John Corey - La série

John Corey, détective de la police de New York, se remet d'une mauvaise blessure dans la maison de son oncle, une grande demeure victorienne du sud de Long Island où il a passé tous les étés de son enfance. Il profite de cette convalescence forcée pour observer, avec une ironie élégante et cette sorte de nonchalance désabusée caractéristique de ceux qui côtoient quotidiennement la mort, la comédie humaine de la haute société new-yorkaise sûre de sa bonne fortune et de ses privilèges. Mais ce petit jeu est bien vite interrompu par un double meurtre : deux jeunes scientifiques sont retrouvés morts sur leur terrasse, tués d'une balle dans la tête tirée à bout portant. Corey avait sympathisé avec ce couple de chercheurs, promis à un avenir brillant sur Plum Island, île mystérieuse située au large de Long Island qui a abrité (réellement) un laboratoire spécialisé dans les maladies animales. La rumeur veut qu'on y crée aussi des armes bactériologiques. Le FBI et la CIA se joignent donc à l'enquête, de même qu'une ravissante jeune détective de la police du comté. La version officielle du meurtre établie par ces hautes instances (le vol d'un hypothétique virus pour le compte d'un laboratoire privé ou d'une puissance étrangère) ne convainc pas Corey. Contre le FBI, la CIA et la police locale, il se lance donc dans une enquête parallèle, dangereuse et effrénée, mettant en cause les notables de la région et un mystérieux trésor enterré au XVIIIe siècle par un certain capitaine Kidd...

Quatrième de couverture D’un poste d’observation spécial à Kennedy Airport, les membres du groupe d’intervention antiterroriste, la Task Force, attendent un passager en provenance de France. Il s’agit d’Asad Khalil, terroriste libyen surnommé «le Lion», qui s’est livré à l’ambassade américaine de Paris dans l’intention de passer à l’Ouest. Le vol 175 est à l’heure, ramenant ses trois cents passagers, dont le Lion. Et pourtant, il apparaît très vite que quelque chose ne va pas, que quelque chose de terrible s’est produit durant le vol… C’est du moins l’intuition de l’ex-inspecteur John Corey, mis en retraite anticipée de la police de New York, et tout juste recruté par la Task Force comme agent assigné à la section du Moyen-Orient. Une rapide étude du dossier Khalil le convainc que ce dernier n’a jamais eu la moindre intention de changer de camp. Aussi, dès qu’il apprend que le Boeing 747 est coupé de tout contact radio depuis plusieurs heures, il pénètre dans l’avion en passant outre les ordres. À l’intérieur, il découvre un véritable carnage: passagers et équipage sont morts asphyxiés. Quant au Lion, il a réussi à s’échapper. Cela, Corey en est convaincu, n’est que le «hors-d’œuvre» d’une longue série de meurtres et d’attentats qui vont mettre les États-Unis à feu et à sang. Pendant que ses collègues du FBI et de la CIA s’épuisent en vaines stratégies afin de retrouver la piste du terroriste, lui assemble les pièces du puzzle qui est en passe de faire du Lion le meurtrier du siècle. Pour cela, il faut remonter le 15 avril 1986. Quatre bombardiers américains sont envoyés par le président Reagan en mission. Ils doivent détruire une base militaire libyenne où résident aussi quelques civils, dont la famille d’Asad Khalil, protégé du colonel Kadhafi qui est l’amant de sa mère. Cette nuit-là décidera du destin du jeune homme ; devant le massacre des siens, il n’a qu’un objectif: devenir l’instrument de la vengeance d’Allah en éliminant les huit hommes responsables de ce bombardement, y compris l’ancien président. Et, sans aucun état d’âme, tous ceux qui ont le malheur de se trouver sur sa route. Même dans les bas-fonds des rues de New York qu’il a écumés pendant des années, jamais Corey n’a rencontré une telle violence, une telle sauvagerie. Pour survivre, il va devoir inventer une stratégie très personnelle qui n’est évidemment guère du goût des têtes pensantes du FBI et de la CIA, à l’exception notable de l’agent Kate Mayfield, sa supérieure directe...

La nuit des mirages s'inspire de faits réels : l' explosion en plein ciel du vol 800 New York - Paris de la TWA, le soir du 17 juillet 1996, au large de Long Island. Deux cent trente personnes Y trouvèrent la mort. Deux cents témoins, y compris mes voisins, rapportèrent qu'un filet de lumière avait surgi de l'océan Atlantique avant que l'avion ne se désintègre. Les agents gouvernementaux invoquèrent une illusion d'optique collective, une sorte de mirage dont tous auraient été la proie. Les autorités américaines conclurent donc à une défaillance technique de l'appareil, provenant de l'explosion du réservoir central. L'enquête était dose. Plus je progressais dans mes recherches, plus il me paraissait mépriser les dires de deux cents personnes certifiant qu'un projectile, missile ou autre, avait heurté l'appareil. Et puis mon instinct de romancier l'emporta.

Bienvenue au Custer Hill Club, lieu de villégiature luxueux qui, officiellement, rassemble pour d'innocentes parties de chasse et de pêche ce que l'Amérique compte d'hommes puissants. Lors de réunions qui n'ont pourtant rien de bucolique, les membres du club, nostalgiques de la guerre froide, regrettent l'époque bénie où la destruction mutuelle assurée présidait au maintien de l'équilibre de la planète. Avec les moyens faramineux qui sont les leurs, ces magnats de l'industrie, généraux de réserve et ministres en exercice élaborent un plan de représailles pour venger les attentats du 11 septembre 2001 : l'Opération Wild Fire. Et ces Docteurs Folamour du XXIe siècle de tramer l'holocauste nucléaire de deux métropoles américaines, lequel, imputé aux terroristes islamistes, entraînerait une riposte inévitable qui rayerait de la carte tout le monde arabo-musulman. Comment l'agent spécial John Corey peut-il empêcher d'appuyer sur le bouton ?

Depuis le 11 septembre 2001, le terrorisme est devenu une menace mondiale. Nul pays n’est à l’abri de cette guerre déroutante où l’ennemi n’a pas de visage et ne respecte aucune règle. Asad Khalil, surnommé Le Lion en raison de ses instincts sanguinaires, en profite pour régler ses comptes. Ses commanditaires libyens lui ont fourni une liste de cibles à abattre, disséminées sur le territoire américain, et appartenant parfois aux hautes sphères du pouvoir. Sa mission, s’il la réussit, signera la fin du monde tel qu’on le connaît. Les victimes se multiplient, la population panique et l’agent spécial John Corey se lance sur la piste du Lion. Cette fois, il le sait, il ne peut pas le laisser s’échapper. Prêt à tout, il traque sans relâche celui qui a juré sa mort. Haletant, implacable et prophétique, Le Retour du Lion est un thriller terrifiant sur le terrorisme international, cette nouvelle guerre qui ne dit pas son nom et qui semble ne pas avoir de fin.

Anti-Terrorist Task Force agent John Corey and his wife, FBI agent Kate Mayfield, have been posted overseas to Sana'a, Yemen-one of the most dangerous places in the Middle East. While there, they will be working with a small team to track down one of the masterminds behind the USS Cole bombing: a high-ranking Al Qaeda operative known as The Panther. Ruthless and elusive, he's wanted for multiple terrorist acts and murders-and the U.S. government is determined to bring him down, no matter the cost. As latecomers to a deadly game, John and Kate don't know the rules, the players, or the score. What they do know is that there is more to their assignment than meets the eye-and that the hunters are about to become the hunted. Filled with breathtaking plot turns and told in John Corey's inimitable voice, THE PANTHER is a brilliant depiction of one of the most treacherous countries in the world and raises disturbing questions about whether we can ever know who our enemies - or our allies - really are.

After a showdown with the notorious Yemeni terrorist known as The Panther, John Corey has left the Anti-Terrorist Task Force and returned home to New York City, taking a job with the Diplomatic Surveillance Group. Although Corey's new assignment with the DSG-surveilling Russian diplomats working at the U.N. Mission-is thought to be "a quiet end," he is more than happy to be out from under the thumb of the FBI and free from the bureaucracy of office life. But Corey realizes something the U.S. government doesn't: The all-too-real threat of a newly resurgent Russia. When Vasily Petrov, a colonel in the Russian Foreign Intelligence Service posing as a diplomat with the Russian U.N. Mission, mysteriously disappears from a Russian oligarch's party in Southampton, it's up to Corey to track him down. What are the Russians up to and why? Is there a possible nuclear threat, a so-called radiant angel? Will Corey find Petrov and put a stop to whatever he has planned before it's too late? Or will Corey finally be outrun and outsmarted, with America facing the prospect of a crippling attack unlike anything it's ever seen before?