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Extrait ajouté par Edith972 2017-10-12T18:45:59+02:00

Mais la médecine, en 1893, était toujours démunie face à cette maladie, même si l’on connaissait les conditions de son développement : l’humidité, la misère, le manque d’hygiène, la malnutrition et bien évidemment la contagion.

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Extrait ajouté par Edith972 2017-10-12T18:45:38+02:00

La vie continuait, en somme, et personne ne songeait à regarder en arrière, tout le monde cherchait à oublier. Les maux, les maladies ne changeaient guère, ainsi que le combat quotidien qui m’épuisait de plus en plus, car mes patients refusaient le plus souvent d’être conduits à l’hôpital, même lorsque leur vie était en danger. Pour eux, depuis toujours, un médecin devait être capable de trouver la solution à tous leurs problèmes.

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Extrait ajouté par Edith972 2017-10-12T18:45:15+02:00

Rien ne m’a paru forcé chez elle, mais au contraire tout à fait naturel. Elle n’en savait pas plus que moi et nous avons fait le chemin l’un vers l’autre sans fausse honte et sans fausse pudeur. J’avais encore du mal à croire que cette jeune femme si belle m’appartenait. D’ailleurs, au cours des années qui ont passé, je ne me suis jamais vraiment apprivoisé à cet être auquel il m’a toujours semblé ne pas avoir droit. C’est ainsi, je n’y puis rien. À la fois indépendante, sauvage et tendre, elle montrait parfois des élans du cœur et du corps qui me surprenaient et me laissaient submergé d’un bonheur que je n’ai jamais cru menacé.

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Extrait ajouté par Edith972 2017-10-12T18:44:49+02:00

Pourtant, mes sentiments étaient partagés vis-à-vis de Napoléon.

Je gardais en moi une sorte de nostalgie de la vie que j'avais menée, de la solidarité des soldats, mais en même temps je songeais à tous ceux qui avaient laissé leur vie sur les champs de bataille, et aussi à ceux qui allaient partir bientôt au combat. Avec le recul, certains jours, je haïssais l'Empereur.

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Extrait ajouté par Papachoultse 2013-10-09T20:05:51+02:00

Nouvel extrait :

- C'est dans un univers béni des dieux que je possède aujourd'hui le Grand Castel, au cœur même de Périgord, dans un triangle dont les extrémités seraient à peu près Le Bugue sur la Vézère, Lalinde sur la Dordogne, et la bastide de Montpazier qui ouvre les portes du Midi. pas tout à fait le Bergeraçois, donc, non plus le Sarladais, mais la Dorsogne, tout simplement, dans ce qu'elle possède de plus vert, de plus chaud dans la couleur de ses pierres, du charme d'un climat qu'ont célébré Montaigne et la Boétie, entre autres, d’où le fait que les hommes se sont installés là depuis les temps les plus anciens.

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