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Une maison n'est pas liée à un lieu précis. Ce qui compte, c'est d'être entouré de personnes qu'on aime.

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Trois jours d’attente.

C’est fini d’attendre. Elle est là, je vais pouvoir la posséder et rentrer chez moi. Enfin.

Je ne dis rien, je me rapproche, les hommes s’écartent, me permettant de la voir.

J’écarquille les yeux en la voyant endormie. Nue. Elle est tout en courbes, voluptueuse, de gros seins, une taille fine. Elle a la peau claire, pas brûlée par le soleil du désert. Ses cheveux resplendissent sous la lumière de la demi-douzaine de lampes surplombant la plateforme de transport. Personne n’a osé la toucher mais j’examine sa peau douce, elle repose à même le sol du terminal, je m’inquiète qu’elle ait pu se blesser durant le voyage. Pourquoi ne se réveille-t-elle pas ?

Je m’approche, m’accroupis devant elle et contemple ses traits délicats. Ses lèvres roses sont charnues. J’ai envie d’embrasser son visage en forme de cœur. Ses cheveux blonds méchés semblent tout droit sortis des mines d’or pur de Trion.

Elle est belle à couper le souffle, je suis troublé, mon corps réagit face à tant de beauté. Je comprends le désir ressenti par Byran.

Par tous autant qu’ils sont. Les hommes qui m’entourent. Je m’aperçois soudain de leur présence.

Putain !

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« Allez. Vite. » La doctoresse marmonne, je frotte le sable sur mes cuisses. Le bruit du métal qui s’entrechoque, les épées, résonnent à l’entrée de la tente. La doctoresse pousse un juron dans sa langue maternelle et je bondis, je pousse un hurlement en voyant l’un de nos gardes tomber à la renverse à l’entrée de la tente, un poignard planté dans l’œil gauche.

« Allez ! Maintenant ! » Le garde restant aboie un ordre tout en reculant dans l’entrée. Il se bat apparemment contre trois hommes. Ces Drovers sont plus petits que moi, mais rapides et malveillants. Ils portent une longue robe marron qui les couvre des pieds à la tête et des écharpes qui me font penser aux nomades vivants dans les déserts qu’on voit dans National Geographic. Leurs courtes épées fendent l’air à une telle vitesse que j’ai du mal à suivre l’échauffourée des yeux.

« Non ! Je hurle. Roark ? Où est Roark ? »

La doctoresse secoue la tête, elle crie tout en tapotant sur le panneau de commandes. « Il est mort. Je suis désolée. S’ils sont arrivés jusqu’à nous, c’est qu’il est mort. Je dois vous faire partir d’ici.

— Mort ? Non ! »

Non. Il n’est pas mort.

Non. Non. Non.

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La Gardienne Egara regarde la tablette dont elle ne se sépare jamais et hoche vivement la tête. « Excellent. Vous êtes compatibles à quatre-vingt-dix-neuf pour cent.

— Pour de vrai ? » Oui, cette voix pathétique est bien la mienne. Ma mère me reprocherait cet étalage superflu de sentiments. Qu’ils aillent tous se faire foutre, elle, mon banquier de père le milliardaire et leur décision d’avoir un enfant pour coller au sacro-saint modèle parental. J’ai été élevée par des gouvernantes et des nounous dans un internat. J’ai appris à rester de marbre et à garder mon flegme dès l’âge de trois ans, sans être pour autant un sujet britannique.

L’avis de ma mère n’a plus aucune importance. Je dois m’en souvenir. Je fous le camp de cette stupide planète. Je vais vivre ma vie avec un homme, un extraterrestre, mon partenaire, peu importe, compatible à quatre-vingt-dix-neuf pour cent. Je me fiche de son nom tant qu’il est prévenant. Pour la première fois de ma vie, j’ai envie qu’on pense à moi.

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