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- Fais-moi l'amour, Matt, me supplie-t-elle en s'accrochant à mon cou.

- Non, réponds-je fermement en écartant ses bras.

- Très bien, dit-elle en réajustant sa tenue qui est simplement mortelle et en s'écartant de moi. Si tu ne le fais pas, quelqu'un d'autre s'en chargera.

Elle me pousse pour se diriger vers la sortie.

- Quoi ? je m'époumone.

Je la rattrape in extremis alors qu'elle a déjà la main posée sur la poignée de porte. Je ne doute pas que les candidats seront nombreux et qui'ls auront probablement beaucoup moins de scrupules que moi pour coucher avec Suzanne dans cet état.

Je bloque la porte avec mon pied et, tout en la regardant j'aboie :

- Tu n'iras nulle part, ce soir. Tu rentres chez toi.

- Certainement pas. Je t'interdis de me donner des ordres. Je m'enverrai en l'air avec qui je veux ce soir, que cela te plaise ou non. Tu as laissé passer ta chance et...

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Je me mets rapidement dans le bain, poussée par le rythme effréné. Le bar est vite plein à craquer et, dans l’ensemble, la soirée se déroule plutôt bien. Notre équipe est bien rodée et fonctionne à merveille. Matt s’occupe du bar, il prépare les boissons que je lui réclame et s’occupe de servir les clients au comptoir. Pour ma part, je gère la salle en prenant les commandes et en faisant le service.

Tout se passe bien jusqu’au moment où deux jeunes femmes font leur entrée. Mon humeur change subitement. Cela fait deux soirs de suite qu’elles viennent ici et, comme je le pressens, elles ne s’installent pas en salle, non, bien sûr que non, mais elles s’accoudent au comptoir. On se demande bien pourquoi ?

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Je passe devant le comptoir et vois Matt affairé à laver et ranger des verres. Avant de le rejoindre, il me faut enfiler en quatrième vitesse ma tenue de service, composée d’un jean bleu foncé troué et d’un T-shirt court noir à l’effigie du bar qui dévoile une partie de mon ventre. Je dois reconnaître que Matt a bon goût et que ma tenue de travail est plutôt pas mal, à la fois confortable et féminine. Ce n’était pas la même affaire dans mes anciens boulots, je peux vous l’assurer. Soit c’était trop vulgaire, soit, à l’inverse, horrible, avec des couleurs hideuses et sans forme. Une fois, on m’a même demandé de porter un T-shirt sur lequel il était inscrit que « la bière est aussi bonne que la serveuse ». De très bon goût, je n’y suis restée que quelques heures !

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Une minute avant la fin de l'ultimatum posé par Matt, je pousse les portes du bar. Pub Irlandais à l'image de son propriétaire, le Matthew's est accueillant, familial et sympathique. L'ambiance qui y règne est toujours agréable. Musique pop rock, bière, et la grande spécialité de la maison : le cheeseburger. Tout y est.

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Lorsque j’arrive à son niveau, il interrompt sa tâche et me fait face. Il me fixe, passablement énervé, comme je peux le constater à sa mâchoire serrée et au léger tressautement de sa lèvre inférieure. Ces signes passent sûrement inaperçus aux yeux de tous, mais moi qui le connais mieux que personne, je sais ce qu’il ressent. Sous les airs de gros dur qu’il aime se donner et qui en trompent plus d’un se cache un homme sensible au cœur tendre.

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À ce moment précis, je ne doute en aucun cas de sa sincérité. J’accélère le pas, me dirige vers la salle de bains pour me refaire une beauté et me cogne dans le placard au-dessus du lavabo que je viens d’ouvrir.

– Merde, dis-je à haute voix, le téléphone toujours vissé à l’oreille.

Je masse énergiquement la zone douloureuse située sur le haut de mon front pour apaiser la douleur.

– Qu’est-ce qui se passe ? Tu t’es fait mal ? me demande-t-il, inquiet.

– Non, c’est bon, j’arrive. Tu me retardes, Matt.

Et je raccroche sans plus d’explication.

Avant de partir, j’inspecte une dernière fois mon reflet dans le miroir. Oh ! la vision qu’il m’offre n’est pas vraiment folichonne. Mes cheveux sont indomptables, j’ai sur la joue la trace du coussin sur lequel je viens de m’assoupir et, pour couronner le tout, un hématome s’imprime sur mon front. Génial ! Non seulement je fais peur à voir, mais en plus on peut lire sur mon visage la raison de mon retard. Tout simplement splendide.

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– Lorsque je te ferai l’amour, tu seras consciente et consentante, Suzanne, crois-moi.

Je ponctue ma phrase d’une tape sur ses fesses bien moulées. Ma jambe me fait un mal de chien mais je dépasse ma douleur, ne voyant aucune autre solution à ma portée.

– Matt, repose-moi tout de suite ! Matt… MATT… MATT… MATT… !

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Je niche ma tête dans son cou. Matt enfouit l’une de ses mains dans mes cheveux, pose l’autre sur mes reins et inspire longuement, la tête dans mes cheveux. L’instant est tellement magique que je fais une chose idiote. Je lève la tête, me hisse sur la pointe des pieds, et mes lèvres partent à la rencontre des siennes. Il dépose une série de légers baisers le long de ma mâchoire, comme une traînée de papillons. Il braque ses yeux noirs et pénétrants sur ma bouche avant de s’en emparer.

Contrairement à ce à quoi je m’attendais, il m’embrasse avec douceur, me laissant entrouvrir les lèvres avant d’y glisser sa langue. Il place une main sur mes fesses et les caresse tandis que l’autre est sagement posée sur ma joue. Notre baiser est si profond et si rempli de promesses que je ne peux retenir un gémissement.

Il appuie son front contre le mien, aussi bouleversé que moi.

– Il faut qu’on y aille, lui dis-je à contrecœur.

– Je sais.

– Qu’est-ce qui nous arrive ? je murmure.

– Je ne sais pas.

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– Effectivement, Matt m’a beaucoup parlé de toi, mais il a oublié l’essentiel à ton sujet…

L’air soudain très sérieux, il laisse sa phrase en suspens.

– Qui est… ?

– Que tu es d’une grande beauté.

L’intensité de son regard et ses belles paroles me prennent au dépourvu et je rougis… encore.

C’est la première fois qu’un homme me fait ce compliment. On m’a déjà trouvée jolie, attirante, bandante (pas plus tard qu’hier), mais jamais belle. Je ne sais quoi répondre et je ne peux soutenir très longtemps son regard.

Décidément, je change constamment de couleur à ses côtés.

– Ne me dis pas que c’est la première fois qu’on te le dit ?

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Une fois revenue de mes souvenirs, je pose mes yeux sur mon amie. La bouche ouverte, Natacha est suspendue à mes lèvres et me contemple.

– Tu as eu, à chaque fois, un orgasme ? me demande-t-elle, pas du tout gênée par sa question indiscrète.

Là encore, je hoche la tête, les joues rouges. Il fait chaud chez Nat, d’un seul coup.

– Merde, pourquoi je tire toujours les mauvais lots ? J’hallucine, tu es une sacrée chanceuse. Je peux compter mes orgasmes sur les doigts de la main, je te signale. Et crois-moi, j’ai de la pratique.

Alors que toi, tu dégotes du premier coup le gros lot ! Veinarde, ajoute-t-elle, un tantinet jalouse.

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