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Liste des extraits

« Si la bêtise avait un poids, le major aurait déjà fait craquer la branche. Il était assis sur l’écorce, les pieds dans le vide, et il jetait des flèches vers une forme noire qui gesticulait juste en dessous.

Le major Krolo était bête, infiniment bête, et il mettait une très grande application dans sa bêtise. Dans cette discipline, c’était plus qu’un professionnel : c’était un génie. »

P.11

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Quand il se réveilla le soir, sa tête était bien retombée sur ses épaules, il avait écarté sa soif de vengeance et l'ivresse du héros (car l'ivresse et la soif vont souvent ensemble). Il pouvait enfin réfléchir.

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Au sommet de la coquille, Léo Blue tendit l'oreille. Nils Amen allait parler.

En effet, Nils ouvrit la bouche pour tout dire à Elisha. Mais son regard s'arrêta sur une auréole de soleil à ses pieds.

Il était midi. Le soleil était au plus haut dans le ciel. Le trou du sommet de l'œuf laissait passer un rayon parfaitement dessiné qui se projetait sur le sol.

Dans cette tache de lumière, on voyait une ombre. Le profil d'un visage.

Quelqu'un les écoutait.

Nils ravala ses envies de sincérité

- Mademoiselle, je veux vous parler de Léo Blue. Je crois que vous vous trompez sur son compte.

Le cœur d'Elisha se serra.

Un moment, elle avait cru avoir trouvé un ami.

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Dans le roncier, Jalam avait commencé à tout dire parce qu'il croyait mourir. Mais la vie était revenue en lui avec ses verrous et ses barricades. On ferait mieux de donner à toute sa vie la transparence des derniers instants.

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[...] les feuilles mortes ne tombent pas toutes seules. Elles tombent poussées par le bourgeon de la feuille future. C'est la vie qui les pousse ! La vie ! [...] Avec sa femme, ils mourraient un jour, et le bourgeon qui aurait dû être derrière eux, plein de vie et d'espoir, ce bourgeon qui les aurait poussés dehors, ce bourgeon n'était plus là. Leur fils avait disparu. p-103

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On connaît la réputation des bûcherons. Le moins que l'on puisse dire est qu'ils ont du mal à aborder avec sincérité les sujets sensibles. Eux-mêmes se moquaient parfois de ce qu'ils appelaient leur "langue des bois". L'expression s'est ensuite transformée en "langue de bois" et s'est répandue bien au-delà de leur corporation.

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Il n'y a rien que l'on défende aussi vaillamment que ce que l'on n'a plus.

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Difficile de dire ce qui rend inoubliables des moments de fête.

Une fête est un mystère qui ne se commande pas.

Mais il y avait, dans ce petit groupe caché au fond des bois d'Amen, les mille ingrédients qui font d'un repas un enchantement: des parents, des grands-parents, une petite fille, un ami qu'on croyait perdu, du bon pain, des absents auxquels on pense, une réconciliation, un feu dans la cheminée, quelqu'un qui s'attendait à passer Noël tout seul, de la neige à la fenêtre, la fragilité du bonheur, la beauté de Mia, du vin doux, des souvenirs communs, et du boudin.

C'est incroyable tout ce qu'on peut faire rentrer dans une petite pièce dans laquelle une bête à bon Dieu ne tiendrait pas debout.

P. 148

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Quand Tobie revient vers Sim et Maïa,les yeux rougis,quelques instant plus tard, il portait une jeune femme sur le dos.

Ne disons pas qu'elle était jolie. Elle était mieux que cela.

Elle avait ses cheveux roulés en galettes auprés des yeux.

Sim et Maïa lui firent de la place. Tobie soufflait. Il était à bout de force.

-Et hop,dit-il en riant.

-Elle n'est pas si lourde,dit Maïa.

-Ce n'est pas elle qui est lourde,s'écria Tobie. C'est l'autre ...

Spoiler(cliquez pour révéler)Elisha portait un tout petit enfant dans ses bras.

Pol Collen,

Basses-Branches,

Noël de l'an 6

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"L’équinoxe, dit Sim Lolness.

-Les quoi?

-L’équinoxe de printemps.

-On se fiche de vos kinox!"

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