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L'équipe qui a réalisé ce premier numéro de Scribulation s'est formée a fil des années sur le Net et s'est déjà rassemblée autour de plusieurs projets littéraires dont l'un d'entre eux a vu son aboutissement sous la forme d'une édition papier (Photomaton). Aujourd'hui nous nous interrogeons sur le devenir de l'abondante production des ateliers d'écriture comme nous les connaissons : textes impulsés par une proposition d'écriture ou dictés par les circonstances, individuels ou collectifs, lus, commentés, corrigés, améliorés, puis... rangés au fond d'un tiroir ou d'un disque dur. Il nous semble y avoir là un gisement important de textes injustement privés de toute perspective d'édition, non en raison de leur qualité mais à cause de leur isolement et sans doute faute d'un support qui leur soit consacré. Scribulation veut offrir à ces textes un espace de publication qui permette à la fois de les sortir de l'ombre et de la confidentialité, d'en partager la lecture et de les réunir en volumes dont on puisse être fier. Si Internet est une sorte de mixer à idées, c'est aussi un jungle dans laquelle des auteurs s'essayent, se cherchent, souvent se trouvent et parfois se mélangent. mais force est de constater qu'éparpillés sur la toile nos textes composent un inextricable réseau de thèmes bondissants, se répondant en écho, tirant dans leur sillages de écrits parfois sages mais le plus souvent échevelés, dans un désordre où les lecteurs se perdent de clics en clics. un peu d'organisation s'imposait donc pour pouvoir les donner lire. Cependant, comme nous aimons également le désordre créateur, Scribulation reste foisonnante en dépit des sages onglets permettant d'en baliser les rubriques. À ces préoccupations presque terre-à-terre, on peut en ajouter d'autre, essentielles, dont tous les participants aux ateliers d'écriture pourraient témoigner : se réunir pour écrire encourage, stimule, ouvre des perspectives nouvelles et permet de rencontrer ses premiers lecteurs. C'est donc bien du plaisir d'écrire, tout particulièrement avec d'autre, dont veut témoigner Scribulation. Alors n'attendez pas que votre disque dur ou vos boîtes à chaussures débordent pour répondre à notre invitation : rejoignez les scribulateurs !
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Description
L'équipe qui a réalisé ce premier numéro de Scribulation s'est formée a fil des années sur le Net et s'est déjà rassemblée autour de plusieurs projets littéraires dont l'un d'entre eux a vu son aboutissement sous la forme d'une édition papier (Photomaton). Aujourd'hui nous nous interrogeons sur le devenir de l'abondante production des ateliers d'écriture comme nous les connaissons : textes impulsés par une proposition d'écriture ou dictés par les circonstances, individuels ou collectifs, lus, commentés, corrigés, améliorés, puis... rangés au fond d'un tiroir ou d'un disque dur. Il nous semble y avoir là un gisement important de textes injustement privés de toute perspective d'édition, non en raison de leur qualité mais à cause de leur isolement et sans doute faute d'un support qui leur soit consacré. Scribulation veut offrir à ces textes un espace de publication qui permette à la fois de les sortir de l'ombre et de la confidentialité, d'en partager la lecture et de les réunir en volumes dont on puisse être fier. Si Internet est une sorte de mixer à idées, c'est aussi un jungle dans laquelle des auteurs s'essayent, se cherchent, souvent se trouvent et parfois se mélangent. mais force est de constater qu'éparpillés sur la toile nos textes composent un inextricable réseau de thèmes bondissants, se répondant en écho, tirant dans leur sillages de écrits parfois sages mais le plus souvent échevelés, dans un désordre où les lecteurs se perdent de clics en clics. un peu d'organisation s'imposait donc pour pouvoir les donner lire. Cependant, comme nous aimons également le désordre créateur, Scribulation reste foisonnante en dépit des sages onglets permettant d'en baliser les rubriques. À ces préoccupations presque terre-à-terre, on peut en ajouter d'autre, essentielles, dont tous les participants aux ateliers d'écriture pourraient témoigner : se réunir pour écrire encourage, stimule, ouvre des perspectives nouvelles et permet de rencontrer ses premiers lecteurs. C'est donc bien du plaisir d'écrire, tout particulièrement avec d'autre, dont veut témoigner Scribulation. Alors n'attendez pas que votre disque dur ou vos boîtes à chaussures débordent pour répondre à notre invitation : rejoignez les scribulateurs !
En choisissant de porter une attention particulière à l'écriture, celle pratiquée en atelier, Scribulations voudrait focaliser moins sur l'auteur et le texte que sur ce qui les réunit. Bien sûr, dans Scribulations, les textes sont ce qui se donne à voir en premier. Ils ont un intérêt et une vie propres, en dehors de toute utilisation pour illustrer un propos ou étayer une ligne éditoriale. L'auteur reste lui aussi irréductible, mais c'est en deçà du texte, juste au-delà de l'auteur, dans cet entre-deux de l'écriture que nous voudrions voir Scribulations prendre toute sa place. L'intention se heurte à deux difficultés : la première d'isoler assez l'écriture du point d'origine que représente l'auteur et tu point d'arrivée que figure le texte ; la deuxième de ne pas oublier la transcendance selon laquelle l'écriture n'est pas qu'une technique. L'atelier d'écriture crée les conditions pour que l'écriture survienne, mais on sait bien que ni le groupe, ni la convivialité ne sont nécessaires et suffisants. C'est-à-dire qu'on peut très bien se passer d'écrire avec d'autres pour écrire et qu'écrivant avec d'autres, on écrit quand même irrémédiablement seul. Dès lors, ce qui nous intéresse, ce qui nous intéresse vraiment et dont Scribulations voudrait témoigner, c'est ce que montrent les auteurs à travers leurs textes de l'attitude, de la posture qu'ils prennent. Là réside peut-être la vrai différence entre ceux qui ont adopté l'écriture comme moyen d'expression, puisqu'au final ils mettent tous en oeuvre grosso modo la même matière, le même langage. En procédant par analogie, on pourrait dire que si l'auteur était un potier, son argile serait la langue, son tour l'écriture et son texte le pot. il nous faudrait alors lire dans ce pot, sa forme, sa couleur, son usage, ce que l'objet nous dit de l'art de son potier. Si l'auteur était danseur, les mots seraient des gestes, l'écriture sa danse et le texte ce qu'ils nous en donne à voir. Il faudrait là encore nous laisser toucher par c que tiennent ces gestes, au-delà de la scène, d'un propos plus large et nous figurer quelle architecture sensible ils nous font partager. Si l'auteur était cuisinier, les mots seraient des ingrédients, écrire serait cuisiner et le texte un plat, mais au-delà des qualités nutritives et gustatives du résultat, il nous faudrait apprécier tout le reste, l'essentiel, les souvenirs convoqués par les saveurs, les voyages, les découvertes.
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En choisissant de porter une attention particulière à l'écriture, celle pratiquée en atelier, Scribulations voudrait focaliser moins sur l'auteur et le texte que sur ce qui les réunit. Bien sûr, dans Scribulations, les textes sont ce qui se donne à voir en premier. Ils ont un intérêt et une vie propres, en dehors de toute utilisation pour illustrer un propos ou étayer une ligne éditoriale. L'auteur reste lui aussi irréductible, mais c'est en deçà du texte, juste au-delà de l'auteur, dans cet entre-deux de l'écriture que nous voudrions voir Scribulations prendre toute sa place. L'intention se heurte à deux difficultés : la première d'isoler assez l'écriture du point d'origine que représente l'auteur et tu point d'arrivée que figure le texte ; la deuxième de ne pas oublier la transcendance selon laquelle l'écriture n'est pas qu'une technique. L'atelier d'écriture crée les conditions pour que l'écriture survienne, mais on sait bien que ni le groupe, ni la convivialité ne sont nécessaires et suffisants. C'est-à-dire qu'on peut très bien se passer d'écrire avec d'autres pour écrire et qu'écrivant avec d'autres, on écrit quand même irrémédiablement seul. Dès lors, ce qui nous intéresse, ce qui nous intéresse vraiment et dont Scribulations voudrait témoigner, c'est ce que montrent les auteurs à travers leurs textes de l'attitude, de la posture qu'ils prennent. Là réside peut-être la vrai différence entre ceux qui ont adopté l'écriture comme moyen d'expression, puisqu'au final ils mettent tous en oeuvre grosso modo la même matière, le même langage. En procédant par analogie, on pourrait dire que si l'auteur était un potier, son argile serait la langue, son tour l'écriture et son texte le pot. il nous faudrait alors lire dans ce pot, sa forme, sa couleur, son usage, ce que l'objet nous dit de l'art de son potier. Si l'auteur était danseur, les mots seraient des gestes, l'écriture sa danse et le texte ce qu'ils nous en donne à voir. Il faudrait là encore nous laisser toucher par c que tiennent ces gestes, au-delà de la scène, d'un propos plus large et nous figurer quelle architecture sensible ils nous font partager. Si l'auteur était cuisinier, les mots seraient des ingrédients, écrire serait cuisiner et le texte un plat, mais au-delà des qualités nutritives et gustatives du résultat, il nous faudrait apprécier tout le reste, l'essentiel, les souvenirs convoqués par les saveurs, les voyages, les découvertes.
Des histoires courtes, des contes modernes. Nos scribulateurs à l'imagination intense barbouillent les mots d'images bouillonnantes et taillent leurs phrases dans la chair fraîche du quotidien. Ca surprend, enchante ou rebute mais ça stimule allègrement. Tu montes, chéri ?
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Description
Des histoires courtes, des contes modernes. Nos scribulateurs à l'imagination intense barbouillent les mots d'images bouillonnantes et taillent leurs phrases dans la chair fraîche du quotidien. Ca surprend, enchante ou rebute mais ça stimule allègrement. Tu montes, chéri ?

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