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Liste des extraits

Extrait ajouté par oboys 2013-12-08T14:59:31+01:00

Où, teignant tout à coup les bleuités, délires

Et rythmes lents sous les rutilements du jour

Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,

Fermentent les rousseurs amères de l'amour !

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Extrait ajouté par oboys 2013-12-08T14:58:40+01:00

Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes

Et les ressacs et les courants : je sais le soir,

L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,

Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !

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Extrait ajouté par oboys 2013-12-08T14:57:55+01:00

J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,

Illuminant de longs figements violets,

Pareils à des acteurs de drames très-antiques

Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !

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Extrait ajouté par oboys 2013-12-08T14:53:38+01:00

Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes,

Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ;

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Extrait ajouté par oboys 2013-12-08T14:53:25+01:00

I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles

Dans la colère ou les ivresses pénitentes ;

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Extrait ajouté par oboys 2013-12-08T14:53:09+01:00

U, cycles, vibrement divins des mers virides,

Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides

Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ;

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Extrait ajouté par oboys 2013-12-08T14:52:47+01:00

O, suprême Clairon plein des strideurs étranges,

Silences traversés des Mondes et des Anges :

- O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux !

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Extrait ajouté par oboys 2013-12-08T14:52:36+01:00

A, noir corset velu des mouches éclatantes

Qui bombinent autour des puanteurs cruelles,

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Extrait ajouté par oboys 2013-12-08T14:52:01+01:00

A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles,

Je dirai quelque jour vos naissances latentes :

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Extrait ajouté par oboys 2013-03-09T19:29:42+01:00

Au Cabaret-Vert

Depuis huit jours, j'avais déchiré mes bottines

Aux cailloux des chemins. J'entrais à Charleroi.

-Au Cabaret-Vert: je demandai des tartines

De beurre et du jambon qui fût à moitié froid.

Bienheureux, j'allongeai les pattes sous la table

Verte, je contemplai les sujets très naïfs

De la tapisserie. -Et ce fut adorable,

Quand la fille aux tétons énormes, aux yeux vifs,

-Celle-là, ce n'est pas un baiser qui l'épeure!-

Rieuse m'apporta des tartines de beurre,

Du jambon tiède, dans un plat colorié

Du jambon rose et blanc parfumé d'une gousse

D'ail, -et m'emplit la chope immense, avec sa mousse

Que dorait un rayon de soleil arriéré.

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