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Liste des extraits
(Alice à son frère Arthur)
— Trop vieux, trop grand, trop riche, trop gentil, trop beau, trop étranger. Je m’en fiche, on est tous le trop quelque chose de quelqu’un d’autre.
Afficher en entierAffalée dans l'herbe devant l'étable et le soleil sur le déclin, je gratte la nuque de Lucette, ma biquette préférée, en écoutant un best-of de Jacques Brel, qui sait soigner mes états d’âme. J'ai conscience que ls amateurs de ses chansons sont en général des pierres tombales, mais il me touche ; du rire aux larmes. Sa poésie ne peut pas laisser indifférent.
Afficher en entier« Salut le monde, ici la campagne ! On est 100 000 !!! 100 000, vous vous rendez compte ? C’est de la folie ! Merci mes haricots pour votre fidélité, en tout cas, c’est incroyable ».
Afficher en entier"On n'oublie rien, on vit avec"
Afficher en entierIl y a des moments de ma vie dont je me souviendrai toujours,non parce qu'ils étaient importants ,mais parce que tu étais là.
Afficher en entierA quoi servent les mots s'ils viennent nous frapper trop tard,s'ils sortent quand ils ne peuvent que se perdre dans le vent,loin des oreilles qu'ils espèrent mais ne croiseront plus.
Afficher en entier« Entre nos prés et ces monts au dénivelés esthétiques, j’aperçois un bout de la Dordogne. Un peu de bleu dans le vert. Parfois, je réalise combien ce paysage est magnifique, combien c’est une chance de se réveiller avec le chant des oiseaux, des criquets ou des coqs. Serais-je vraiment plus épanouie au son des moteurs de voiture et d’une ville surpeuplée ? ».
Afficher en entierSi on nous l’avait dit, on n’y aurait pas cru.
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