Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 438
Membres
1 017 150

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode


Ajouter un commentaire


Liste des commentaires

Lu aussi

Je remercie l'auteure pour l'envoi de son roman et la traductrice de m'avoir contactée pour que je le découvre. C'est le résumé qui m'avait tentée à premier abord...

L'histoire est celle de Davide, un accro au téléphone portable, qui va essayer de vivre trois jours sans. C'est alors qu'il va rappeler une jeune femme qu'il a connu trente ans auparavant. Cette dernière, Lisa, lui promet de le rejoindre en Italie. Mais à la grande surprise de Davide, ce n'est pas elle qu'il va découvrir sur le quai de la gare...

Autant le dire tout de suite, je n'ai pas du tout accrocher à l'histoire. J'ai ressenti beaucoup de reproche dans le fait de l'utilisation des smartphones de nos jours. Pourtant, le résumé me paraissait plutôt simple, j'avais l'impression d'une véritable réfléxion. Mais finalement, ce ne fut pas le cas pour moi... Dommage... Donc tu l'auras compris, j'ai mis du temps à me mettre dedans et je n'ai pas ressenti grand chose pour l'histoire ou encore pour les personnages. Je crois que je suis passée complétement à côté de cette fable moderne.

En plus de cela, la fin est ouverte... Parfois cela ne me gène pas, mais ici, j'ai eu un sentiment de non-fini... J'ai envie de savoir ce qui va arriver à Giulia, mais aussi à Davide et Lisa.

Côté personnage, je peux te parler de Davide et de Lisa sans spoiler, mais je ne peux rien dire sur Giulia sans te raconter une partie de l'histoire. Mais saches que c'est le personnage auquel je me suis le plus identifié au début, mais finalement, en refermant le roman, je ne suis pas plus attachée que cela à elle.

Davide est donc un personnage qui abandonne son portable sur les conseils de son médecin. Il n'est pas vraiment de ma génération, mais je ne comprends pas comment l'on peut être vraiment accro au téléphone. Enfin quand je pars en vacances, j'ai vraiment tendance à le laisser de côté, je le regarde quasiment jamais... Donc je n'arrive pas vraiment à comprendre comment trois jours peuvent être vraiment interminables. Du coup, déjà sur le principe, je ne l'ai pas beaucoup compris. Puis, il n'a rien d'attachant finalement. En refermant le roman, je me suis dis que je ne le connais pas plus que cela que quand j'ai commencé ce roman...

Lisa, c'est un peu pareil, j'ai l'impression de ne pas la connaitre... En faite, je ne me suis pas réellement attachée aux personnages comme tu le vois. C'est pour cela, je pense, que je suis passée à côté de l'histoire. Dans mes lectures, j'ai vraiment besoin de m'identifier, de m'attacher aux personnages. Ce ne fut pas le cas pour ce roman.

Le style d'écriture est agréable par contre, j'ai beaucoup aimé. Cela est fluide et facile à lire. D'ailleurs, c'est ce style entraînant qui m'a permise de finir le roman, sinon il est probable que j'aurais laissé ma lecture de coté plus d'une fois.

En général, une déception pour ce roman beaucoup trop moralisateur à mon goût...

>>http://www.fifty-shades-darker.fr/2019/02/trois-jours-sans-portable-de-renzo.html

Afficher en entier
Argent

Je remercie Murielle, pour m'avoir proposé de découvrir ce livre. Je remercie également l'auteur, Renzo Ardiccioni pour la dédicace, ainsi que la maison d'édition qui me l'a fait parvenir. Un petit livre d'un peu plus de cent pages qui donne quelques leçons de... savoir-vivre ?

Trois personnages se partagent le récit. Il y a d'abord Davide, 50 ans qui se pose de nombreuses questions et tombent sur le numéro de téléphone d'une ancienne "amie". Après avoir passé une visite médicale où des tremblements incontrôlables prenaient possession de son épaule (et même un peu plus) il écoute les conseils de son médecin : faire en sorte de ne plus utiliser de téléphone portable pendant au moins trois jours. Ensuite, nous avons Giulia, la fille de Lisa, qui vient le voir à la place de sa maman, pour visiter le pays, selon ses dires. Et puis il y a Maestro, un personnage énigmatique qui a beaucoup d'humour.

Vivre trois jours sans portable est difficile pour Davide a tel point qu'il exige que les autres fassent de même. Alors qu'il pensait revoir une vieille amie, il se retrouve avec la fille de celle-ci. Une relation ambigüe entre les deux s'instaurent. Qui est qui pour l'autre ? Et puis il y a ce foutu téléphone qui se retrouve partout. Où qu'il aille, il y en a partout. Une vraie prolifération de ces petites bêtes-là. C'est drôle, il vaut mieux par contre ne pas tout prendre au premier degré, autrement on passe à côté de l'humour et du fait qu'il s'agit de réflexion sur le sujet. C'est assez perturbant au départ de voir comment l'auteur dépeint le téléphone. Il est vrai que certains pourraient l'avoir agrafé, imprégné dans la main, tandis que d'autres le regardent comme une bête curieuse.

C'est une fable et j'avoue qu'il me manque des éléments. Que va-t-il se passer pour Lisa ? Giulia ? Davide ? Je n'ai pas réussi a ressentir quelque chose pour les personnages, par contre il y a une grande réflexion sur l'utilisation du téléphone. Bien ou mal, cet objet est autant utile qu'inutile. Il peut servir en cas d'urgence, mais aussi de rester connecter au monde. à contrario, il arrive à nous couper de ce monde physique. Je me suis posée la question de savoir si je tiendrais sans mon téléphone. Et c'est une très bonne question, pendant les vacances oui, en dehors, pas certaine de pouvoir. L'auteur est assez moralisateur, par chance, l'humour de Maestro relève le récit. L'écriture est fluide et amusante.

Un récit court avec une idée fixe : le téléphone portable est-il un problème ou une solution ? Est-ce vraiment à cause de cet objet qu'il y a tellement d'événements qui posent des soucis ? Je ne suis pas certaine, par contre j'aime bien la vision de l'auteur, même si elle est un peu drastique. Chacun a sa vision des choses et celle du personnage de Davide est assez dure, comme s'il en avait peur. C'est probablement le cas. Une lecture rapide qui m'a fait sourire.

http://chroniqueslivresques.eklablog.com/trois-jours-sans-portable-renzo-ardiccioni-a158813414

Afficher en entier
Argent

Je tiens tout d’abord à remercier Murielle Hervé-Morier traductrice du roman et les « Éditions Les Presses du Midi » pour m’avoir fait découvrir ce livre et pour leur confiance. Un livre qui fait réfléchir quant au fait indéniable que nous sommes devenus complètement intoxiqués par la technologie, mais plus que tout : à nos portables. Est-ce à cause de la société ultra connectée dans laquelle nous vivons ? Est-ce tout simplement nous qui ne sommes pas capable de nous « raisonner » ? Alors, cette lecture sera faite pour vous si, comme Davide, vous voulez tenter l’expérience de vivre « Trois jours sans portable ». Si le héros de ce roman accepte de relever ce défi, je dois bien avouer que de mon côté, je ne crois pas que j’en serai capable. Cette technologie est finalement devenue une addiction voire presque « drogue dure ». Ce livre nous pousse à la réflexion, même si, au fur et à mesure de notre lecture, nous finissons par voir cet outil de technologie d’un autre œil. Un roman bourré d’humour, parfois caustique. Les trois personnages principaux (Davide, Maestro & Julia) sont attachants et vont nous démontrer que ce petit objet soi-disant indispensable peut être intrusif et nous éloigne des conversations, des émotions, mais, avant tout, du contact humain. La plume d’Edouard Moradpour est fluide et sans fioriture. Elle nous pousse à réfléchir sur nos « mauvais » comportements devenus si addictifs qui tue toute spontanéité dans nos échanges avec autrui. J’espère que mes propos n’ont pas été trop décousus, mais j’ai eu un peu de mal à organiser toutes mes pensées. À lire, mais surtout à méditer !

#Virginie

Afficher en entier
Argent

L'avis d'Esméralda :

A l’heure où l’ère numérique monopolise nos vies, ce roman court tombe à pic. Trois jours sans portable ? Capable, irréalisable, on se pose tous la question.

Davide, homme accompli professionnel parlant, est ainsi dire marié à trois portables, compagnons inséparables, capricieux et exigeants. Le médecin lui annonce qu’il est atteint de la maladie du siècle et sa seule prescription est de mettre à l’arrêt ses portables pendant trois jours. Dépité, il accepte ce traitement et ressort avec mélancolie un vieux répertoire téléphonique de 30 ans et part à la recherche d’un passé qui n’existe plus. Par un heureux hasard, Lisa a toujours le même numéro, après des retrouvailles téléphoniques enjouées, ils se donnent rendez-vous et elle lui promet de le rejoindre en Italie. Mais sur le quai bondée de cette gare, une surprise l’attend, bonne ou mauvaise, il va devoir s’en accommoder et imposer certaines règles.

Renzo Ardiccioni narre avec objectivité, honnêteté et malice un monde qui sombre dans un certain individualisme interconnecté. Cette fable moderne et atypique a le mérite de secouer avec humour et détachement, les consciences. L’auteur met en exergue ce que l’homme a perdu au profit de l’inter-connectivité. Pour argumenter, Ardiccioni n’hésite pas à confronter le passé au présent. Certaine note cynique s’immisce gentiment dans le récit sur un ton moralisateur qui m’a fait sourire. Il est vrai que je partage modérément la vision de l’auteur sur cet aspect. Cette consommation frénétique de flux de data, détruit l’essentiel des relations humaines proches, la solitude envahit un quotidien qui devient borne et abject.

Ce roman court se lit d’une traite. J’ai beaucoup aimé cette manière particulière attrait à la narration. La plume de Renzo Ardiccioni est sincère, étonnante et détonante. Les personnages et Les Voix de la Raison délivrent un combat et un message convaincant.

Si ta curiosité est piquée, alors n’hésite pas à découvrir TROIS JOURS SANS PORTABLE.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode