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... Avec le temps, Santi et moi étions devenus bien plus que des amis. Alfredo m'adorait et moi... eh bien, je l'aimais avec une force dont je n'aurais plus cru mon cœur capable, depuis que je connaissais la vie... Je l'aimais..."

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Ce fut là, dans l'absurde situation où nous nous trouvions, que Lupin m'embrassa.

Sur le moment, ce fut à peine si je m'en aperçus.

Serrée contre lui, qui m'entourait de ses bras, j'avais le visage collé contre sa chemise, qui s'entait le linge frais.

Dès que Sherlock se glissa hors de notre abri, j'entrepris de bouger en déplaçant légèrement les bras.

Je sentis alors la main d'Arsène peser doucement sur l'arrière de ma tête et suivis le mouvement sans lui opposer de résistance. Dans le noir, nos bouches s'effleurèrent et restèrent ainsi, l'une contre l'autre pendant Dieu sait combien de temps, jusqu'à ce que Sherlock nous appelle d'une voix impatiente, nous obligeant à sortir. "

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- Vous n'êtes pas fou, monsieur Nelson, juste un homme qui a une haute idée de l'amitié. "

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Pendant que nous nous étreignions, j'aurais voulu lui confier que je ne m'étais jamais sentie aussi proche d'elle. Mais la vérité est que souvent, les mots les plus importants, les plus sincères, restent coincés en nous, quelque part entre le cœur et la bouche.

Et c'est ce qui m'arriva ce jour-là.

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S’adressant à la première personne qui passait, Sherlock lui demanda sans préambule :

– Est-ce que le directeur est là ? J’ai besoin de lui parler.

Le journaliste le considéra avec le même regard clinique que l’on pose sur un poisson du marché pour savoir s’il est frais et passa son chemin en ricanant.

– Fais comme chez toi, mon garçon ! Et au fond, à droite, tu trouveras le bureau de la reine !

Comme s’il n’avait pas saisi l’ironie du propos, Sherlock s’engagea dans l’étroit couloir qui partait à droite.

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Papa se plongea dans un journal, tandis que M. Nelson sortait de son gilet un petit livre d’un écrivain américain nommé Edgar Allan Poe. Ses nouvelles lui plaisaient, me confia-t-il, mais il ne pouvait m’autoriser à les lire : « Trop crues pour une jeune fille ! » m’assura-t-il.

Je soupirai. J’avais horreur que les autres décident à ma place de ce qui me convenait ou non. Mais mon mécontentement ne dura pas. Je fus rapidement fascinée par le paysage qui défilait derrière la vitre. Bien vite, celui-ci prit l’aspect d’une plaine verdoyante s’étendant à perte de vue et seulement plissée, de loin en loin, par les rondeurs de basses collines.

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Je me souviens très bien ce que j'éprouvai à ce moment-là : c'était comme si un masque, le masque des apparences et des bonnes manières derrière lequel ma mère s'était toujours cachée, avait glissé de son visage. Celle que je vis sur le seuil de la maison ce matin-là était une véritable personne, avec son entêtement, sa peur et ses faiblesses. "

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Je t'embrasse. Comme si on écrivait une phrase pareille à une amie !

Et comme si l'idée de s'embrasser était des plus banales !

La vérité ?

Eh bien, la vérité est que, pendant que ma non-amie à la robe vert petit pois racontait je ne savais quoi à propos je ne savais quelle enseignante de chant - ma mère venait de lui confier qu'elle attendait impatiemment la fin de la guerre pour me réinscrire au Conservatoire -, je vis apparaître devant mes yeux le visage fin, les pommettes hautes et les cheveux ébène de l'extraordinaire Lupin. Je me demandai soudain ce que je ressentirai s'il m'embrassait. Rien qu'à cette idée, je rougis et pouffai sans raison, manquant de renverser mon thé sur ma robe. "

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À notre arrivée, je m’engageai sur la passerelle en imaginant que j’étais une diva ou une artiste de cirque, comme le père de Lupin. Les planches oscillaient doucement sous mes pas et ceux des autres passagers. Tout en débarquant, mes compagnons de voyage promenaient leur regard sur la multitude de voyageurs et de marins qui se pressaient sur le quai. M. Nelson avait dû descendre parmi les premiers, et je jurerais qu’il avait fait le signe de croix en foulant à nouveau le plancher des vaches.

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J’avais à peine fini de relire la lettre de Sherlock quand M. Nelson me rappela à l’ordre en frappant délicatement à ma porte. Le salon me réclamait. Mais, moi, je n’avais pas l’intention de lui accorder un instant de plus que le temps nécessaire.

– Entre, je t’en prie, Horatio ! déclarai-je en repliant la feuille.

La porte s’entrebâilla.

– Ce n’est pas à moi d’entrer, mademoiselle Irene, souligna l’impressionnant homme de couleur qui, d’aussi loin que je m’en souvienne, était au service de ma famille, c’est à vous de sortir ! Les invitées aimeraient vous voir.

– Ah oui ? répliquai-je en arquant un sourcil. Et qu’attendent-elles de moi exactement ? De savants commentaires sur la poésie latine, mon opinion sur la mode en temps de guerre ou ma sympathie pleine et entière ?

– La dernière, mademoiselle, répondit-il en souriant.

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