Pluie de crimes à Nîmes - La série

Le commandant Jean-Yves Furlane et son adjoint le major Damien Jacquier, tous deux Officiers de Police judiciaire, sont en charge d’enquêter sur divers meurtres commis dans l’agglomération nîmoise. Une recrue de talentvient ensuite s’agréger à leur équipe, en la personne de Sabrina Régnier, jeune stagiaire officier, devenue par la force desévénements : le capitaine Régnier. Autant dire que les criminels ne vont pas être à la fête… Quatre enquêtes policières sur le sol nîmois, pour une série qui ne demande qu’à s’étoffer : - Deux morts en plein vol - Mady la Nîmoise et sa Deudeuche - Double meurtre à la marseillaise - L’homme qui murmurait à l’oreille des filles ; Double vie

Cette nouvelle série s’articule en trois parties : Avant La Bagatelle, pendant et après Bagatelle. Durant les deux premières, Édouard et Solveig Martel, frère et sœur, vont subir de mystérieuses et cruelles disparitions dans leur entourage. En premier lieu l’inexplicable décès accidentel de leurs parents, au décollage d’un voyage d’affaires vers l’ex U.R.S.S…Tout au long de l’adolescence des deux orphelins, privés d’une jeunesse dorée qui leur était promise, grâce aux encouragements de son frère aîné, Solveig ne baisse jamais les bras. Après chaque déchirure, Édouard, en frère protecteur, sait insuffler à sa cadette le courage de rebondir.Rien n’est gagné d’avance, s’agissant de mettre un terme aux avatars sournois et déstabilisants subis par Solveig et Édouard jusqu’à leur majorité ; jusqu’au séjour piloté par Solveig dans un cadre de rêve, en Cévennes gardoises…De quoi donner du fil à retordre au Capitaine Sabrina Régnier et à son adjoint, le major Damien Jacquier, deux enquêteurs nîmois, déterminés à démonétiser le prédateur de l’ombre…

La série « Pluie de crimes à Nîmes » s’enrichit d’un troisième tome comportant deux nouvelles fictions : - Les deux Maliens - Rocco, avec deux C ? Le capitaine Sabrina Régnier et son adjoint le major Damien Jacquier, sont confrontés à deux nouvelles enquêtes, dérivant sur des sujets de société empruntés à l’air du temps. En l’absence prolongée de témoignages et d’indices matériels, les deux enquêteurs connaîtront des jours sans, plus fréquemment que des jours avec. Jusqu’au moment où la conjugaison de leur opiniâtreté fera émerger la vérité ; vérité si souvent réclamée, avec une certaine nervosité, par la juge d’instruction : Ludivine Poletti. Une nouvelle fois l’auteur zigzague entre les sentiments passionnels et les pulsions assassines, avec pour théâtre naturel les garrigues de la capitale gardoise qu’il affectionne particulièrement, pour y avoir un jour posé ses valises.

L’efficacité de l’équipe investiguant sous le contrôle de la juge Ludivine Poletti, du capitaine Sabrina Régnier et du major Damien Jacquier, n’est plus à démontrer.Une nouvelle enquête doit être instruite à la suite d’un grave accident de circulation, survenu par une froide nuit de février, près de la gare de Nîmes.Les enquêteurs n’ont à se mettre sous la dent que l’unique témoignage d’un passant ; lequel a davantage entendu que vu, l’impact de la Toyota Yaris accidentée. Pour plusieurs raisons successives et imprévisibles, la crédibilité de son appréciation des faits court le risque d’être rapidement remise en cause.Reste à déterminer si ledit témoin, qui n’était probablement pas à jeun, n’aurait pas eu tendance à voir double…

L’auteur fait la part belle à la capitale gardoise, qu’il connaît sur le bout des doigts pour y avoir posé ses valises :De mystérieux assassinats, sont perpétrés en divers points de la ville romaine. La juge Ludivine Poletti, est chargée d’instruire l’enquête, en association avec le trinôme : le capitaine Sabrina Régnier, secondée par le major Damien Jacquier et une nouvelle recrue Christelle Testut. Comme souvent, la difficulté à rassembler preuves et témoignages va compliquer la tâche des limiers de la PJ nîmoise. Une nouvelle fois, un ou plusieurs coupables, excellent dans l’art de court-circuiter leur mission d’enquêteurs. L’équipe soudée, pilotée admirablement par le capitaine Sabrina Régnier, est déterminée à traquer la première erreur fatale dans le mode opératoire du ou des suspects. Les trois OPJ n'auront de cesse de prouver que professionnalisme et patience, sauront se porter au service de la vérité.

Une nouvelle fois l’auteur plébiscite sa ville d’adoption, au point d’y dresser le théâtre de sa nouvelle fiction policière : Deux squelettes en tous points identiques, découverts fortuitement dans un lieu improbable, vont donner du fil à retordre aux limiers de la P.J. Nîmoise.Une nouvelle fois, il ne sera pas surprenant de découvrir que certains talents ont pu se compromettre pitoyablement au service d’une perfide stratégie criminelle. On ne présente plus le commandant Sabrina Régnier, le lieutenant Christelle Testut et l’éternel Damien Jacquier, major, connu pour son franc parler. Tous trois, sous l’autorité de la Juge Ludivine Poletti, vont avoir de multiples occasions de prouver que leur réputation de fins limiers est loin d’être usurpée.Une nouvelle fois l’auteur se veut à la charnière de l’air du temps, et ne s’interdit pas de relater, sans tabou, la diversité des mœurs. Ici, chacun des personnages vit ses options sentimentales, librement et passionnément, quel que soit son rang dans la société.

Plusieurs accidents de circulation mortels inexplicables en quelques jours et en centre-ville, ça fait désordre…La nouvelle fiction, sous-titrée : La Camarde plurielle, entre, plus encore que les dix précédentes, dans le cadre de la série : - Pluie de crimes à NÎMES Autant dire que ce nouveau roman aurait pu s’intituler : « Des crimes comme s’il en pleuvait », voire Serial killer. Comme à leur habitude, les trois enquêteurs, la commandante Sabrina Régnier, le lieutenant Christelle Testut et le major Damien Jacquier, sous la baguette de la juge Ludivine Poletti, vont devoir jouer harmonieusement une partition peuplée de bémols et de dièses. Sauront-ils éviter les couacs en enquêtant sur les talons d’un supposé prédateur, dont on pense qu’il tente de se faire justice lui-même sans laisser la moindre trace de ses forfaits ? (Mais pas que...)

Vivre au rythme d’une FERIA un week–end de Pentecôte à Nîmes, ça ne s’improvise pas, sauf si, la fête finie, l’on préfère dormir à la belle étoile. Le jeune Strasbourgeois Kévin Eustache l’avait anticipé plusieurs mois auparavant, en réservant une chambre au Grand Hôtel de Nîmes……Kévin eut beaucoup de succès. Aucun des participants réunis autour d’Alicia n’eut le mauvais goût de faire allusion aux contretemps qui s’étaient abattus sur lui. On était là pour rire, pour se congratuler, pour échanger, pour consommer…On peut tout prévoir sauf les impondérables mais également les rencontres qui vont tout remettre en cause. Et, dans ces domaines, Kévin ne fut pas épargné…

On ne présente plus la commandante Sabrina Régnier et son lieutenant Christelle Testut, ni le guilleret Damien Jacquier, ou la jeune et brillante détective privée Alicia Julien.L’auteur poursuit sa série « Pluie de crimes à Nîmes ». Autant dire que son 15ème roman ne change ni l’équipe qui gagne… à être connue, ni le théâtre qu’offre la ville de Nîmes à sa série de fictions. Seul le comportement des personnages est adapté à l’air du temps, qu’il s’agisse des mœurs ou des tribulations que tout un chacun est sensé rencontrer dans son voisinage.… Le tortionnaire n’avait rien d’un apprenti… Les enquêteurs en étaient à se demander si l’autre Toulousaine n’aurait pas été à son tour assassinée ; le tueur s’en serait pris à la compagne de la victime afin de ne pas être dénoncé…

Dans notre quotidien, où le sujet - vieux comme les hommes - de « la femme dans la société » est loin d’être éludé, l’auteur a laissé son inspiration surfer sur ce thème. Comme précédemment, sa fiction se nourrit de l’air du temps, où la sympathie, la générosité, les contretemps de l’existence, la perfidie, l'irréparable, viennent tour à tour à la rencontre des charmantes personnes : Lorette (Lola), Ana, Alicia (Lili), Virna, Patricia (Pat), Lucia, Amélie (Amy), Sabrina (Sab), Christelle (Chris) et Ludivine (Ludi), lesquelles ne sont pas différentes des jolies silhouettes que l’on croise dans nos rues ; dans les rues de Nîmes pour ne rien changer à sa ligne d’écriture. À l’occasion de son 16ème roman Claude Guibbert prolonge son enracinement dans le patrimoine local en cadrant ses fictions sur des lieux connus ou moins connus des Nîmois. Il ne boude pas également le plaisir de mettre en avant certaines expressions typiquement nîmoises.

Ronde de nuit de la police municipale : Une voiture abandonnée tous feux allumés, sur un parking isolé, plus la présence d’une trainée de sang aux abords du véhicule et l’absence de victime. S’agit-il d’un kidnapping, d’une agression, ou d’un abandon volontairement orchestré ? Qu’est devenu conducteur qui ne donne plus signe de vie ? Plus que jamais dans l’air du temps, ce 17ème roman aborde avec une certaine hauteur les mœurs qui font encore débat dans notre société. Une nouvelle fois, la série « Pluie de crimes à Nîmes » fait la part belle à de brillantes « enquêteuses » ; vocable que l’auteur préfère à celui « d’enquêtrice », lequel est spécifique aux instituts de sondages.

Le 12ème tome de la série « Pluie de crimes à Nîmes », comme les précédents, mobilise Christelle Testut, Damien Jacquier, tous deux sous les ordres de la commandante Sabrina Régnier, pour résoudre une enquête plutôt hermétique. Les trois fins limiers de la crim devront alors compter sur la malicieuse détective privée Alicia Julien, laquelle maîtrise l’art de se trouver toujours au bon endroit et au bon moment. Alicia est toute désignée pour apporter sur un plateau aux enquêteurs officiels, une partie des preuves faisant défaut à leurs investigations ; investigations visant à faire la part des choses à propos d’un cadavre non identifiable, tombé du ciel lors d’une nocturne de danse sévillane des - Jeudis de Nîmes, et plus encore…Pour rester en phase avec le thème de sa série, l’auteur met plus que jamais en relief le cadre de sa ville d’adoption, et ne se prive pas de surfer sur tous les aspects sentimentaux visant les personnages de cette fiction, sans perdre de vue les traits d’humour qui collent à la peau des facétieux Jacquier, Christelle et Alicia.

… Samedi, journée de grande affluence dans les rues commerçantes du centre-ville de Nîmes. Un SUV de couleur blanche circule à très grande vitesse, en zigzagant entre les files de véhicules. Bilan inévitable : deux piétons fauchés sur un passage protégé. Le chauffard en fuite après avoir commis l’irréparable au volant d’une puissante voiture, devenue une arme fatale entre les mains d’un irresponsable. L’absence de témoignage précis va donner du fil à retordre aux limiers de la PJ…On pouvait dire d’Alicia qu’elle avait la pertinence heureuse. Audacieuse avant tout, il n’était pas rare qu’elle engrange de très bons résultats sur une simple idée. Flair, intuition féminine, expérience, peu lui importait d’analyser les raisons qui lui donnaient des ailes. Elle triomphait la plupart du temps, et ce n’est pas Jacquier qui l’avait côtoyée professionnellement à ses débuts qui pouvait alléguer le contraire. Pour le major expérimenté, Alicia était un petit génie. Et le petit génie allait, une fois de plus, ajouter une étoile à son palmarès…

Un appel téléphonique anonyme informe le 18 d’un départ de feu sur un véhicule situé non loin du Centre commercial des 7 collines de Nîmes. À l’arrivée des secours, il y a de fortes chances pour que le corps inerte, présent sur le siège du conducteur, ait subi le même sort que l’épave calcinée à l’intérieur de laquelle les sauveteurs le découvrent. Suicide ou meurtre ? L’enquête confiée à la juge Poletti et à la commandante Régnier est totalement en phase avec l‘air du temps, et l’on peut dire qu’elle va se présenter en pièces détachées… Il faudra aussi compter sur le professionnalisme des fins limiers de la crim : Christelle Testut et Damien Jacquier, auquel s'associeront : la jeune et talentueuse détective privée, Alicia Julien, en étroite association avec son compagnon Thomas.

La disparition accidentelle d’une voisine, dont le corps sans vie gisant sur le sol est retrouvé au petit matin par l’infirmière venue lui prodiguer les soins quotidiens, met en émoi les personnes qui l’avaient côtoyée la veille. Malgré l’absence de preuves vérifiables, la détective privée Alicia Julien sera la première à refuser de croire à la thèse d’un accident fatal. Son intuition et son âpre détermination à faire la lumière sur des faits troublants, n’auront de cesse de valoriser son enquête privée. L’occasion lui sera donnée de mettre en avant ses propres codes, à ses risques et périls, pour tenter de confondre l’imprévisible coupable du meurtre.