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Monter un cheval blanc aux décorations clinquantes pour une attaque nocturne... Quelle étrange conception de la discrétion...
Afficher en entierArslàn : Daryûn... qui suis-je réellement ?
Daryûn : Vous ne devriez pas vou tracasser avec cette question. Occuper ainsi votre esprit sans posséder les clés de la réponse ne peut que vous plonger dans la perplexité et mener à la dépression. Attendez que messire Baqhman se sente prêt à tout vous expliquer. Moi, je connais votre valeur et voilà tout ce qui m'importe.
Arslàn : Daryûn ? Donnez-moi votre main...
Daryûn : Vous êtes mon maître bien-aimé et je ferai tout pour vous protéger. N'est-ce pas suffisant ?
Arslàn : Merci... merci pour tout, Daryûn.
Afficher en entierRajendra : Salutation, bellâtre de Parse.
Ghîb : De même, joli minoi de Sindôra.
Afficher en entierRajendra : Quand nous atteindrons Uraiyûru, je vous ferai découvrir les délices de la capitale, à toi et au prince Arslàn. Je suis certain que ça te plaira !
Ghîb : Sans vouloir vous offenser, je préfère encore rester ici.
Rajendra : La capitale est aussi réputée pour ses belles femmes.
Ghîb : Comptez sur moi.
Rajendra : En parlant de beauté fatale, peux-tu m'indiquer la chambre de cette jolie prêtresse ? J'aimerais la saluer comme il se doit...
Ghîb : Hors de question !
Afficher en entier_ Je vais vous interpréter une petite chanson bien de chez nous !
_ Quel rustre... et sa façon de se goinfrer...
_ Cet homme est un véritable moulin à paroles.
_ Mes oreilles... c'est la première fois que j'entends quelqu'un chanter plus mal que mon père !
_ On dirait un mugissement de vache à l'agonie !
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