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Les Sex péchés capitaux - La série

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La liste des tomes


C’est moi qui ai choisi cet hôtel de luxe en périphérie de la ville. Cela fait un quart d’heure que j’y attends mon parfait inconnu au bar lounge, assise sur un tabouret, les jambes croisées ce qui fait un peu remonter ma jupe. Il faut qu’il puisse juger du paquet qui s’offre en cadeau. Jauger le galbe de mes hanches, apprécier la rondeur de ma poitrine, s’attarder sur ma bouche. Imaginer par avance ce qu’il va pouvoir faire de ce corps sexy qui s’offre à lui. De toute façon, je ne suis pas trop regardante. J’ai juste ENVIE d’un mec. N’importe lequel pourvu qu’il me fasse bien l'amour. À ces mots, je me sens un peu humide comme si mon sexe réclamait sa pitance. J’ai fini mon Mojito et j’attends en jetant un œil autour de moi. S’il se dégonfle, s’il ne vient pas il y a quand même quelques potentiels intéressants...
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Description
C’est moi qui ai choisi cet hôtel de luxe en périphérie de la ville. Cela fait un quart d’heure que j’y attends mon parfait inconnu au bar lounge, assise sur un tabouret, les jambes croisées ce qui fait un peu remonter ma jupe. Il faut qu’il puisse juger du paquet qui s’offre en cadeau. Jauger le galbe de mes hanches, apprécier la rondeur de ma poitrine, s’attarder sur ma bouche. Imaginer par avance ce qu’il va pouvoir faire de ce corps sexy qui s’offre à lui. De toute façon, je ne suis pas trop regardante. J’ai juste ENVIE d’un mec. N’importe lequel pourvu qu’il me fasse bien l'amour. À ces mots, je me sens un peu humide comme si mon sexe réclamait sa pitance. J’ai fini mon Mojito et j’attends en jetant un œil autour de moi. S’il se dégonfle, s’il ne vient pas il y a quand même quelques potentiels intéressants...
Au bout de quelques minutes, Catherine a fini son verre d’un trait et elle a suivi l’homme qui l’a prise par la main d’abord puis par la taille ce qui lui a occasionné un frisson. C’est la première fois de sa vie qu’elle se laisse guider par inconnu et maintenant tout devient confus entre sa colère qui lui a fait accepter son invitation et cette attirance qu’elle veut refouler. La sensibilité à fleur de peau, Catherine sent la panique remonter à la surface en même temps que les images crues de son mari et de Katia agissent comme un irritant. Matthieu, ainsi qu’il se prénomme, a été charmant et plein d’esprit. Tandis qu’il l’emmène dans une petite pièce au fond du club libertin, Catherine croise Nadège qui lui fait un large sourire et lui présente Nina une brune latine au tempérament volcanique et exubérant. Roland l’a vue lui aussi. Il lui a adressé un sourire un peu pincé malgré tout suivi d’un clin d’œil et Catherine en déduit que sa vengeance n’en sera pas une. « Éclate-toi, ma belle ». Ses dernières réticences tombent et le délicieux frisson qui la prend lui fait oublier à ce moment sa colère et sa peur. C’est d’un pas plus léger qu’elle marche comme si une ivresse joyeuse la prenait.
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Description
Au bout de quelques minutes, Catherine a fini son verre d’un trait et elle a suivi l’homme qui l’a prise par la main d’abord puis par la taille ce qui lui a occasionné un frisson. C’est la première fois de sa vie qu’elle se laisse guider par inconnu et maintenant tout devient confus entre sa colère qui lui a fait accepter son invitation et cette attirance qu’elle veut refouler. La sensibilité à fleur de peau, Catherine sent la panique remonter à la surface en même temps que les images crues de son mari et de Katia agissent comme un irritant. Matthieu, ainsi qu’il se prénomme, a été charmant et plein d’esprit. Tandis qu’il l’emmène dans une petite pièce au fond du club libertin, Catherine croise Nadège qui lui fait un large sourire et lui présente Nina une brune latine au tempérament volcanique et exubérant. Roland l’a vue lui aussi. Il lui a adressé un sourire un peu pincé malgré tout suivi d’un clin d’œil et Catherine en déduit que sa vengeance n’en sera pas une. « Éclate-toi, ma belle ». Ses dernières réticences tombent et le délicieux frisson qui la prend lui fait oublier à ce moment sa colère et sa peur. C’est d’un pas plus léger qu’elle marche comme si une ivresse joyeuse la prenait.
Six, elles sont six mains désormais à me caresser sur tout le corps. Deux doigts se sont enfoncés dans ma bouche et explorent mon palais, deux autres phalanges se sont introduites dans mon intimité et la fouillent pendant qu’une autre main fait le tour de mon bourgeon qui se décalotte. Une autre paume passe sur mon ventre et mes hanches pendant que les deux dernières pétrissent mes seins qui sont devenus durs. Je réalise alors que Daniel a ramené Guillaume et Olivier. Mais aucun d’eux ne parle et je ne sais pas qui est qui. Je soupire. Voilà, c’était ça son fantasme. Me faire prendre sans réagir par ses potes et lui. Une paresseuse, qui va se laisser faire sans bouger, une subordonnée qui va s’exécuter sans réagir et va devenir leur instrument. J’en frémis d’avance.
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Description
Six, elles sont six mains désormais à me caresser sur tout le corps. Deux doigts se sont enfoncés dans ma bouche et explorent mon palais, deux autres phalanges se sont introduites dans mon intimité et la fouillent pendant qu’une autre main fait le tour de mon bourgeon qui se décalotte. Une autre paume passe sur mon ventre et mes hanches pendant que les deux dernières pétrissent mes seins qui sont devenus durs. Je réalise alors que Daniel a ramené Guillaume et Olivier. Mais aucun d’eux ne parle et je ne sais pas qui est qui. Je soupire. Voilà, c’était ça son fantasme. Me faire prendre sans réagir par ses potes et lui. Une paresseuse, qui va se laisser faire sans bouger, une subordonnée qui va s’exécuter sans réagir et va devenir leur instrument. J’en frémis d’avance.
- Raconte à mes amis ce que tu fais avec moi, dit François d'une voix douce en orientant le caméscope vers Natacha. Son excitation retombe aussitôt et la honte la reprend. Elle déglutit et regarde son amant. « Tu ne vas pas te dégonfler ? » semble-t-il lui dire. Une bouffée d’orgueil remonte à la surface. C’est à Gilbert qu’elle s’adresse à travers l’œil de la caméra. - J'ai menacé mon mari de m'offrir au premier venu et...et j'ai aussi dit qu'il pourrait me faire absolument tout ce qu'il voudrait. Mon mari m'a prise au mot et a engagé François - Vraiment ? Fait l'homme à côté d'elle en s'adressant à François. Absolument tout ? Ca vaut pour nous aussi ? - Oui, si je le lui demande. N'est ce pas cagna ? Répond il en regardant Natacha qui baisse les yeux. L’homme n’a pas attendu sa réponse pour passer sa main dans l’échancrure de la robe et lui peloter un sein. Il est immédiatement suivi par d’autres....
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- Raconte à mes amis ce que tu fais avec moi, dit François d'une voix douce en orientant le caméscope vers Natacha. Son excitation retombe aussitôt et la honte la reprend. Elle déglutit et regarde son amant. « Tu ne vas pas te dégonfler ? » semble-t-il lui dire. Une bouffée d’orgueil remonte à la surface. C’est à Gilbert qu’elle s’adresse à travers l’œil de la caméra. - J'ai menacé mon mari de m'offrir au premier venu et...et j'ai aussi dit qu'il pourrait me faire absolument tout ce qu'il voudrait. Mon mari m'a prise au mot et a engagé François - Vraiment ? Fait l'homme à côté d'elle en s'adressant à François. Absolument tout ? Ca vaut pour nous aussi ? - Oui, si je le lui demande. N'est ce pas cagna ? Répond il en regardant Natacha qui baisse les yeux. L’homme n’a pas attendu sa réponse pour passer sa main dans l’échancrure de la robe et lui peloter un sein. Il est immédiatement suivi par d’autres....
— Dis-moi, Anne-Charlotte, fait Aline d’une voix douce. Tu n’as jamais pensé à des choses cochonnes ? Des choses qui sont sales, mais aussi terriblement excitantes, appuie-t-elle. Son sourire s’agrandit en même temps dévoilant deux rangées de perles éclatantes entre ses lèvres fines. Je reste pétrifiée, les yeux baissés, remplie de gêne. Je n’ose pas me lever. Je tremble, je me sens percée à jour tandis qu’elle s’est encore approchée, caressant mon visage, posant un baiser sur mon front, puis sur ma joue. Je frissonne tandis qu’elle me parle à l’oreille maintenant. Je sens son odeur suave et son souffle sur ma peau. J’ai peur, mais en même temps une douce chaleur envahit mon corps, tandis que sa main se pose sur mon sein droit et qu’elle s’agenouille entre mes jambes en continuant à caresser mon mamelon.— Qu’est-ce que tu veux ? Dis-je en articulant péniblement sous sa main qui fait durcir mon téton sous ma robe.— La même chose que toi, répond Aline en déboutonnant le haut de ma robe.
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— Dis-moi, Anne-Charlotte, fait Aline d’une voix douce. Tu n’as jamais pensé à des choses cochonnes ? Des choses qui sont sales, mais aussi terriblement excitantes, appuie-t-elle. Son sourire s’agrandit en même temps dévoilant deux rangées de perles éclatantes entre ses lèvres fines. Je reste pétrifiée, les yeux baissés, remplie de gêne. Je n’ose pas me lever. Je tremble, je me sens percée à jour tandis qu’elle s’est encore approchée, caressant mon visage, posant un baiser sur mon front, puis sur ma joue. Je frissonne tandis qu’elle me parle à l’oreille maintenant. Je sens son odeur suave et son souffle sur ma peau. J’ai peur, mais en même temps une douce chaleur envahit mon corps, tandis que sa main se pose sur mon sein droit et qu’elle s’agenouille entre mes jambes en continuant à caresser mon mamelon.— Qu’est-ce que tu veux ? Dis-je en articulant péniblement sous sa main qui fait durcir mon téton sous ma robe.— La même chose que toi, répond Aline en déboutonnant le haut de ma robe.
Les écouteurs enfoncés dans les oreilles et cachés par sa chevelure, Marion marche, son cœur battant à cent à l’heure. Elle ne voit pas ou est Françoise parmi la foule. Peut-être devant elle, ou de l’autre côté de la rue. Ou bien derrière à la suivre. Elle n’entend que sa voix dans ses oreilles. C’est comme si elle était dans son cerveau. Françoise la guide par son portable au fond de son sac. - La tête droite, bombe le torse et allonge le pas. Indifférente aux regards qui se posent depuis sur ses pieds nus, ses mollets galbés et sa démarche chaloupée qui fait rouler ses fesses, Marion obéit aussitôt. Sa robe est largement ouverte et on voit tressauter ses seins par le décolleté tandis qu’en faisant des pas plus grands, elle dévoile ses cuisses jusqu’à son entrejambes. Des regards croisent maintenant le sien, s’attardent sur ses courbes, la déshabillent des yeux. Françoise l'a faite se diriger vers le parc et Marion commence à croiser des promeneurs et des gens pressés qui coupent par les grandes allées pour rentrer chez eux. Son cœur bat la chamade tandis que sur les ordres de Françoise, elle s’enfonce dans le vaste espace tandis que la nuit tombe. Un type vêtu d’un blouson en daim et d’un jean gris s'est retourné pour la mater sans vergogne. - Fais lui signe de te suivre et prends la première allée à ta droite. Marion obéit en tremblant. Elle sait d’avance ou cela va la mener. Dès que le soir tombe, cette partie du parc est le repaire des voyeurs, des exhibitionnistes et des candaulistes, la municipalité préférant les canaliser ici à l’abri des regards plutôt que dans les rues des quartiers chics de la ville.. Elle se retourne légèrement. L’homme la suit à distance et la jeune femme distingue aussi d’autres ombres dans les chemins alentours. L’allée débouche sur une petite clairière d’où partent cinq autres chemins identiques. Au milieu de l’espace circulaire, un tronc couché sert de banc. Marion tressaille sous la voix qui pénètre dans ses oreilles. — À poils, a fait suavement Françoise dans les écouteurs. Tu mets ta robe dans ton sac et tu t’assois les jambes écartées sur le tronc.
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Description
Les écouteurs enfoncés dans les oreilles et cachés par sa chevelure, Marion marche, son cœur battant à cent à l’heure. Elle ne voit pas ou est Françoise parmi la foule. Peut-être devant elle, ou de l’autre côté de la rue. Ou bien derrière à la suivre. Elle n’entend que sa voix dans ses oreilles. C’est comme si elle était dans son cerveau. Françoise la guide par son portable au fond de son sac. - La tête droite, bombe le torse et allonge le pas. Indifférente aux regards qui se posent depuis sur ses pieds nus, ses mollets galbés et sa démarche chaloupée qui fait rouler ses fesses, Marion obéit aussitôt. Sa robe est largement ouverte et on voit tressauter ses seins par le décolleté tandis qu’en faisant des pas plus grands, elle dévoile ses cuisses jusqu’à son entrejambes. Des regards croisent maintenant le sien, s’attardent sur ses courbes, la déshabillent des yeux. Françoise l'a faite se diriger vers le parc et Marion commence à croiser des promeneurs et des gens pressés qui coupent par les grandes allées pour rentrer chez eux. Son cœur bat la chamade tandis que sur les ordres de Françoise, elle s’enfonce dans le vaste espace tandis que la nuit tombe. Un type vêtu d’un blouson en daim et d’un jean gris s'est retourné pour la mater sans vergogne. - Fais lui signe de te suivre et prends la première allée à ta droite. Marion obéit en tremblant. Elle sait d’avance ou cela va la mener. Dès que le soir tombe, cette partie du parc est le repaire des voyeurs, des exhibitionnistes et des candaulistes, la municipalité préférant les canaliser ici à l’abri des regards plutôt que dans les rues des quartiers chics de la ville.. Elle se retourne légèrement. L’homme la suit à distance et la jeune femme distingue aussi d’autres ombres dans les chemins alentours. L’allée débouche sur une petite clairière d’où partent cinq autres chemins identiques. Au milieu de l’espace circulaire, un tronc couché sert de banc. Marion tressaille sous la voix qui pénètre dans ses oreilles. — À poils, a fait suavement Françoise dans les écouteurs. Tu mets ta robe dans ton sac et tu t’assois les jambes écartées sur le tronc.
J’ai passé simultanément mes mains sous ma robe et saisi l’élastique de ma culotte. Elle se roule rapidement en boule sur mes chevilles et je la balance sur le siège arrière en riant. Décidément, Simon m’épate. Il a sûrement préparé son coup depuis des semaines. Je n’ai jamais fait de dogging, mais il a réussi à m’émoustiller rien qu’en m’en parlant. J’ai une confiance totale en lui. Je sais qu’il me laissera mon libre arbitre et qu’il sera là pour me protéger si ça dérape. Je m’assoupis maintenant pendant que la voiture roule sentant la main de mon mari négligemment posée sur ma cuisse. Tandis que je somnole, je sens sa paume passer au-dessous de la petite robe d’été très évasée ce qui permet à sa main de remonter très haut, jusqu’à toucher mon intimité nue et déjà trempée. Je me suis voulue totalement disponible, prête à tous les plaisirs et dans mon demi-sommeil, j’écarte mes cuisses pour me laisser caresser.
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Description
J’ai passé simultanément mes mains sous ma robe et saisi l’élastique de ma culotte. Elle se roule rapidement en boule sur mes chevilles et je la balance sur le siège arrière en riant. Décidément, Simon m’épate. Il a sûrement préparé son coup depuis des semaines. Je n’ai jamais fait de dogging, mais il a réussi à m’émoustiller rien qu’en m’en parlant. J’ai une confiance totale en lui. Je sais qu’il me laissera mon libre arbitre et qu’il sera là pour me protéger si ça dérape. Je m’assoupis maintenant pendant que la voiture roule sentant la main de mon mari négligemment posée sur ma cuisse. Tandis que je somnole, je sens sa paume passer au-dessous de la petite robe d’été très évasée ce qui permet à sa main de remonter très haut, jusqu’à toucher mon intimité nue et déjà trempée. Je me suis voulue totalement disponible, prête à tous les plaisirs et dans mon demi-sommeil, j’écarte mes cuisses pour me laisser caresser.

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