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" Si seulement tu souriais " ; " Si j'avais vécu au temps des Carolingiens " ; " Si j'ai acheté une bouteille de Moët & Chandon " ; " Si Eva Marie Saint est ma préférée " ; " Si je vais à Montevideo " ; " Si j'avais rencontré Sunsiaré "... Ce sont là les titres de quelques-uns des quatre-vingt-quatre chapitres, où l'auteur ne fait que dire ce qui lui est venu à l'esprit certains jours. Journal " étrange "...
" Si seulement tu souriais " ; " Si j'avais vécu au temps des Carolingiens " ; " Si j'ai acheté une bouteille de Moët & Chandon " ; " Si Eva Marie Saint est ma préférée " ; " Si je vais à Montevideo " ; " Si j'avais rencontré Sunsiaré "... Ce sont là les titres de quelques-uns des quatre-vingt-quatre chapitres, où l'auteur ne fait que dire ce qui lui est venu à l'esprit certains jours. Journal " étrange "...
Présentation de l'éditeur
"Si seulement tu m'appelais"; "Si je vais en Hongrie"; "Si Cioran eût philosophé"; "Et si c'était le geste de Dieu"; "Si big bang il y a eu)... Ce sont là cinq des quatre-vingt un chapitres, où la pensée de l'auteur touche à l'histoire, à la poésie, au théâtre, à la philosophie, à la politique, tout en étant parfois très personnelle, qu'elle avoue son repentir (" Si je fais mon mea culpa ") ou son amour.
Présentation de l'éditeur
"Si seulement tu m'appelais"; "Si je vais en Hongrie"; "Si Cioran eût philosophé"; "Et si c'était le geste de Dieu"; "Si big bang il y a eu)... Ce sont là cinq des quatre-vingt un chapitres, où la pensée de l'auteur touche à l'histoire, à la poésie, au théâtre, à la philosophie, à la politique, tout en étant parfois très personnelle, qu'elle avoue son repentir (" Si je fais mon mea culpa ") ou son amour.
"Zahra", "Beya", "Bojena", "Fanny", "Anne", "Pascale", "Odile", "Daphné", et, bien sûr, "Emilie": autant de chapitres de ce livre.
Cependant, dit l'auteur, "quant aux jeunes femmes, je me plais à leur charme, mais dans la seule relation d'amitié, qui laisse libre" - libre pour donner le meilleur de son temps au travail de réflexion sur les plus sévères sujets de métaphysique, de morale ou d'éthique, d'histoire et de politique: de là les chapitres "Epicure", "Leibniz", "Kant", " Heidegger", ou "bonheur", "souffrance", "Dieu".
"Zahra", "Beya", "Bojena", "Fanny", "Anne", "Pascale", "Odile", "Daphné", et, bien sûr, "Emilie": autant de chapitres de ce livre.
Cependant, dit l'auteur, "quant aux jeunes femmes, je me plais à leur charme, mais dans la seule relation d'amitié, qui laisse libre" - libre pour donner le meilleur de son temps au travail de réflexion sur les plus sévères sujets de métaphysique, de morale ou d'éthique, d'histoire et de politique: de là les chapitres "Epicure", "Leibniz", "Kant", " Heidegger", ou "bonheur", "souffrance", "Dieu".
Ce quatrième tome de mon " Journal " est, comme les précédents, " étrange ", en ce sens que je n'y relate pas ce qui m'arrive " au jour le jour ", mais seulement ce qui me vient à l'esprit de façon imprévue et non préparée - et qui, la plupart du temps, m'entraîne fort loin de mes occupations du jour. Je vais à l'aventure, accueillant tout, dès lors que j'y trouve quelque trait piquant. C'est le vagabondage de mes pensées. Des observations sur des poètes, des écrivains, des Philosophes (d'Épicure à Clément Rosset) voisinent avec des réflexions sur des problèmes de métaphysique, de morale, d'éthique, de politique avec des échanges épistolaires et les lettres mêmes d'amis ou d'amies (Élodie, Julie, Émilie, Marilyne...). - Il y a toutefois une différence entre ce volume et les précédents. La suite des chapitres n'y est pas gouvernée par le seul hasard des pensées. L'on y trouve, en filigrane, une orientation, et c'est une orientation vers Émilie - qui d'ailleurs donnera son titre au tome V : " Émilie ". " Journal étrange V ".
Ce quatrième tome de mon " Journal " est, comme les précédents, " étrange ", en ce sens que je n'y relate pas ce qui m'arrive " au jour le jour ", mais seulement ce qui me vient à l'esprit de façon imprévue et non préparée - et qui, la plupart du temps, m'entraîne fort loin de mes occupations du jour. Je vais à l'aventure, accueillant tout, dès lors que j'y trouve quelque trait piquant. C'est le vagabondage de mes pensées. Des observations sur des poètes, des écrivains, des Philosophes (d'Épicure à Clément Rosset) voisinent avec des réflexions sur des problèmes de métaphysique, de morale, d'éthique, de politique avec des échanges épistolaires et les lettres mêmes d'amis ou d'amies (Élodie, Julie, Émilie, Marilyne...). - Il y a toutefois une différence entre ce volume et les précédents. La suite des chapitres n'y est pas gouvernée par le seul hasard des pensées. L'on y trouve, en filigrane, une orientation, et c'est une orientation vers Émilie - qui d'ailleurs donnera son titre au tome V : " Émilie ". " Journal étrange V ".
Peut-on éprouver la surabondance d'amour sans être amoureux ? On le peut si le grand âge vous a libéré de la sexualité et de ses fantasmes. Alors l'amour se montre à l'état pur - le désir étant laissé sur la route. Mais que l'objet d'un tel amour soit une nature féminine "sur laquelle les dieux ont dirigé un rayon et qu'un éclat brillant environne", comme dit Pindare, et à la joie d'aimer s'ajoute le ravissement que donne la beauté. Si maintenant à l'amour se joint, par intervalles, la réflexion sur divers sujets d'histoire et de philosophie, avec la tranquillité d'âme que donne la réflexion autant qu'elle la suppose, le résultat paraît bien être quelque chose comme cette " grande santé " dont Nietzsche a parlé et dont Montaigne a donné l'exemple. En elle, l'amour et la philosophie vont ensemble. M C
Peut-on éprouver la surabondance d'amour sans être amoureux ? On le peut si le grand âge vous a libéré de la sexualité et de ses fantasmes. Alors l'amour se montre à l'état pur - le désir étant laissé sur la route. Mais que l'objet d'un tel amour soit une nature féminine "sur laquelle les dieux ont dirigé un rayon et qu'un éclat brillant environne", comme dit Pindare, et à la joie d'aimer s'ajoute le ravissement que donne la beauté. Si maintenant à l'amour se joint, par intervalles, la réflexion sur divers sujets d'histoire et de philosophie, avec la tranquillité d'âme que donne la réflexion autant qu'elle la suppose, le résultat paraît bien être quelque chose comme cette " grande santé " dont Nietzsche a parlé et dont Montaigne a donné l'exemple. En elle, l'amour et la philosophie vont ensemble. M C