'il existait des nuits où les anges descendaient marcher sur terre, je priais pour que celle-ci soit l'une d'elles.

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- Tu ne pouvais pas pleurer quand les enfants sont partis, ni pour ta maison, ni pour ton petit jardin, ni pour la pauvre jeune fille et son bébé. Mais tu pleures pour ton chat parce que tu sais que tu pourras t'arrêter.

- D'où tiens-tu ça ?

- Parce que moi non plus je ne peux pas pleurer sur toutes ces choses, Sassenach, et je n'ai pas de chat.

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- Oui, c'est bien ce qu'il me semblait, dit-il en se frottant la joue. Veux-tu bien venir au lit avec moi, Sassenach ? Il n'y aura que nous deux.

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- Jamie, dis-je enfin. Tu es... tout. Toujours.

Une heure plus tard, nous quittions Fraser's Ridge.

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L’expérience avait été traumatisante pour l’enfant qu’il était alors. Il avait effectué le voyage dans les montagnes plongé dans un état de profond abattement, ayant perdu sa mère un mois plus tôt. Quand lord John était tombé malade, il s’était convaincu qu’il allait l’abandonner à son tour, le laissant livré à lui-même au milieu des étendues sauvages. La peur, l’angoisse et le chagrin avaient accaparé son esprit au point qu’il ne conservait que quelques souvenirs confus de leur visite. Il se rappelait vaguement que M. Fraser l’avait emmené pêcher et l’avait traité avec bienveillance.

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Le vieillard dévisagea longuement Ian, ses épais sourcils hérissés de longs poils gris et frisés. Ses yeux étaient tout aussi gris, et froids comme l’acier.

— C’est trop facile, mon garçon, déclara-t-il d’une voix grinçante.

Il baissa les yeux sur Rollo debout près de son maître, les oreilles dressées et le regard méfiant.

— Me donneras-tu la vie de ton chien ?

Le masque de Ian se fissura l’espace d’un instant, le choc et l’horreur le faisant soudain paraître très jeune. Il reprit contenance rapidement, mais ce fut d’une voix brisée qu’il répondit :

— Non. Il n’a rien fait. C’est… c’est mon crime, pas le sien.

Arch sourit, à peine un mouvement des lèvres qui ne se refléta pas dans son regard.

— Tu vois… De toute façon, ce n’est qu’une bête infestée de puces. Pas une épouse.

Il avait à peine murmuré le mot « épouse ». Il s’éclaircit la gorge et regarda fixement Ian, puis Jamie, puis moi.

Mon sang déjà glacé se figea.

— Pas une épouse, répéta-t-il.

Lentement, il dévisagea à nouveau chaque homme, Jamie, Ian. Il s’arrêta sur ce dernier un instant qui parut durer une éternité. Puis il déclara calmement :

— Le jour où tu auras quelque chose qui vaudra la peine d’être pris, mon garçon, on se reverra.

Il tourna les talons et marcha en direction des arbres.

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Le corps est incroyablement malléable. L'esprit, plus encore. Pourtant il y a des lieux dont on ne revient pas.

Tu le crois vraiment, a nighean ? C'est vrai que le corps peut facilement être mutilé, et l'esprit dénaturé... mais il y a une part en l'homme qui ne peut jamais être détruite.

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« S’efforçant de couvrir leurs voix, William se lança dans des salutations alambiquées et, dans un élan de galanterie, alla jusqu’à baiser la main de Mme MacKenzie. Dans la foulée, il baisa également celle du bébé, provoquant l’hilarité générale. M. MacKenzie le regarda bizarrement mais ne sembla pas en prendre ombrage. Il lui serra la main avec une vigueur toute républicaine puis, histoire de montrer qu’il avait lui aussi le sens de l’humour, enjoignit à son fils de tendre la sienne à son tour. Intrigué par l’épée d’apparat de l’officier, l’enfant lui demanda :

— T’as déjà trucidé quelqu’un ?

— Non, pas encore, répondit William avec un sourire. »

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- Tu sais, il y a une raison pour laquelle le héros ne meurt jamais. Dans la pire des situations, il faut bien que quelqu'un garde la tête froide pour prendre les décisions. Rentre te réchauffer dans la cabane.

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