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À l'ombre du clocher - La série


La liste des tomes


Au lendemain de la Première Guerre mondiale, le village de Saint-Jacques-de-la-Rive, village comme il existait tant au Québec à cette époque où la vie à la campagne dominait encore le paysage de la province, essaie de retrouver la vie paisible d’avant l’épidémie de grippe espagnole. Dans le petit village, tout se sait. L’église et le magasin général sont des lieux de rencontres entre les paroissiens. Si des liens privilégiés se tissent, certaines animosités aussi s’expriment et divisent le village. Ernest Veilleux dirige un clan alors qu’Eugène Tremblay lui fait face; au centre des petites disputes, le curé, le maire et le député occupent les sièges convoités par chacun des clans qui souhaitent ainsi accroître son influence dans le village. Mais si les pères se détestent toujours autant, les enfants semblent être attirés les uns vers les autres. Par ailleurs, le curé Lussier dirige ses ouailles de main de maître alors que Germain, un peu naïf et peu gâté par la nature, se fait piéger par une jeune orpheline, servant au presbytère, qui cherche un mari. En toile de fond se dessinent les luttes politiques où rouges et bleus se disputent pour obtenir la construction d’un pont promis par le fédéral depuis si longtemps. Bref, un petit monde agité par les passions et les drames où les larmes ne sont jamais bien loin du rire.
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Description
Au lendemain de la Première Guerre mondiale, le village de Saint-Jacques-de-la-Rive, village comme il existait tant au Québec à cette époque où la vie à la campagne dominait encore le paysage de la province, essaie de retrouver la vie paisible d’avant l’épidémie de grippe espagnole. Dans le petit village, tout se sait. L’église et le magasin général sont des lieux de rencontres entre les paroissiens. Si des liens privilégiés se tissent, certaines animosités aussi s’expriment et divisent le village. Ernest Veilleux dirige un clan alors qu’Eugène Tremblay lui fait face; au centre des petites disputes, le curé, le maire et le député occupent les sièges convoités par chacun des clans qui souhaitent ainsi accroître son influence dans le village. Mais si les pères se détestent toujours autant, les enfants semblent être attirés les uns vers les autres. Par ailleurs, le curé Lussier dirige ses ouailles de main de maître alors que Germain, un peu naïf et peu gâté par la nature, se fait piéger par une jeune orpheline, servant au presbytère, qui cherche un mari. En toile de fond se dessinent les luttes politiques où rouges et bleus se disputent pour obtenir la construction d’un pont promis par le fédéral depuis si longtemps. Bref, un petit monde agité par les passions et les drames où les larmes ne sont jamais bien loin du rire.
Une menace plane sur Saint-Jacques-de-la-Rive en cette année 1943. Un camion de l’armée sillonne inlassablement le village et les rangs, à la recherche des trois hommes qui ne se sont pas présentés à Nicolet malgré leur avis de mobilisation. Solidaires, les habitants usent de tous les stratagèmes possibles pour protéger les leurs de la conscription qui a été votée par le gouvernement d’Adélard Godbout. Même le curé Ménard, d’un naturel affable et conciliant, surtout devant l’austérité de sa servante Amélie Provost, ne s’en laisse pas imposer. Dans le rang Sainte-Marie, les saisons continuent de dicter les différents travaux à effectuer sur la terre. Au quotidien, on se rencontre, sur le parvis de l’église ou sur le balcon de l’épicerie Pouliot, pour discuter de la lutte prochaine entre les partis de Godbout et de Duplessis. Ces conversations se poursuivent lors des fêtes, qui donnent lieu à de joyeuses réunions de famille. Pourtant, personne n’est vraiment à l’abri du malheur. Outre les Tremblay, que chaque visite du lieutenant Fortin inquiète, le destin semble encore s’acharner sur les Fournier, probablement attiré par la sécheresse du cœur de Gabrielle. Et voilà qu’un dangereux rôdeur provoque des émois au village. Du jamais vu. Serait-ce Beau-Casque, le simple d’esprit qui intimide Françoise, la fille de Clément et de Cécile Veilleux?
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Une menace plane sur Saint-Jacques-de-la-Rive en cette année 1943. Un camion de l’armée sillonne inlassablement le village et les rangs, à la recherche des trois hommes qui ne se sont pas présentés à Nicolet malgré leur avis de mobilisation. Solidaires, les habitants usent de tous les stratagèmes possibles pour protéger les leurs de la conscription qui a été votée par le gouvernement d’Adélard Godbout. Même le curé Ménard, d’un naturel affable et conciliant, surtout devant l’austérité de sa servante Amélie Provost, ne s’en laisse pas imposer. Dans le rang Sainte-Marie, les saisons continuent de dicter les différents travaux à effectuer sur la terre. Au quotidien, on se rencontre, sur le parvis de l’église ou sur le balcon de l’épicerie Pouliot, pour discuter de la lutte prochaine entre les partis de Godbout et de Duplessis. Ces conversations se poursuivent lors des fêtes, qui donnent lieu à de joyeuses réunions de famille. Pourtant, personne n’est vraiment à l’abri du malheur. Outre les Tremblay, que chaque visite du lieutenant Fortin inquiète, le destin semble encore s’acharner sur les Fournier, probablement attiré par la sécheresse du cœur de Gabrielle. Et voilà qu’un dangereux rôdeur provoque des émois au village. Du jamais vu. Serait-ce Beau-Casque, le simple d’esprit qui intimide Françoise, la fille de Clément et de Cécile Veilleux?
Le printemps 1967 s’annonce et avec lui souffle un vent nouveau qui fera virevolter le destin de plusieurs des habitants de Saint-Jacques-de-la-Rive. L’heure est au bouleversement des mœurs et des valeurs. Ce que l’on nommera plus tard la Révolution tranquille s’est bel et bien installée, malgré les répliques acerbes du curé Savard, à qui Étienne Fournier et les autres membres de la fabrique répondront sur le même ton. Le maire, Côme Crevier, ne sera pas en reste, incarnant dorénavant l’autorité dans « son » village. Alors que tous les regards sont fixés sur Montréal et son exposition universelle, les jeunes adultes des familles Veilleux, Fournier, Hamel et Tremblay sont appelés à faire des choix. Bataille de coq, déception amoureuse, emplois prometteurs, grossesse honteuse, promesse de mariage, émancipation, perte d’enfant, tous sont emportés par le tourbillon de la vie. Nostalgiques devant tous ces changements, la génération de leurs parents se réfugie dans les souvenirs. Étrangement, la relation chaotique qu’entretiennent Bertrand Tremblay et d’André Veilleux leur rappelle celle, aussi houleuse, de leurs grands-pères Eugène et Ernest.
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Le printemps 1967 s’annonce et avec lui souffle un vent nouveau qui fera virevolter le destin de plusieurs des habitants de Saint-Jacques-de-la-Rive. L’heure est au bouleversement des mœurs et des valeurs. Ce que l’on nommera plus tard la Révolution tranquille s’est bel et bien installée, malgré les répliques acerbes du curé Savard, à qui Étienne Fournier et les autres membres de la fabrique répondront sur le même ton. Le maire, Côme Crevier, ne sera pas en reste, incarnant dorénavant l’autorité dans « son » village. Alors que tous les regards sont fixés sur Montréal et son exposition universelle, les jeunes adultes des familles Veilleux, Fournier, Hamel et Tremblay sont appelés à faire des choix. Bataille de coq, déception amoureuse, emplois prometteurs, grossesse honteuse, promesse de mariage, émancipation, perte d’enfant, tous sont emportés par le tourbillon de la vie. Nostalgiques devant tous ces changements, la génération de leurs parents se réfugie dans les souvenirs. Étrangement, la relation chaotique qu’entretiennent Bertrand Tremblay et d’André Veilleux leur rappelle celle, aussi houleuse, de leurs grands-pères Eugène et Ernest.
Dans le tome III, Les amours interdites, nous avons quitté les habitants de Saint-Jacques-de-la-Rive en 1968. Mais c’est leur pères et grands-pères qui nous seront à nouveau présentés dans ce dernier tome, Au rythme des saisons. En guise de conclusion à sa deuxième saga historique, Michel David nous offre en effet un véritable retour dans le temps. Ainsi, nous retrouvons le village de Saint-Jacques-de-la-Rive au tout début du XXe siècle. Au cœur des mêmes familles Veilleux, Tremblay, Hamel, Tougas et Fournier, nous sommes appelés à découvrir de nouveaux visages, les grands-parents et arrières grands-parents des personnages que nous avons appris à apprécier ou à haïr. Encore une fois, le malheur et l’hiver feront place, à leur rythme, au bienheureux printemps et au bonheur contagieux.
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Description
Dans le tome III, Les amours interdites, nous avons quitté les habitants de Saint-Jacques-de-la-Rive en 1968. Mais c’est leur pères et grands-pères qui nous seront à nouveau présentés dans ce dernier tome, Au rythme des saisons. En guise de conclusion à sa deuxième saga historique, Michel David nous offre en effet un véritable retour dans le temps. Ainsi, nous retrouvons le village de Saint-Jacques-de-la-Rive au tout début du XXe siècle. Au cœur des mêmes familles Veilleux, Tremblay, Hamel, Tougas et Fournier, nous sommes appelés à découvrir de nouveaux visages, les grands-parents et arrières grands-parents des personnages que nous avons appris à apprécier ou à haïr. Encore une fois, le malheur et l’hiver feront place, à leur rythme, au bienheureux printemps et au bonheur contagieux.

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