Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Zéphyr a dix ans. Anormal, atypique, ce petit garçon fait de tout une fête et miel de toutes choses. Cette année-là, ce sont les vacances : il y a la mer, les arbres, le ciel, le soleil, tout ce qu'il faut pour exister. Il y a aussi un Papa colérique, une Maman fantôme, un pseudo parrain attentionné et farceur : l'essentiel de son monde. Il y a aussi les choses de l'invisible. Celles que les adultes ne voient pas. Les lourds secrets qu'on partage malgré soi.
Entre pensée magique et visions créatrices, le monde de Zéphyr se déploie. Le garçon livre le récit d'une transformation, d'une fin de règne, d'un voyage au bout de soi-même, nous reconnectant au maître-mot de l'enfance, à son unité souveraine : la liberté.
Zéphyr a dix ans. Anormal, atypique, ce petit garçon fait de tout une fête et miel de toutes choses. Cette année-là, ce sont les vacances : il y a la mer, les arbres, le ciel, le soleil, tout ce qu'il faut pour exister. Il y a aussi un Papa colérique, une Maman fantôme, un pseudo parrain attentionné et farceur : l'essentiel de son monde. Il y a aussi les choses de l'invisible. Celles que les adultes ne voient pas. Les lourds secrets qu'on partage malgré soi.
Entre pensée magique et visions créatrices, le monde de Zéphyr se déploie. Le garçon livre le récit d'une transformation, d'une fin de règne, d'un voyage au bout de soi-même, nous reconnectant au maître-mot de l'enfance, à son unité souveraine : la liberté.
Zéphyr a grandi. Les quolibets et les mauvais traitements sont loin. Les difformités gommées, le jeune homme embrasse une vie ordinaire et méritée. Il est à l’âge où la masculinité se déploie. Mais il sent bien que pour devenir tout à fait homme, une pièce du puzzle lui manque. Certains dossiers en souffrance attendent d’être réglés. Quand les souvenirs réémergent et que le désir pointe le bout de son museau, Zéphyr sent qu’il est l’heure d’entamer son voyage. Dans son sac, il n’emporte que cette conviction solide : quelque chose ou quelqu’un doit mourir.
Qui a dit que les résiliences étaient toutes socialement convenables ?
Zéphyr a grandi. Les quolibets et les mauvais traitements sont loin. Les difformités gommées, le jeune homme embrasse une vie ordinaire et méritée. Il est à l’âge où la masculinité se déploie. Mais il sent bien que pour devenir tout à fait homme, une pièce du puzzle lui manque. Certains dossiers en souffrance attendent d’être réglés. Quand les souvenirs réémergent et que le désir pointe le bout de son museau, Zéphyr sent qu’il est l’heure d’entamer son voyage. Dans son sac, il n’emporte que cette conviction solide : quelque chose ou quelqu’un doit mourir.
Qui a dit que les résiliences étaient toutes socialement convenables ?