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Voilà une bédé qui existe dans deux maisons d'éditions différentes : Lefranq Bédétectives et Soleil Productions.

Comment cela-se fait-il ?

Juste un attrappe-collectionneur ! Le premier album publié fut celui aux éditions Lefranq, en 1997 et portait le dossard N°7.

En 2000, les Éditions Soleil Productions l’ont republié avec le dossard N°1 pour une nouvelle saga holmésienne !

Si le lecteur n’est pas attentif, il se fait arnaquer, pour ne pas dire "baiser" ! Bon, pour leur défense, je dirai qu’ils ont gardé le même titre, eux ! Pas comme un roman de Laurie King qui fut republié sous un autre titre !

Gros changement dans cette collection puisqu’il n’est pas scénarisé par A-P Duchâteau mais par Croquet et ce dernier, au lieu de plonger dans le fantastique, commence correctement et agréablement par un joli meurtre où il manque à la victime le cœur et la main gauche.

Au moins, lui ne va pas dans le non-sens comme Duchâteau, j’avais espoir à l’époque de tomber sur une enquête "normale" de Holmes sans y ajouter des choses fantastiques et terminer par des explications à la mord-moi-le-zob.

Heureuse je suis au départ, j’ai un meurtre bien sanglant, des déductions de Holmes sur les pensées de Watson au sujet du crime qui ressemble à ceux de Jack L’éventreur, un inspecteur Lestrade qui vient quérir Holmes, de manière innocente, pour l’emmener examiner le corps à la morgue.

Même si le détective en conclu à des mutilations rituelles pratiquées par un couteau sacrificiel, l’histoire partait dans le bon sens.

Les dessins sont corrects, les allusion canonique présentes : le "Strand", les nombreux déguisements de Holmes qu’on le voit adopter sur plusieurs cases, sur le fait qu’il torturait son violon en réfléchissant et qu’il fumait comme un pompier.

Je passerai sur le fait que Holmes porte, encore et toujours, sa cape macfarlane à carreaux et sa deerstalker.

Par contre, énormes erreurs quand le scénariste fait dire à Watson (en s’adressant à Reginald, l’employé qui s’occupe du rayon "Incunables" de la bibliothèque du British Museum) que Holmes s’est parfois occupé d’affaires qui n’étaient pas étrangères à la sorcellerie et qu’il a publié d’intéressants comptes rendus dans le Strand, à savoir "Le chien des Baskerville" et le "Vampire du Sussex".

Hors, comme l’histoire se passe deux ans après les crimes de l’Éventreur (c’est dit dans l’album), nous sommes donc en 1890 (les crimes de Jack ayant eu lieu en 1888).

Pas de chance, le Chien fut publié dans le Strand en 1901 et 1902, tandis que le vampire du Sussex fut publié en 1924.

Hem, elle est forte, celle là !! Watson parle d’histoires non encore publiées !

L’avocat de la défense me rétorquera "Objection, elles ne sont certes pas encore publiées mais ont sans doute eu déjà lieu ! D’où confusion du brave docteur Watson". Greffier, notez ceci !

Que nenni ! C’est plus que pire : Le vampire du Sussex est datée, au plus tôt, en novembre 1897 et au plus tard en novembre 1901, donc, ils ne sont pas encore censé l’avoir vécue, cette enquête avec le "vampire".

Sauf s’ils possèdent la DeLorean pour voyager dans le temps, ce qui expliquera cela !

Dans le cas du toutou des Baskerville, ils pourraient déjà l’avoir résolue, étant datée au plus tôt de septembre 1886. Mais pas si on prend la date au plus tard qui est septembre 1900. Mais bon, pour elle, c’est une demi-faute si on prend sa date au plus tôt.

Heu, vous êtes toujours là ??

Troublant, n’est-il pas, ces erreurs ?

Ils n’ont pas révisé avant et se sont basés sur leurs souvenirs de lecture faisant fi des erreurs de dates qu’ils pourraient commettre, voulant juste balancer deux affaires avec un léger goût de fantastique que Holmes eut à résoudre dans sa carrière officielle (sous Cona Doyle) ?? Le tout afin d’asseoir leur propre aventure qui se roule dans le fantastique aussi.

Ou alors, elles sont dans la continuité des erreurs du canon et de celles de Watson. Ce n’est ni la première, ni la dernière qu’il commet. Bien qu’ici, on pourrait dire que Watson a des dons de médiums où qu’il a écrit cette historie tellement tard qu’il ne savais plus ce qu’il avait dit au bibliothécaire.

Merci, au passage, au livre "Quel jour sommes nous, Watson ?" de J-P Crauser pour la chronologie des aventures holmésienne.

Mais revenons à notre enquête…

Holmes avancera assez vite (44 pages obligent), comprenant rapidement qu’un rituel satanique est derrière tout cela (moi aussi, je l’avais compris) et les différents meurtres formeront un joli pentacle sur la carte, comme dans le film premier de Ritchie (qui est postérieur à l’album).

Jusque là, tout va toujours bien au niveau scénaristique.

Enfin, tout allait bien…

La plongée dans le grand n’importe quoi va commencer à la page 30… J’avais même deviné qui était derrière tout ça. C’est vous dire.

Les quatorze dernières pages sont capillotractées, le tout sur fond de combats politiques et de n’importe quoi.

L’allusion à la "radix pedis diaboli" de l’aventure du pied du diable me laissera même de marbre (alors que dans le canon je l’aime bien pour une phrase que dit Holmes).

Non, trop facile comme explication finale… À croire que le scénariste est de l’école de Duchâteau où que celui-ci fut son nègre, son inspirateur, son souffleur, pour le côte porte nawak et explications à la 6-4-2.

Dommage, il avait bien débuté, cet album. Le final plombe tout le reste.

Et dire que Croquet va faire toute une collection chez Soleil Productions…

Mais je vous en reparlerai un autre jour parce que dans cette collection là, je dézingue autant, si pas plus, que pour la BDétectives de chez Lefranq, c’est vous dire que effectivement, je pouvais tomber plus bas…

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