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La mèche lente
NIJNEVARTOVSK, RSFSR
Ils avançaient rapidement, silencieusement, sous le ciel étoilé d’une nuit de Sibérie occidentale. Ils étaient musulmans mais on ne l’aurait guère deviné à leur parler, du russe, mais modifié par l’accent chantant de l’Azerbaïdjan que les cadres du personnel ingénieur trouvaient à tort amusant. Tous trois venaient de terminer une tâche complexe dans le parc des camions et le dépôt du chemin de fer, l’ouverture de centaines de soupapes de chargement. Leur chef était Ibrahim Tolkaze. Ce n’était pas lui qui marchait en tête mais Rasul, ancien sergent du MVD à la silhouette massive. Il avait déjà tué six hommes par cette nuit glaciale, trois avec un pistolet caché sous sa veste, trois avec ses seules mains. Personne ne les avait entendus : une raffinerie de pétrole est un endroit bruyant. Les cadavres avaient été laissés dans l’ombre et les trois hommes montèrent dans la voiture de Tolkaze pour la phase suivante de leur travail.
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Ils avançaient rapidement, silencieusement, sous le ciel étoilé d’une nuit de Sibérie occidentale. Ils étaient musulmans mais on ne l’aurait guère deviné à leur parler, du russe, mais modifié par l’accent chantant de l’Azerbaïdjan que les cadres du personnel ingénieur trouvaient à tort amusant. Tous trois venaient de terminer une tâche complexe dans le parc des camions et le dépôt du chemin de fer, l’ouverture de centaines de soupapes de chargement. Leur chef était Ibrahim Tolkaze. Ce n’était pas lui qui marchait en tête mais Rasul, ancien sergent du MVD à la silhouette massive. Il avait déjà tué six hommes par cette nuit glaciale, trois avec un pistolet caché sous sa veste, trois avec ses seules mains. Personne ne les avait entendus : une raffinerie de pétrole est un endroit bruyant. Les cadavres avaient été laissés dans l’ombre et les trois hommes montèrent dans la voiture de Tolkaze pour la phase suivante de leur travail.
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Ils avançaient rapidement, silencieusement, sous le ciel étoilé d’une nuit de Sibérie occidentale. Ils étaient musulmans mais on ne l’aurait guère deviné à leur parler, du russe, mais modifié par l’accent chantant de l’Azerbaïdjan que les cadres du personnel ingénieur trouvaient à tort amusant. Tous trois venaient de terminer une tâche complexe dans le parc des camions et le dépôt du chemin de fer, l’ouverture de centaines de soupapes de chargement. Leur chef était Ibrahim Tolkaze. Ce n’était pas lui qui marchait en tête mais Rasul, ancien sergent du MVD à la silhouette massive. Il avait déjà tué six hommes par cette nuit glaciale, trois avec un pistolet caché sous sa veste, trois avec ses seules mains. Personne ne les avait entendus : une raffinerie de pétrole est un endroit bruyant. Les cadavres avaient été laissés dans l’ombre et les trois hommes montèrent dans la voiture de Tolkaze pour la phase suivante de leur travail.
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NIJNEVARTOVSK, RSFSR
Ils avançaient rapidement, silencieusement, sous le ciel étoilé d’une nuit de Sibérie occidentale. Ils étaient musulmans mais on ne l’aurait guère deviné à leur parler, du russe, mais modifié par l’accent chantant de l’Azerbaïdjan que les cadres du personnel ingénieur trouvaient à tort amusant. Tous trois venaient de terminer une tâche complexe dans le parc des camions et le dépôt du chemin de fer, l’ouverture de centaines de soupapes de chargement. Leur chef était Ibrahim Tolkaze. Ce n’était pas lui qui marchait en tête mais Rasul, ancien sergent du MVD à la silhouette massive. Il avait déjà tué six hommes par cette nuit glaciale, trois avec un pistolet caché sous sa veste, trois avec ses seules mains. Personne ne les avait entendus : une raffinerie de pétrole est un endroit bruyant. Les cadavres avaient été laissés dans l’ombre et les trois hommes montèrent dans la voiture de Tolkaze pour la phase suivante de leur travail.
Afficher en entierEdwards se releva et laissa Rodgers le précéder. Le Russe était nu au-dessous de la taille, son pantalon entravant ses chevilles. Le lieutenant ramassa le pistolet que l'homme avait laissé tomber et regarda celui qu'il avait poignardé. Il était mort, cela ne pouvait faire de doute. Sa belle tête slave était convulsée de surprise et de douleur, sa tunique d'uniforme était noire de sang et ses yeux n'avaient pas plus de vie que deux billes d'agate
Afficher en entierLes marines s'étaient placés autour d'Edwards, l'arme au poing e sur le qui-vive, guettant une patrouille ou un hélicoptère. Il arracha ses écouteurs et remballe sa radio, en marmonnant :
- Au poil, Absolument au poil. Bon allons-y, les gars.
Afficher en entierLa mise en place des chausseurs de la force navale en vue d'intercepter et de repousser le raid de bombardement dépendait d'une estimation d'expert sur sa route et sa vitesse. La mission des chasseurs était de lovaliser et d'attaquer les bombardiers avant qu'ils trouvent les portes-avions.
Afficher en entierMcCafferty se baissa, dans le kiosque, attrapa l'instrument quand le quartier-maître l'arrêta au-dessous de la surface. Dans une position monstrueusement inconfortable, le commandant marcha accroupi pour faire faire un tour complet au périscope. Dans la paroi avant il y avait un écran de télévision qui transmettait les images d'une caméra montée dans le périscope. Il était observé par le second et par un premier maître.
Afficher en entierLa réunion sollicitée par cette phrase code eut lieu peu après le coucher du soleil. A minuit, Ivan Mikhailovitch était encore une fois dans un avion à destination de l’Allemagne.
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