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Protection clandestine
-Vous n'aimez pas les serpents? lui demanda Quinn.
[...]
-Je vous parle bien, non? répliqua-t-elle.
Afficher en entierProtection clandestine
[...]
-A présent est-ce que vous allez me trouver des toilettes ?
-Retenez vous répéta Quinn.
-Je suis un humain,pas un animal sauvage,répliqua-t-elle.
-Vous pensez que les humains n'ont pas autrefois vécu à l'état sauvage? conta Quinn.
-Manifestement, certains ont conservé cet état...
Afficher en entierPour la vie d'un enfant
-Moi,têtue ? Jamais je n'ai rencontré un homme aussi obstiné,aussi buté, aussi tête de pioche que toi !
Afficher en entierPour la vie d'un enfant (Angi Morgan)
1
Perdu dans la foule venue assister aux festivités du 4 Juillet sur Williams Square, Steve Woods ne quittait pas des yeux la femme qui promenait sur elle un million de dollars. Ils ne l’avaient pas encore identifiée. Elle avait pris possession de la poussette — et de l’argent caché à l’intérieur — seulement quatre minutes plus tôt.
La musique joyeuse de l’orchestre se mêlait au brouhaha des conversations, tandis que droit devant se dessinaient les sculptures des mustangs de Las Colinas. Voyant sa cible changer brusquement de direction, Steve se cacha derrière un individu corpulent, vêtu d’une chemise à carreaux. Avec l’aisance d’une mère expérimentée, la suspecte fit mine de s’affairer sur son bébé imaginaire et fourra les liasses de billets dans un sac à dos qu’elle jeta ensuite sur son épaule.
Afficher en entierProtection clandestine (Justine Davis)
1
— Cutter !
Hayley appela une nouvelle fois, puis elle décida d’économiser son souffle pour courir. Ce n’était pas que le chien l’ignorait. Simplement, parfois, il devenait tellement obnubilé par quelque chose que le reste du monde cessait d’exister.
Ça t’apprendra à le gâter autant, se morigéna Hayley. A le traiter comme un humain parce qu’il agissait comme tel la plupart du temps.
Il s’était présenté sur le pas de sa porte quand elle avait eu le plus besoin de lui et s’était rapidement montré si intelligent que, désormais, elle ne pouvait imaginer vivre sans Cutter. Mais tout cela ne l’aidait guère alors qu’elle progressait péniblement, à la nuit tombée, dans la forêt.
Si elle n’avait pas connu ces bois depuis l’enfance, elle aurait pu être nerveuse. Toutefois ce n’était pas la période des ours et, en dehors d’eux, peu de choses l’effrayaient. Néanmoins, un chien intrépide pouvait s’attirer des ennuis ; la nuit précédente, Hayley avait entendu des coyotes. En outre, un raton laveur acculé pouvait se montrer hargneux. En se bagarrant avec, Cutter risquerait de se blesser, même si à la fin, il aurait certainement le dessus, songea Hayley.
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