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Chapitre 39 Page 300

Elle s'essuya le nez sur sa manche.

- Comment veux-tu que je sois ce que tout le monde a besoin que je sois si je ne suis même pas capable de protéger ceux que j'aime.

Caius la serra plus fort.

- Tu peux le faire, et tu le feras.

Il montra le cercle de suie autour d'eux.

- C'est ce que tu viens de faire pour moi.

Echo s'assit et se tourna pour lui faire face. Il réalisa alors ce qu'il venait de dire : elle avait fait référence aux gens qu'elle aimait, et il s'était inclus parmi eux. Il décida de ne pas revenir sur ces mots imprudents. En fait, il espérait qu'ils soient vrais.

En silence, Echo fit courir ses doigts sur son visage, ralentissant au niveau des écailles sur ses pommettes. Elle passa une main légère comme une plume sur son front, ses joues et la ligne de sa mâchoire. Elle le touchait comme s'il était précieux, comme s'il était fait de toutes les étoiles qu'elle n'avait jamais réellement pu voir à travers le nuage de pollution des ciels urbains. Caius ferma les yeux et appuya la tête contre la main d'Echo. Elle était délicate, mais pleine de force. Petite, mais solide comme de l'acier.

- Caius ?

Sa voix était aussi veloutée que ses caresses.

Il ouvrit les yeux. Elle l'étudiait attentivement, l'air impénétrable.

- Est-ce que tu m'aimes ?

Il cligna des yeux. Depuis le moment où il l'avait rencontrée, ses émotions avaient été mises sans dessus dessous, éparpillées comme les jouets d'un enfant, mais il ne pouvait pas ignorer ce qu'il avait au fond de son cœur - son pouls qui s'accélérait quand elle le touchait; son souffle qui se bloquait quand elle prononçait son nom, surtout de cette manière si douce, si tendre. Il avait beaucoup souffert en perdant Rose, et il s'était résigné à ce que sa vie ne soit plus qu'un grand vide. Puis Echo s'était faufilée dans le trou béant de sa poitrine et y avait fait son nid, redonnant à Caius l'espoir d'un avenir beaucoup moins sombre que celui qu'il avait imaginé.

Sa réponse fut simple, honnête :

- Oui.

Echo inspira à fond et retint son souffle. Ses émotions, quelles qu'elles soient, firent naître des flammes blanches et noires qui se matérialisèrent dans l'air.

- Tu sais, je n'ai pas aimé beaucoup de personnes dans ma vie.

Son expression était toujours impénétrable, mais son regard sincère, franc.

- Moi non plus.

- Ce n'est pas facile à dire pour moi.

Caius tendit le bras vers elle et toucha son visage comme elle avait touché le sien. Doucement, tendrement, les doigts peu assurés.

- Tu n'as rien à dire.

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« Excuse me, young lady, I do not whine,” Jasper said, angling his head to glare at Ivy. “I lament.”

Ivy rolled her eyes. “You’re nineteen, Jasper. Don’t you ‘young lady’ me.”

Echo knelt down, fished the bags of herbs out of her backpack, and handed them to Ivy. “No bickering. This is a bicker-free zone. Bickering is an offense punishable by death.”

“Don’t mind, Ivy,” said Jasper. “She’s still mad I bought Park Place right out from under her nose.”

“And here I was thinking that what happened in Monopoly stayed in Monopoly,” Echo said. The board game had lasted only a week before Caius had confiscated it and hidden it somewhere deep in the bowels of the warehouse. Their last game had nearly come to blows.

Jasper exhaled a pained laugh. “Oh, you sweet little fool.” He struggled to sit up, succeeding only when Dorian slipped a hand underneath his shoulder to help prop him against the wall. Ivy went over to his bedside, laying out the ziplock bags in the order she needed them. “And honestly, Ivy, can’t you fix me any faster? I’m sick of lying around like a lump on a log.” Jasper said. »

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« When they returned to the warehouse, bellies full of greasy kebab, it was almost exactly as they’d left it. Candles sitting in puddles of wax were scattered about the large room on the top floor, illuminating the space with a soft yellow glow that reflected off the black-painted windowpanes. On the ancient television in the corner, a BBC host interviewed an expert on climate change, their voices overpowered by the occasional rumble of a passing train. Half a dozen mattresses had been pushed to the corners of the room and were surrounded by piles of clothing in varied states of disarray, from absolute chaos (Echo’s) to military neatness (Dorian’s). Jasper’s clothes fit Dorian and Caius, though the latter’s broad shoulders meant the borrowed shirts stretched across his chest in a way that was impossible not to notice. Echo had lasted two days living in Jasper’s oversized sweats before she couldn’t handle it anymore and snuck out in the night. She’d broken into a vintage boutique—they were all over East London—and absconded with an assortment of clothes for herself and Ivy. »

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« Who are you? The question was clear, even over the anguished wails of the people below.

I am their end, Echo thought. I am their destruction. I couldn’t shield them from something I caused. I opened a door I shouldn’t have opened and now I don’t know what to do about it. I am alone in this. »

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« Who are you?

The question soared across the scorched sky, spoken by a chorus of voices that seeped through the cracks in the rocks that glowed like coals, that oozed from the pulsing hot brightness of the magma inching down, down, down to swallow all life in its path.

Lava ran over Echo’s boots. She looked at her feet, dispassionate, divorced from the sight of the rubber and leather bubbling and melting. Her shoelaces caught fire, but she did not feel them burn. Soot coated her skin, clung to her hair, her eyelashes, her clothes. The blue had been burned out of the sky by the eruption, and darkness descended, called forth by a veil of ash. »

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