Révélations érotiques - La série

« Dear Diary ». Quand Agathe a reçu cet email au bureau, elle a failli tourner de l'œil en le lisant. C'était lui. Le nouveau boss sur lequel elle n'arrivait pas à ne pas fantasmer, le jour, la nuit, au bureau, dans son lit... Il lui annonçait très froidement qu'il avait trouvé un carnet de note qui semblait être assez privé… et qui semblait lui appartenir… son journal intime qu'elle avait égaré. Il l'avait. Et si il l'avait lu, il savait tout de ses secrets, de ses fantasmes, et de son désir pour lui…

Quand Agathe reçoit un mail de son nouveau patron, l’informant qu’il a trouvé son journal intime et qu’il doit le lui rendre, son monde bascule. Le dit journal ne raconte pas sa vie, mais tous les fantasmes qu’elle nourrit pour lui, Raphaël. Des fantasmes violents, cruels mêmes, à garder pour les rêveries du soir. Des fantasmes pouvant la mettre aux ordres de Raphaël, d’une simple phrase. Et pas moyen de savoir s’il a lu ou non. Les choses se compliquent quand il l’invite à dîner, comme ça, alors qu’il ne lui avait presque jamais parlé auparavant. Toute la soirée se passe très normalement, mais le doute persiste… et empire quand, innocemment, Raphaël prononce une phrase sortie presque tout droit du journal. Un code, lui ordonnant de se masturber sous la table. Un ordre qu’elle a passé des mois à imaginer…

Quand Agathe perd la trace de son journal, et que son patron Raphaël remet la main dessus, le cours de sa vie bascule :le journal contient le détail de son attirance pour lui, de l’obsession qu’elle a à imaginer des scénarios tous plus sombres les uns que les autres où il fait ce qu’il veut d’elle… autant dire que ce n’est pas quelque chose qu’elle veut voir entre ses mains. Le doute persiste alors que sa relation avec Raphaël évolue, que la frontière entre écrit et réalité s’amenuise, et même alors qu’ils tombent dans les bras l’un de l’autre. Tout est alors parfait, sans défaut, et ne demeure que la question : a-t-il lu le journal ? Agathe aurait pu souhaiter que ce soit le cas, puisque lorsqu’il le lit devant elle, il devient clair que la réponse est non. C’est là que tout s’effondre.