Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 843
Membres
1 013 982

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

La liste des tomes


« - Mme Delahaie est morte, dit papa. Maman devint toute pâle. - Est-ce possible ? - Vois toi-même, répondit papa. C'est une lettre du notaire. Et il enleva son pardessus. Il avait un vêtement de coupe élégante, mais qu'il jugeait fané, ce dont nous ne pouvions nous apercevoir. Maman dépliait la lettre. Soudain elle se cacha le visage dans son tablier et se prit à pleurer. Papa souriait, le sourcil dédaigneux. Joseph s'écria : - Ne pleure pas, maman. Puisqu'on ne l'aimait pas, c'est pas la peine de pleurer. »
Voir la fiche
Description
« - Mme Delahaie est morte, dit papa. Maman devint toute pâle. - Est-ce possible ? - Vois toi-même, répondit papa. C'est une lettre du notaire. Et il enleva son pardessus. Il avait un vêtement de coupe élégante, mais qu'il jugeait fané, ce dont nous ne pouvions nous apercevoir. Maman dépliait la lettre. Soudain elle se cacha le visage dans son tablier et se prit à pleurer. Papa souriait, le sourcil dédaigneux. Joseph s'écria : - Ne pleure pas, maman. Puisqu'on ne l'aimait pas, c'est pas la peine de pleurer. »
"Tout en contournant le récif du Panthéon, je ruminais une question que je devais me poser mille et mille fois par la suite, une question que je sentais déjà familière à toutes mes fibres : "Allons! Qu'est-ce qu'il' y a encore? Qu'a-t-il encore inventé?" Oui, telle était la question qui, plus ou moins bien formulée, s'élevait du fond de mon cœur quand je voyais maman serrer les lèvres jusqu'à les vider de toute couleur, ou quand papa préludait en public à quelqu'une de ces colères théâtrales qui avaient fait, qui faisaient encore la terreur du clan." Source : Folio
Voir la fiche
Description
"Tout en contournant le récif du Panthéon, je ruminais une question que je devais me poser mille et mille fois par la suite, une question que je sentais déjà familière à toutes mes fibres : "Allons! Qu'est-ce qu'il' y a encore? Qu'a-t-il encore inventé?" Oui, telle était la question qui, plus ou moins bien formulée, s'élevait du fond de mon cœur quand je voyais maman serrer les lèvres jusqu'à les vider de toute couleur, ou quand papa préludait en public à quelqu'une de ces colères théâtrales qui avaient fait, qui faisaient encore la terreur du clan." Source : Folio
Joseph Pasquier bat le rappel de sa famille pour venir pendre la crémaillère dans son nouveau domaine de la Paquellerie. Avoir récolté une fortune en bourse ne lui suffit, pas. II est décidé à la consolider par une situation mondaine bien assise. Pour se faire un noyau de relations, il compte utiliser d'abord les ressources du clan Pasquier. Sa première manoeuvre réussit à merveille. Malgré qu'il en ait, son frère Laurent - le médecin - l'introduit auprès de son illustre patron, le professeur Censier. Le savant sera de la fête avec le peintre Delcambre et le clan sera au complet. L'orgueil-de-Joseph peut être satisfait. Mais ceux qui sont réunis sous son toit ont apporté leurs soucis et leurs passions. La présence de Raymond Pasquier, le père, n'est pas faite pour alléger l'atmosphère en cette lourde Nuit de la Saint Jean, 4e tome de la Chronique des Parquier, où Laurent et Censier vivent un moment crucial de leur existence. Source : Le Livre de Poche, LGF
Voir la fiche
Description
Joseph Pasquier bat le rappel de sa famille pour venir pendre la crémaillère dans son nouveau domaine de la Paquellerie. Avoir récolté une fortune en bourse ne lui suffit, pas. II est décidé à la consolider par une situation mondaine bien assise. Pour se faire un noyau de relations, il compte utiliser d'abord les ressources du clan Pasquier. Sa première manoeuvre réussit à merveille. Malgré qu'il en ait, son frère Laurent - le médecin - l'introduit auprès de son illustre patron, le professeur Censier. Le savant sera de la fête avec le peintre Delcambre et le clan sera au complet. L'orgueil-de-Joseph peut être satisfait. Mais ceux qui sont réunis sous son toit ont apporté leurs soucis et leurs passions. La présence de Raymond Pasquier, le père, n'est pas faite pour alléger l'atmosphère en cette lourde Nuit de la Saint Jean, 4e tome de la Chronique des Parquier, où Laurent et Censier vivent un moment crucial de leur existence. Source : Le Livre de Poche, LGF
La Terre promise, c'est la vie nouvelle ouverte à la famille Pasquier grâce au diplôme de médecin obtenu par le père. Pour Laurent, sensible et idéaliste, ce but tant espéré est l'accession aux « vertes vallées de l'intelligence ». Mais ses frères n'ont d'autre ambition que l'argent, et la légèreté de son père ,désole le jeune homme. Seule Cécile, poursuivant sa carrière d'artiste, comprend les rêves désintéressés de Laurent.
Voir la fiche
Description
La Terre promise, c'est la vie nouvelle ouverte à la famille Pasquier grâce au diplôme de médecin obtenu par le père. Pour Laurent, sensible et idéaliste, ce but tant espéré est l'accession aux « vertes vallées de l'intelligence ». Mais ses frères n'ont d'autre ambition que l'argent, et la légèreté de son père ,désole le jeune homme. Seule Cécile, poursuivant sa carrière d'artiste, comprend les rêves désintéressés de Laurent.
Laurent Pasquier, Justin Weill et leurs camarades décident de « fausser compagnie aux hommes du XXe siècle » et de fuir les servitudes et les compromissions de la société dans une retraite où ils vivront librement en travaillant à ce qu'ils aiment ? poésie, musique, peinture. Le pain quotidien, ils le gagneront en se faisant imprimeurs. Ils ignorent tout du métier; qu'importe, ils l'apprendront. C'est Justin qui déniche à Bièvres la maison idéale pour l'Imprimerie du Désert, lui aussi qui se charge des démarches pour obtenir subventions et clientèle. Il harcèle ses amis : il veut la réussite du Désert, où se matérialise son rêve de fraternité. Mais les enthousiasmes s'émoussent, les égoïsmes s'exacerbent, et Laurent ne peut que constater l'échec du phalanstère de Bièvres, aventure exaltante et amère qu'il relate dans ce volume, le 5e de la célèbre Chronique des Pasquier.
Voir la fiche
Description
Laurent Pasquier, Justin Weill et leurs camarades décident de « fausser compagnie aux hommes du XXe siècle » et de fuir les servitudes et les compromissions de la société dans une retraite où ils vivront librement en travaillant à ce qu'ils aiment ? poésie, musique, peinture. Le pain quotidien, ils le gagneront en se faisant imprimeurs. Ils ignorent tout du métier; qu'importe, ils l'apprendront. C'est Justin qui déniche à Bièvres la maison idéale pour l'Imprimerie du Désert, lui aussi qui se charge des démarches pour obtenir subventions et clientèle. Il harcèle ses amis : il veut la réussite du Désert, où se matérialise son rêve de fraternité. Mais les enthousiasmes s'émoussent, les égoïsmes s'exacerbent, et Laurent ne peut que constater l'échec du phalanstère de Bièvres, aventure exaltante et amère qu'il relate dans ce volume, le 5e de la célèbre Chronique des Pasquier.
Afin de préparer sa thèse de médecine en même temps que celle de doctorat ès sciences, Laurent Pasquier, qui travaille dans le laboratoire du professeur Chalgrin, sollicite un poste de préparateur auprès d'une autre sommité de la biologie : le professeur Rohner. Le premier citant avec éloge les travaux du second, le choix de ces maîtres semble parfait. Laurent ne tardé pas à s'apercevoir qu'il s'est montré naïf la courtoisie des propos dissimulait une âpre rivalité que l'intervention démoniaque d'un camarade de Laurent fait éclaterr au grand jour. Rohner use des pires armes sans le moindre scrupule pour s'assurer la préséance. savoir mis à part, « les maîtres » ne valent donc pas mieux que les autres ? Amère constatation qui se dégage au as lettres adressées par Laurent à son ami Justin - où voit en contrepoint agir les familiers de l'ample Chronique des Pasquier dont ce volume est le 6ème tome. Source : Le Livre de Poche, LGF
Voir la fiche
Description
Afin de préparer sa thèse de médecine en même temps que celle de doctorat ès sciences, Laurent Pasquier, qui travaille dans le laboratoire du professeur Chalgrin, sollicite un poste de préparateur auprès d'une autre sommité de la biologie : le professeur Rohner. Le premier citant avec éloge les travaux du second, le choix de ces maîtres semble parfait. Laurent ne tardé pas à s'apercevoir qu'il s'est montré naïf la courtoisie des propos dissimulait une âpre rivalité que l'intervention démoniaque d'un camarade de Laurent fait éclaterr au grand jour. Rohner use des pires armes sans le moindre scrupule pour s'assurer la préséance. savoir mis à part, « les maîtres » ne valent donc pas mieux que les autres ? Amère constatation qui se dégage au as lettres adressées par Laurent à son ami Justin - où voit en contrepoint agir les familiers de l'ample Chronique des Pasquier dont ce volume est le 6ème tome. Source : Le Livre de Poche, LGF
"Insensible à tout sauf à la musique, Cécile Pasquier a tant travaillé qu'elle est devenue une pianiste de concert célèbre dans le monde entier. Puis, un jour, cette belle jeune femme sereine a épousé Richard Fauvet. De tout le clan des Pasquier, c'est son frère Laurent qui en a été le plus meurtri, le plus inquiet. Meurtri, car Cécile a repoussé depuis toujours son meilleur ami Justin; inquiet, car Fauvet, esprit brillant, créateur du Groupe du Portique, est le type même de l'intellectuel cynique et froid. Cécile est-elle heureuse ? Elle le dit, elle sourit en berçant son fils Alexandre. Bonheur apparent que la suite des jours désagrège et rend à sa vérité. Cécile cherche dans la religion une aide pour retrouver sa sérénité perdue cependant que Richard, creusant de ses propres mains un fossé entre lui et son « Athéna », précipite vers la rupture un mariage dont l'étude en profondeur forme l'essentiel de ce 7e volume de la Chronique des Pasquier."
Voir la fiche
Description
"Insensible à tout sauf à la musique, Cécile Pasquier a tant travaillé qu'elle est devenue une pianiste de concert célèbre dans le monde entier. Puis, un jour, cette belle jeune femme sereine a épousé Richard Fauvet. De tout le clan des Pasquier, c'est son frère Laurent qui en a été le plus meurtri, le plus inquiet. Meurtri, car Cécile a repoussé depuis toujours son meilleur ami Justin; inquiet, car Fauvet, esprit brillant, créateur du Groupe du Portique, est le type même de l'intellectuel cynique et froid. Cécile est-elle heureuse ? Elle le dit, elle sourit en berçant son fils Alexandre. Bonheur apparent que la suite des jours désagrège et rend à sa vérité. Cécile cherche dans la religion une aide pour retrouver sa sérénité perdue cependant que Richard, creusant de ses propres mains un fossé entre lui et son « Athéna », précipite vers la rupture un mariage dont l'étude en profondeur forme l'essentiel de ce 7e volume de la Chronique des Pasquier."
L'année 1914 semble marquer pour Laurent Pasquier le début d'une période heureuse. Il a trente-trois ans, il exerce le métier qu'il aime, son poste de chef de recherches à l'Institut National de Biologie lui assure un revenu honnête. Ne serait-ce pas le moment de fonder un foyer ? L'idée lui en est venue depuis qu'il connaît Jacqueline Bellec. Le temps de rassembler son courage pour faire sa demande, les perspectives changent : le directeur de l'LN.B., Larminat, l'oblige à prendre comme garçon de laboratoire l'ineffable Hippolyte Birault. Laurent s'en accommoderait si ce rustre imbu de lui-même ne commettait des fautes graves qui imposent son renvoi, mais Larminat se dérobe, Bitault étant « protégé » par un ministre. Pour vider l'abcès, Laurent ne voit plus que la ressource d'en appeler à l'opinion publique. Il a compté sans la politique toute-puissante qui envenime et altère le débat. Les incartades de son père, le pseudo-professeur de Nesles, et les manigances de son frère Joseph ajoutent encore au fardeau de Laurent dans ce Combat contre les ombres, qui forme le 8e épisode de la très vivante Chronique des Pasquier, où Georges Duhamel a su mettre tant de lui-même et de son époque. Source : Le Livre de Poche, LGF
Voir la fiche
Description
L'année 1914 semble marquer pour Laurent Pasquier le début d'une période heureuse. Il a trente-trois ans, il exerce le métier qu'il aime, son poste de chef de recherches à l'Institut National de Biologie lui assure un revenu honnête. Ne serait-ce pas le moment de fonder un foyer ? L'idée lui en est venue depuis qu'il connaît Jacqueline Bellec. Le temps de rassembler son courage pour faire sa demande, les perspectives changent : le directeur de l'LN.B., Larminat, l'oblige à prendre comme garçon de laboratoire l'ineffable Hippolyte Birault. Laurent s'en accommoderait si ce rustre imbu de lui-même ne commettait des fautes graves qui imposent son renvoi, mais Larminat se dérobe, Bitault étant « protégé » par un ministre. Pour vider l'abcès, Laurent ne voit plus que la ressource d'en appeler à l'opinion publique. Il a compté sans la politique toute-puissante qui envenime et altère le débat. Les incartades de son père, le pseudo-professeur de Nesles, et les manigances de son frère Joseph ajoutent encore au fardeau de Laurent dans ce Combat contre les ombres, qui forme le 8e épisode de la très vivante Chronique des Pasquier, où Georges Duhamel a su mettre tant de lui-même et de son époque. Source : Le Livre de Poche, LGF
Devenir comédienne fut - dès l'enfance - le vœu de Suzanne Pasquier. Il est accompli : à vingt-neuf ans, elle a tout Paris à ses pieds. Bien des hommes l'ont aimée; aucun n'a réussi à la détourner de la scène. Pour un rôle qui lui tient au cœur, elle donnerait deux ans de sa vie. On devine ses sentiments en apprenant qu'une autre qu'elle jouera Cordelia, Malgré les sourires d'Erie Vidame, le directeur de la troupe, elle donne sa démission. Voici longtemps qu'un de ses adorateurs, le peintre Philippe Baudoin, l'invite à venir faire la connaissance des siens. Suzanne n'aurait pu rêver séjour plus enchanteur, gens plus séduisants. Elle n'aurait qu'à choisir entre les trois Baudoin ? Philippe, Marc, Hubert ? mais, pour elle, il n'existe d'amour que dans l'artifice de la scène, de soleil que sous les feux de la rampe. Que Vidame la rappelle d'un mot et elle court rejoindre la troupe. Pourtant, le mirage théâtral ne l'empêche pas de mesurer le vide de son existence et d'entendre, dans le navire qui l'emporte, les machines rythmer cette petite phrase atroce : « Suzanne a perdu sa vie » - conclusion lucide sur laquelle s'achève ce volume, le 9e de la série consacrée à la Chronique des Pasquier.
Voir la fiche
Description
Devenir comédienne fut - dès l'enfance - le vœu de Suzanne Pasquier. Il est accompli : à vingt-neuf ans, elle a tout Paris à ses pieds. Bien des hommes l'ont aimée; aucun n'a réussi à la détourner de la scène. Pour un rôle qui lui tient au cœur, elle donnerait deux ans de sa vie. On devine ses sentiments en apprenant qu'une autre qu'elle jouera Cordelia, Malgré les sourires d'Erie Vidame, le directeur de la troupe, elle donne sa démission. Voici longtemps qu'un de ses adorateurs, le peintre Philippe Baudoin, l'invite à venir faire la connaissance des siens. Suzanne n'aurait pu rêver séjour plus enchanteur, gens plus séduisants. Elle n'aurait qu'à choisir entre les trois Baudoin ? Philippe, Marc, Hubert ? mais, pour elle, il n'existe d'amour que dans l'artifice de la scène, de soleil que sous les feux de la rampe. Que Vidame la rappelle d'un mot et elle court rejoindre la troupe. Pourtant, le mirage théâtral ne l'empêche pas de mesurer le vide de son existence et d'entendre, dans le navire qui l'emporte, les machines rythmer cette petite phrase atroce : « Suzanne a perdu sa vie » - conclusion lucide sur laquelle s'achève ce volume, le 9e de la série consacrée à la Chronique des Pasquier.
Une carrure de grizzli, la puissance de charge du sanglier furieux, une volonté tendue vers la conquête de la richesse et avec cela un abattage qui confine à la grossièreté, voilà qui dépeint à peu près au physique et au moral joseph Pasquier dans la cinquante et unième année de son âge. Bien malin qui pourrait chiffrer sa fortune tant il a su brouiller ses sources, mais cet habile ne s'en tient pas là. Il s'est forgé une réputation de connaisseur dans le domaine des arts et la dernière en date de ses ambitions est de se faire élire membre de l'Institut. Il mène sa campagne comme ses autres affaires, ce qui n'est pas précisément le style convenable pour réussir auprès de ces messieurs du quai Conti. joseph, pourtant, s'entête. il est obsédé par cette élection au point de s'aveugler sur la vraie valeur des champs pétroliers du Michoacan et de ses associés, de son secrétaire Biaise, de sa femme, de ses enfants. Comme si quelque divinité acharnée à le perdre l'avait rendu fou... Le résultat est une débâcle du « royaume joséphique » que commente son frère Laurent. Elle ne marque d'ailleurs pas la fin des Pasquier, bien que leur chronique s'achève sur cette satire de l'homme d'affaires incarné par joseph. Source : Le Livre de Poche, LGF
Voir la fiche
Description
Une carrure de grizzli, la puissance de charge du sanglier furieux, une volonté tendue vers la conquête de la richesse et avec cela un abattage qui confine à la grossièreté, voilà qui dépeint à peu près au physique et au moral joseph Pasquier dans la cinquante et unième année de son âge. Bien malin qui pourrait chiffrer sa fortune tant il a su brouiller ses sources, mais cet habile ne s'en tient pas là. Il s'est forgé une réputation de connaisseur dans le domaine des arts et la dernière en date de ses ambitions est de se faire élire membre de l'Institut. Il mène sa campagne comme ses autres affaires, ce qui n'est pas précisément le style convenable pour réussir auprès de ces messieurs du quai Conti. joseph, pourtant, s'entête. il est obsédé par cette élection au point de s'aveugler sur la vraie valeur des champs pétroliers du Michoacan et de ses associés, de son secrétaire Biaise, de sa femme, de ses enfants. Comme si quelque divinité acharnée à le perdre l'avait rendu fou... Le résultat est une débâcle du « royaume joséphique » que commente son frère Laurent. Elle ne marque d'ailleurs pas la fin des Pasquier, bien que leur chronique s'achève sur cette satire de l'homme d'affaires incarné par joseph. Source : Le Livre de Poche, LGF

Commentaires


Activité récente


Séries du même auteur



Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode