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Hayden porte un tee-shirt blanc qui laisse ressortir ses biceps ainsi qu'un jean brut élimé rentré dans des Converse montantes en cuir.
- Ron et Hermione enfourchant leurs balais à la recherche d'une balle. Oh, trop mignon, ironise-t-il, une main sur le pectoral gauche. Si tu veux mon avis....
- On s'en fiche de ton avis, Hayden, le coupé-je d'un ton sec.
Afficher en entier« Pourquoi me faire ça ?
– À quoi tu joues, Hayden ? lui dis-je en déglutissant alors qu’il est derrière moi.
– J’en sais rien, chaton. C’est plus fort que moi, avoue-t-il à voix basse. »
Afficher en entierLe visage de Sean, mon coach de surf, apparaît entre mes larmes, il m'attire contre son torse dégoulinant d'eau salée. Mais rien ne m'arrête, rien ne pourra apaiser ma colère, car c'est ainsi. Je l'ai perdu à jamais, lui, le seul homme que j'ai aimé, celui qui m'a fait découvrir ce sport et qui m'a transmis sa passion. Parce que c'est de ma faute s'il n'est plus là aujourd'hui. Je te demande pardon, papa.
Afficher en entier« Vexée et blessée, je remonte dans ma chambre au moment où il claque la porte d’entrée sans respecter le sommeil de sa famille. De colère, j’ai sorti n’importe quoi. Je me doutais que c’était trop beau pour être vrai, mais avec naïveté, après ce baiser, j’espérais le contraire. Qu’il ne réponde pas à Amber, et encore moins qu’il aille la rejoindre. Une chose est sûre, le monde vient de s’écrouler autour de moi. »
Afficher en entier« Je dois l’avouer, ce mec me plaît autant que je le déteste. »
Afficher en entier— Le bâtiment C, c’est tout droit. Tu continues jusqu’au self et tu tournes à gauche.
Contente de savoir qu’il y a au moins une personne intelligente ici.
— Merci.
— Junior ! T’es trop con ! le raille l’une des blondes décolorées.
Il lui répond par un doigt d’honneur avant de m’adresser un sourire.
Sourire que je me force à lui rendre, mais je n’y arrive pas. Elles ricanent de plus belle et cela m’exaspère. Ignorant le mec tatoué qui vient de s’adosser contre le mur, je m’avance vers l’une d’elles, les mains cramponnées à mes livres pour me donner du courage.
— Tu devrais enlever le rouge à lèvres que tu as sur tes dents, ce n’est pas terrible. Bisous, les pom-pom girls, lui asséné-je en soutenant son regard.
Ne pas faire de vagues, oui, se laisser marcher sur les pieds, non. Et à en juger les deux sacs de sport à leurs pieds avec le logo de Stanford, je suis presque certaine qu’elles font partie de l’équipe de football. J’ai horreur de ce genre de pétasses décolorées à rajouts qui se croient tout permis.
J’obtiens l’effet escompté, elle a ravalé son sourire aussi sec, en se passant la langue sur ses dents.
En m’éloignant, je les entends se plaindre tandis que les deux garçons rient.
La nouvelle : 1. Les superficielles : 0.
Afficher en entier"Je peux sentir le souffle chaud de la moto, elle est très proche, mais je ne cille pas. Aussi bizarre que cela puisse paraître, je suis grisée par l'adrénaline. C'est une sensation incroyable et c'est peut-être complétement inconscient de ma part, mais c'est très excitant et ça me plaît."
Afficher en entier"- OK. Je me tais.
- Mouais... Tu crois que tu vas réussir à tenir ? me demande-t-il en penchant la tête sur le côté.
- Oui.
- Perdu. T'as parlé."
Afficher en entier— Tu chantes comme une poêle ! crie Hayden de son rayon.
— On dit une casserole ! répliqué-je aussi fort que lui.
— Chanter comme une casserole, c’est chanter mal. Toi, c’est pire.
Grrr.
— Bouche-toi les oreilles ! rétorqué-je sur un ton amer.
— Et avec quoi je range ? Ma bite ?
Afficher en entier— Je connais la fin, me murmure-t-il. Il va faire beau jusqu’à jeudi et le mercure va grimper à trente-huit degrés, ça va être chaud, chaud, chaud… chaton !
Son souffle caresse ma nuque, déclenchant une horde de frissons.
Je n’ai pas remarqué que j’étais sur la chaîne météo ! Je fais n’importe quoi quand Hayden est dans les parages et il n’y a pas que l’air qui sera chaud cette semaine.
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