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— Depuis combien de temps avez-vous un frère jumeau, Zeb ?

Zeb leva les yeux au ciel.

— Depuis ma naissance, crétin.

La foule éclata de rire.

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Mal à l’aise, il tira sur son jean moulant. Ses sous-vêtements étaient inconfortables et lui rentraient dans les fesses et les poils sous son ventre s’étaient coincés dans les boutons de son jean. Comment son frère arrivait-il à marcher droit jour après jour dans ces vêtements ?

- Et vous êtes incroyablement direct, répliqua-t-il promptement.

H-G pencha la tête. Il souriait largement maintenant, comme s’il appréciait vraiment la plaisanterie.

- Je n’ai jamais eu de raison de me comporter autrement.

Son regard le mit légèrement mal à l’aise.

- Vous aimez ce que vous voyez ? dit-il sur un ton tranchant.

Mais H-G se contenta de rire de plus belle.

- Vous n’êtes pas aussi androgyne que vous en avez l’air dans les magazines.

- Qu’est-ce que c’est censé vouloir dire ?

- Vous allez tout l’air d’un homme pour moi.

Ses yeux s’assombrirent et, durant un moment, son regard glissa vers son entrejambe.

Ah…

- Alors vous m’avez vu dans des magazines ?

H-G se mit à rougir.

- Ici et là. Dans la salle d’attente de mon dentiste, vous voyez…

Aidan eut la sensation d’avoir marqué un point même s’il ne savait pas comment conserver l’avantage. La situation était en train de tourner en une espèce de match de tennis bizarre.

H-G s’éclaircit la gorge.

- Écoutez, soyons francs l’un envers l’autre à propos de tout cela. Je sais que ce n’est qu’un exercice promotionnel. Le sponsor est extrêmement engagé dans les problèmes égalitaires, et être approché par un couple gay est vraisemblablement un bon choix publicitaire.

- Vous faites uniquement ça pour l’argent ?

- Pas au point de devenir gay non plus, répliqua H-G.

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— J’escalade des rochers et des montagnes, mesdames. Je porte de gros vêtements rembourrés et des bottes aux semelles renforcées. Mon visage est habituellement couvert par des lunettes ou un masque pour me protéger du soleil et de la poussière. Je grogne, je jure et je pète. Je ne vois aucune utilité au bavardage social, je mange comme un cheval affamé et – j’insiste là-dessus – je ne m’hydrate pas.

À sa grande surprise, Polly éclata de rire.

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« — Je n’aurais jamais pensé que tu puisses être mon type, je l’admets. Mais il y a cette étincelle entre nous, n’est-ce pas ?

Oh ! Seigneur, oui. Mais Aidan ne pouvait pas l’admettre. Il sirota encore une gorgée, souhaitant avoir au moins avalé trois tourtes pour absorber les effets du champagne. L’enthousiasme brûlant provenant de son tout nouveau courage n’était pas aussi inébranlable qu’il le pensait.

Dominic sentait vraiment très bon : un mélange d’eau de Cologne à la vanille, ou peut-être de savon, et une note de tanin provenant du vin. Aidan ne put s’en empêcher ; ses lèvres s’ouvrirent légèrement et sa langue glissa à l’extérieur pour les humidifier.

— Par le ciel, lâcha Dominic avec un soupir tremblant. Tu es réellement magnifique.

Il paraissait choqué. Aidan se rappelait l’avoir entendu le dire quand ils s’étaient rencontrés dans sa maison mais, à présent, il y avait un grondement supplémentaire dans sa voix.

— Répète mon nom encore une fois. J’aime ça. La plupart des gens m’appellent Dom.

— Dom… Dominic.

Aidan perçut les mots mais ne se rendit pas compte qu’il s’être exprimé à voix haute. Son attention était fixée sur la bouche de l’alpiniste, pas sur la sienne.

Leurs lèvres se touchèrent.

Aidan hoqueta. C’était le plus léger des contacts, mais aussi brutal qu’un éclair venu du ciel. C’était comme si Dominic avait soufflé une flamme à travers sa bouche. Son corps tout entier se mit à trembler d’excitation, un flot de pur plaisir explosa sur sa peau, comparé à l’air humide du club. Dominic laissa sa main reposer doucement sur son épaule, à la jonction de son cou. Il glissa ses doigts sur sa gorge et frotta le creux sous sa pomme d’Adam. »

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« — Alors, quel est le rapport avec Hartington-George ?

— H-G ? Hairy Guy ?

Zeb se mit à battre des cils si exagérément qu’Aidan éclata de rire.

— Tu ne peux pas l’appeler comme ça.

— Bien sûr que si, je peux. Est-ce que tu as vu les photos de lui ? Un sacré ours. Il porte toujours une barbe, et rien à voir avec un petit bouc mignon.

Personnellement, Aidan trouvait l’homme vraiment magnifique. Sous les sourcils fiers, il avait des yeux irrésistibles qu’il imaginait plutôt doux si H-G voulait bien cesser de froncer. Il avait passé l’entretien sans problème à la télé, son assurance était évidente quand il parlait de son sujet préféré – les montagnes. Mais dès que la journaliste avait commencé à s’intéresser à ses plans pour le futur, le froncement de sourcil était revenu et il l’avait pratiquement fait taire de manière impolie. Ils étaient rapidement passés à autre chose après ça.

— Il est arrogant, dit Zeb, en ignorant manifestement ses propres faiblesses dans ce domaine. Obsédé par ses maudites expéditions. Déterminé, sans avoir jamais un moment pour qui que ce soit. Ou quoi que ce soit. Ça n’est pas étonnant qu’il soit à court d’argent.

Aidan cligna des paupières.

— Je ne le savais pas. Je pensais qu’il était en train de préparer un voyage pour l’Eiger ou quelque chose dans ce genre-là. Il me semble me rappeler d’un article paru dans le Guardian…

— Mon Dieu, chéri, on dirait un vrai fan ! Est-ce que les alpinistes ont des fans ? »

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