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Pourvu que ce ne soit pas un loup-garou ou un vampire.
Sauf s’il ressemble à Ian Somerhalder ! Là c’est OK, il peut venir.
Afficher en entierJe vis comme aux temps des colons et de La Petite Maison dans la prairie. Comment ça, personne n’y croit ? Bon, OK j’ai un Smartphone… Et peut-être une télévision cachée dans l’armoire de ma chambre… Oh, ça va ! Je n’utilise presque pas mon ordinateur portable et je n’ai pas accès à Internet. Du moins en dehors du lundi au dimanche.
Afficher en entierSe tamponnant lentement la bouche, il pose sa serviette blanche avec des gestes mesurés, cachant sa flambée de rage sous un vernis brillant. Il semble si sûr de lui et de son bon droit.
– Si tu gardes cet enfant, je ne veux plus jamais te revoir.
– Tu me fais du chantage ?
– Non, Jane. C’est toi qui me prends en otage avec ce… cet embryon.
– Il s’agit d’un bébé, notre bébé !
Je déraille dans les aigus et plusieurs têtes se tournent dans notre direction. Mark me lance un coup d’œil exaspéré, m’imposant une discrétion de bon aloi. Seulement, je ne peux pas me contrôler à cause de la grossesse, des hormones ou de son comportement de mufle.
– Soit tu avortes, soit je te quitte. Au choix.
Nos regards se croisent, s’accrochent, s’affrontent.
– Je garde le bébé.
– Très bien.
Il se lève lentement et fouille dans la poche de sa veste. Sortant son portefeuille, il en extrait une liasse de billets qu’il jette sur la table.
– Qu’est-ce que tu fais ? dis-je d’une voix blanche.
Mark me décoche un regard noir, un regard qui me cloue littéralement à ma chaise. Et, parfaitement maître de lui, il me répond :
– Je te quitte.
Une seconde plus tard, il traverse le restaurant à grands pas, sans même se retourner.
Afficher en entierParce que je le trouve gonflé. Et sexy. Non, je ne me répète pas. Je souligne une des principales caractéristiques de mon adversaire. Il faut toujours connaître ses adversaires. C’est très important. Capital même.
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