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—C’est du sarcasme que je détecte, inspecteur Rojas ?

—Ouah. Tu as une intuition hors du commun. Je suis impressionné.

Je gloussai.

—D’accord. Sois prudent. Je t’aime.

Je raccrochai, en souriant comme un imbécile. Et je me figeai. Evan affichait un sourire jusqu’aux oreilles. Je le regardai avec effroi.

—Je n’ai pas fait ça.

—Oh, si. Carrément que si.

—Non.

—Hum-hum.

—Oh putain.

Je me penchai en avant et enfouis mon visage dans mes mains. Evan me frotta l’épaule

—Ce n’est pas grave. Je suis sûr qu’Hudson comprendra que tu ne voulais pas lui dire que tu l’aimais.

Je me redressai.

—C’était… c’était… par habitude !

—Envoie-lui ça. Tout de suite. Chiche.

—Va chier.—« Désolé d’avoir dit que je t’aimais, Hud. Je veux dire, je t’aimais. Au temps du Moyen Âge ».

—Tu veux rentrer à pied ?

—« Et une habitude que j’avais il y a trente-trois ans a contrôlé mon cerveau pendant un instant. Mais je tiens à préciser que je ne suis à fond sur toi que parce que tu es trop sex. Encore désolé. »

Je frappai le bras d’Evan alors qu’il explosait de rire, et il ne fit qu’un faible effort pour me repousser.

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Hudson me soutint lorsque je sautai de la table ; c’était comme l’aveugle guidant l’aveugle, puisqu’il n’était pas beaucoup plus stable que moi.

Je lui offris un sourire, et j’eus droit à une réponse pleine d’énergie, complètement naturelle. Ses yeux se plissèrent, et toutes ses dents étaient bien visibles, les crocs et tout. C’était… tellement adorable que j’allais fondre.

—Comment te sens-tu ? demandai-je.

—Fantastique, putain.

—Prêt à sortir d’ici ?

—Fantastique, putain.

Ses sourcils se froncèrent.

—Attends. J’ai déjà dit ça.

—OK, tu cherches la bonne réponse, et je reviens tout de suite.

J’enfilai ma chaussette et ma chaussure, puis enjambai le corps évanoui de Marcello en direction de l’objet qu’il m’avait montré. J’hésitai à le toucher. Et si ça déclenchait quelque chose comme l’anomalie dans l’appartement de Cyril ? Marcello fit un petit bruit, ce qui me poussa à agir. J’enlevai mon T-shirt, le jetai sur le morceau de couronne et l’enveloppai avant de le glisser sous mon bras. Voilà. Fait. Hudson souriait toujours lorsque je retournai à ses côtés.

—Oui.

—Oui quoi ?

—Je suis prêt à sortir d’ici. Euh… tu es tout nu.

—Torse nu.

J’attrapai Hudson au niveau du coude pour le pousser en avant.

—Il y a une différence.

—J’aime tes tétons.

Et juste comme ça, mes tétons se contractèrent, se redressant comme des chiots réclamant une friandise.

—Ouais, eux aussi ils t’aiment.

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—Tu es comme un lapin furieux.

Je me tournai vers Lexi, mes sourcils levés.—Je te demande pardon ?

—Tout doux et adorable…

—Jusqu’à ce que je saute à la gorge ?

—Le plus sournois, cruel et irascible des rongeurs, confirma-t-elle avec un terrible accent britannique.

Je lui fis un grand sourire, reconnaissant la référence aux Monty Python.

—J’adore ce film.

Elle sourit aussi, l’expression la plus douce que j’avais vue sur son visage depuis notre réveil ce matin-là. Je l’avais tenue dans mes bras pendant des heures après le départ de Marissa, jusqu’à ce qu’elle tombe de fatigue, et que je m’effondre juste après elle. Lexi me donna un coup d’épaule.

—Il faut qu’on revoie ce film.

—Dis-moi où et quand, bébé. On se fera Sacré Graal et La vie de Brian aussi.

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J'attrapai Hudson au niveau du coude pour le pousser en avant.

-Il y a une différence.

- J'aime tes tétons.

Et juste comme ça, mes tétons se contractèrent, se redressant comme des chiots réclamant une friandise.

- Ouais, eux aussi ils t'aiment.

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Hudson à Wesley

- Pour ce que ça vaut, je suis désolé.

-Tu... Quoi?

Il se renfrogna.

- Ne me regarde pas comme ça. Je peux m'excuser quand il le faut.

-Hum-hum.

-Arrête avec ton air suffisant.

-Pas question. J'ai besoin d'apprécier ces rares excuses de la part d'Hudson << Je n'ai jamais tort >> Rojas.

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Donc Evan était parti. Il avait squatté un peu, mais il détestait s’imposer auprès de ses amis, et rien ne semblait s’améliorer. Alors il avait imaginé son plan. Une dernière nuit de débauche qui ne lui ressemblait pas et tout serait terminé. J’attrapai son épaule. Fermement.

—Non. Ce n’est pas comme ça que ça va se passer.

Il fit rouler son épaule, essayant de déloger ma main, mais je refusai de le relâcher.

—Tu n’as pas ton mot à dire…

—Si, je l’ai, parce que maintenant je suis ton putain de meilleur ami. Tu as compris ? À partir de maintenant, toi et moi on va devenir inséparables, putain.

Evan arrêta de se débattre.

—Pas la peine d’être en colère à cause de ça.

—Je ne suis pas en colère à cause de ça. Ou de toi. Je suis en colère contre le monde entier.

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—Pouvez-vous nous dire comment vous connaissez la victime ? poursuivit l’inspectrice Dubois.

Bon, ils utilisaient le présent, donc ça devait vouloir dire quelque chose, non ? J’inspirai nerveusement.

—C’est… c’était un client. J’ai coupé les ponts avec lui il y a quelques jours.

—Quel genre de client ?

—Je suis expert en recouvrement.

Au regard vide des inspecteurs, je soupirai.—Un voleur professionnel.

Ils échangèrent un regard.

—Il n’y a rien dans votre casier…

—Si j’avais un casier, je serais un voleur à chier.

—Donc monsieur Hassan était un client ? Vous aviez déjà volé des choses pour lui avant ?

—Sans commentaire.

—Monsieur Cooper…

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À première vue, il n’avait aucun lien avec Meredith Montague, si ce n’était qu’ils faisaient tous les deux partie du cercle des riches et célèbres de Toronto, alors pourquoi diable Hudson me traînait-il sur ces lieux ? Lorsque je lui posai la question, Hudson garda les yeux sur la route.

—J’ai entendu l’appel…

—Évidemment, tu écoutais ta radio pendant ta soirée de repos.

Il m’ignora.

—Et quelque chose a fait tilt. Une intuition.

—Hum-hum, commentai-je en lui lançant un regard inquisiteur. Où est Edward Harris ?

Sa mâchoire se contracta un instant.

—Il avait un alibi en béton pour le meurtre d’Amrita. Il était détenu pour ivresse et trouble à l’ordre public quand elle a disparu.—Et pour celui de Meredith ?

—Il était dans un bar près de chez lui. Plusieurs témoins.

Ce qui signifiait que le lien présumé d’Edward avec deux meurtres était inexistant. Je fis un petit bruit de victoire. Hudson me jeta un regard et m’avertit.

—Ne le dis pas.

—Je…

—Je suis sérieux, Wes. Ne le dis pas.

—… te l’avais dit.

Il grogna. Je souris.

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