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Extrait ajouté par chica07 2012-12-02T20:47:01+01:00

- Quelque chose te contrarie mon chéri ? demande Solange (Reine-Mère).

Sans aucune honte, Jason braque ses yeux sur mon humble personne.

- Si quelque chose me contrarie ? Excellente question, maman. Laisse-moi réfléchir...

J'entreprends avec encore plus de vigueur de découper mon steak.

- Vraiment, Solange, votre boucher, il faut absolument me donner l'adresse parce que... vraiment... ! Ce rumsteak fond dans la bouche, c'est un pur bonheur !

J'avais déballé ma sauce à une rapidité étourdissante, loupant de peu de me faire une entorse à la langue. Peine perdue. Diversion ratée... lamentablement.

Tous attendent de nouveau que Jason finisse sa petite histoire.

- C'est à propos du travail ? insiste Reine-Mère.

- Non, maman, il ne s'agit pas du travail, c'est autre chose...

Sourire de requin chez Jason dont les prunelles restent verrouillées sur moi.

- Non, mais c'est incroyable ! Solange ! m'exclamé-je avec un léger accent désespéré. Ces... ces... - je désigne de l'index les légumes verts dans un coin de mon assiette.

- Haricots verts ? suggère Mark - King of the world - en se retenant de rire.

Je hoche plusieurs fois de la tête, feignant d'ignorer la moquerie sous-jacente.

- C'est ça ! Ces haricots verts sont fabuleux ! Je n'en ai jamais mangé d'aussi... (un adjectif, purée, un adjectif !) d'aussi... verts !

Oh, magnifique !

Donnez-moi une pelle que je creuse ma tombe au milieu de la salle à manger.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-06-16T09:52:57+02:00

Je vais me venger Jason.

Il plonge son regard azur dans le mien.

Un poil trop amusé.

– Tu as un plan ?

Je lui dédie mon plus magnifique sourire de psychopathe en puissance (Dexter, pousse-toi de là que je m’y mette !).

– Je vais annoncer à toutes tes ex… chacune d’elles… Que tu es au bord de la dépression car elles te manquent. Te voilà murmurant leurs prénoms dans ton sommeil. Ne mangeant plus, ne jouant plus à ta ba-balle fétiche… Et moi je suis vraiment très inquiète à ton sujet. Elles m’ont toutes filé leur numéro de portable. Toutes… Jason.

Jason pâlit à vue d’œil.

– Tu n’oserais pas… souffle-t-il. Toutes ?

– Toutes.

Puis je lâche un rire trop diabolique, digne d’un grand méchant de James Bond.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-06-16T09:59:00+02:00

– Console-toi, je suis certain que tu le rencontreras… ton prince charmant.

– Hun. Il sera plein aux as ?

– Oui, il nagera dans les billets verts.

– Il dira que je suis la plus belle, la plus merveilleuse des femmes ?

– Oui, oui, il t’adulera.

– Et il aimera faire le ménage à ma place ? Sortir les poubelles sera son hobby ? Faire la vaisselle le mettra en transe ?

– Tout ça, tout ça… oui.

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Aller chez les parents de ton meilleur ami, une bonne idée ne sera pas !

– Il n’en est pas question ! Je n’irai pas à la petite sauterie de tes vieux !

Franchement ?

Je préférerai me faire une séance chez le dentiste sans anesthésie après avoir regardé Jason, celui du film « vendredi 13 », découper des nanas en rondelles !

– Tu as été invitée officiellement, Ann. Mes parents t’adorent.

Là-dessus, il lève le nez de son journal pour m’adresser un sourire narquois.

– Dieu seul sait pourquoi.

Je lui balance le cochon rose en peluche que je martyrisais avec enthousiasme. Qu’il esquive d’un petit mouvement de tête.

Mère nature a été trop généreuse avec ce sale type. Être aussi canon devrait être interdit par la convention de Genève.

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Extrait ajouté par Rayathea 2013-07-14T21:28:39+02:00

La sonnette de l’interphone interrompt mes pensées. Celles de mon colocataire sont verrouillées sur le maillot de bain de Pamela Anderson.

Avec un peu de chance, Jules potentiel et moi pourrons nous éclipser sans que Sieur Reffert fasse tout capoter dans la joie et l’allégresse.

– Oui ?

– C’est Josh.

– J’arrive !

Zéro risque.

C’est la meilleure tactique défensive.

– Euh… Ann ? J’ai des fleurs… Il vaudrait mieux que je monte.

Ô cacatum merdum.

Voilà bien une charmante attention dont je me serais passée.

La confrontation que je souhaite éviter à tout prix va avoir lieu.

Mon Dieu, s’il vous reste un tant soit peu d’estime pour ma piètre vie sentimentale – sans même parler de mes finances ! – faites que Jason ne dise rien !

Pitié ! Pitié ! Pit…

– Jason…

– Mhm… ?

– Pose cette manette lentement… sans gestes brusques.

À peine j'appuie sur le bouton permettant à Josh de m’offrir ses fleurs que le sale petit machiavel, à la chevelure châtaine et aux yeux bleus renversants, allume sa console Xbox 360.

– Mhm.

Une peur sans nom me remue les tripes.

Si si si.

Aucune femme ne peut rivaliser avec Lara Croft !

Qui part abattre un gros Dinosaure vêtu d’une tenue moulante composée d'un short aussi riquiqui ? (Et je pense qu’il critiquait ma jupe y’a deux secondes !)

– Jason !

Ma voix a un léger accent désespéré… non ?

Est-ce que je panique ?

Oui, je panique.

Pourquoi ai-je dit à Jason que Josh est un fan de jeux vidéo (aucun homme n’est parfait) ? Pourquoi ? Pourquoi !

Les mâles possèdent-ils un sixième sens lorsqu'il s’agit de foot, de jeux vidéo ou de films pornos ?

Une espèce de phéromone leur permettant de s’identifier entre eux ? (Il faut que j’arrête de regarder la rediff' des « envahisseurs »).

Non, je m'insurge !

Déjà ils n’ont pas leurs règles tous les mois, si en plus ils se mettent à avoir un sixième sens rivalisant avec le nôtre… mais où va-t-on !

– Jason… pitié. Six mois que je n’ai pas eu de rendez-vous galants…

Je ne suis pas vraiment à genoux, les mains jointes.

Cela doit être quelqu’un d’autre.

Un sosie. On en a tous un, il paraît.

Jason me regarde.

J’essaye de lui faire le coup du regard chat Potté de Shrek.

Ça marche bien pour Antonio Banderas !

On frappe à la porte. Trois petits coups discrets.

J’accentue le truc des yeux suppliants.

– Six mois, Jason… À ce rythme, il ne me reste que le couvent comme option. Sans compter ma dernière relation sexuelle.

(C’était quand ? Avec qui ? L’avais-je fantasmé ?)

Mon ami hausse un sourcil.

Il a l’air de beaucoup s’amuser.

Salaud !

Un long sourire sadique étire ses lèvres – a-t-il toujours eu cette bouche parfaite ? – puis déclenche l’instrument satanique en faisant démarrer une partie.

Je me relève en songeant que je suis morte.

Non c’est mon rencard qui est mort.

Autant tout de suite dessiner une grosse croix sur mon hypothétique partie de jambes en l’air.

La seule qui fera des cabrioles ce soir, c’est cette foutue Lara. Elle et ses mensurations biologiquement impossibles.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-06-16T09:55:38+02:00

Au moment même où mon œil se met dans la ligne de mire de la serrure la porte s’ouvre. Au point où je me casse la figure contre…

Non.

Non !

Je n’ai pas mon nez sur une serviette éponge. Unique rempart de ce qui fait biologiquement la différence entre les hommes et les femmes.

Je me redresse d’un bond comme si le diable en personne m’avait planté une fourche à l’endroit le plus charnu de mon anatomie. Puis évite de le regarder dans les yeux.

Et oui… un moment en live de « je-vais-peut-être-mourir-de-honte-là ».

Ai-je perdu quelque chose ?

Oui. Ma dignité vient de se barrer en courant.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-06-16T09:59:31+02:00

Viens mon petit adonis, viens dans mes bras !

Eh bien ? Tu attends quoi ? Le déluge ?

Mais… mais pourquoi tu fais demi-tour ? Il s’en faut de peu pour que je ne lui coure pas après.

Question : Qu’est-ce qui a déclenché la fuite de bel inconnu au débardeur moulant ?

A : Une envie urgente et irrépressible.

B : Il s’est souvenu d’être marié et avoir trois gosses.

C : Il a vu mieux ailleurs (oh pitié, non !).

D : Encore un méfait de mon prétendu « ami ».

Je me retourne, pratiquement la bave aux lèvres.

Un véto’ me voit dans cet état-là : j’ai droit direct à une piqûre contre la rage.

Réponse D et c’est mon dernier mot Jean-Pierre.

Gagné !

Gagné quoi ? Le droit de me transformer en Uma Thurman dans Kill Bill ?

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Extrait ajouté par Poevai 2014-12-28T23:35:08+01:00

Après une longue inspiration, je sors de la chambre.

Pour tomber nez à nez avec Milky Way.

[...]

– J’y crois pas… s’exclame-t-il.

[...]

– Je t’assure que ce n’est pas ce que tu penses !

[...]

– Toi et Jason ! Mais c’est… (là il nous regarde tour à tour, son cousin et moi) dégoûtant ! Incestueux ! Mais… beurk quoi !

Mon ami d’enfance – salaud ! – sourit de toutes ses dents.

– Tu sais « beurk » vient très loin dans ma liste d’adjectifs pour qualifier nos prouesses sexuelles avec Ann.

Mickaël pousse un cri ultra efféminé avant de se boucher les oreilles tandis que je m’étrangle avec le breuvage brûlant.

– Je ne veux pas savoir ! J’ai pas envie d’être traumatisé ! Jamais je n’aurais cru que…

– On a pas couché ensemble, Milky !

Je crie bel et bien, cependant, le cousin de Jason ne m’écoute pas.

Super frustrant.

– Si, on a couché ensemble, me contredit mon – ex – meilleur ami. Plusieurs fois. On était en sueur, nous avons pourtant remis le couvert, encore… Encore, encore et…

Milky me passe à côté en se bouchant de nouveau les oreilles et en chantonnant « Je n’entends rien, la, la la ! ». Puis part se planquer dans la salle de bain de Jason.

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Jason pose ses coudes sur la table puis cale son menton sur le dos de ses mains. Il a l’air aussi intéressé qu’un chat regardant nager un pauvre poisson rouge, seul dans son bocal, sans défense.

Traduire le message subliminal qu’envoient ses prunelles est aisé : « Comment vas-tu t’en sortir sans te prendre la honte ? »

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Ne jamais présenter ton futur Jules à ton meilleur ami, tu feras.

– C’est vachement court… Enfin, j’dis ça, j’dis rien.

– Comment ça, c’est « court » ? C’est une jupe Jason !

Les poings sur les hanches, je lance à mon futur ex-meilleur ami mon fameux regard ulcéré aiguisé comme un Laguiole.

Il ose hausser les épaules.

– Une J.U.P.E. au-dessus du genou, Jason.

L’inconscient ose encore hausser les épaules avant d’enfourner une poignée de chips – (beurk) – dans sa bouche.

Rappelez-moi pourquoi je partage ce superbe appartement avec ce rustre?

Ah oui !

Je suis fauchée.

Lui pas.

Excellente raison.

– Tu mets ce bout de tissu que tu nommes jupe pour aller manger au resto ? On fait quoi dans un resto ? On s’assied puis on mange. Crois-tu que George…

– Josh.

Jason claque des doigts en hochant la tête.

– C’est ça, George…

– JOSH !

– Ouais, bref, on s’en fout. Trucbidulemachinchouette va pouvoir lorgner tes jambes ? Toi, par contre, vu la température extérieure, tu vas te les geler sévère.

- Il faut souffrir pour plaire ! que je lui lance.

– Faut surtout être stupide ! rétorque-t-il, les yeux rivés sur une rediffusion d’Alerte à Malibu.

Là, je remercie le ciel de n’avoir aucun objet contondant à portée de main… la tentation aurait été trop forte.

Jason est mon meilleur ami depuis le bac à sable.

Dès l’instant où il a plongé la tête de mon « décapiteur de Barbie » dans le très célèbre bac à sable en question en disant quelque chose du genre : « Mon papa a dit qu’on n’embêtait pas les filles quand on est un vrai garçon », il a été une sorte de héros à mes yeux.

Un héros envahissant. Mais un héros tout de même.

Jason est un mec qui fait craquer les nanas juste en éternuant… Le seul problème est qu’il s’en fiche.

La dernière en date, une espèce de mannequin fraîchement débarquée d’un pays avec trop de consonnes (pour arriver à le prononcer sans se faire une entorse à la langue) en a fait les frais.

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