Les Rois du nightclub - La série

Un petit garçon avait besoin de moi. Un homme avait besoin de moi. Et je devais me débarrasser à jamais de mon étiquette de jeune vierge effarouchée… L’excitation et la tristesse se mélangent rarement, mais c’est exactement ce que j’ai ressenti en allant travailler comme baby-sitter pour le meilleur ami de mon grand frère. Rejetée par son horrible mère, son fils de deux ans avait désespérément besoin de moi. Je voulais m’occuper du pauvre petit garçon. Mais je suis tombée amoureuse.Du fils et du père. Pour ma famille surprotectrice, aimer le petit garçon ne posait pas de problème. Mais que j’aime son père, à qui mon frère avait formellement défendu de me toucher, n’était pas vraiment bien vu. Personne n’allait accepter cela. J’avais donc dit au milliardaire, qui avait l’habitude de n’en faire qu’à sa tête, qu’il faudrait garder notre relation secrète. Ne surtout pas mentionner nos ébats torrides. Cependant, j’ai découvert que les milliardaires n’aimaient pas se cacher. Alors, combien de temps pourrais-je encore frémir de ses caresses avant que tout soit fini ?

Cette petite beauté a attiré mon attention dès le début. Le déshabillé coquin qu’elle portait mettait en valeur son corps somptueux, bien que le masque eut caché son visage. Mais je l’ai fait mienne et je l’ai fait mienne autant de fois que je voulais ; cette nuit-là, elle m’appartenait. Ma petite esclave m’a donné tout ce que j’attendais d’elle. La toucher est devenu sa perte, l’obligeant à me donner plus qu’elle n’avait jamais donné à personne. En fin de compte, elle m’a donné plus que ce que j’avais négocié au début..

C’était le garçon le plus sexy et il avait été mon voisin aussi longtemps que je me souvienne. À peine sortie du lycée, je venais d’avoir dix-huit ans. Il était sur le point de partir de notre petite ville pour s’engager dans les Marines. Et moi j’étais vierge et j’avais eu la chance d’être la dernière fille à croiser son chemin avant qu’il ne parte pour la guerre le lendemain matin. Ses douces caresses, ses baisers sensuels et ses murmures de velours m’avaient transportés vers des territoires inconnus, et je savais par instinct que lui seul pourrait me faire revivre ce pur bonheur. Mais il devait partir. Ce qui nous restait, c’était la nuit que nous avions partagée. Une nuit de pure passion, de désir et de plaisirs charnels. Sept ans s’étaient écoulés avant que je ne le revoie. Mon corps a réagi immédiatement alors que le feu brûlait dans mes veines. Mais maintenant j’étais la mère d’un petit garçon. Lui aussi avait changé, il était à présent un homme hanté par de mauvais souvenirs – des souvenirs qui tourmentaient son esprit et qui l’avaient peut-être brisé au-delà de toute guérison. L’amour pourrait-il vaincre de tels adversaires ou la guerre ferait-elle une autre victime, me laissant à nouveau seule ?