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Dans cet exercice, il s'agit d'observer une étape répétitive de notre vie. Le trajet pour aller au boulot (ou à l'école ou pour les courses si on ne travaille pas). Si c'est à pied c'est bien, mais à moto, en voiture, en bus ou en métro, peu importe).
On va juste pendre le temps de regarder autour de soi. Rien de plus. A chaque fois, vous allez vous apercevoir que la machine à blabla se met en marche instantanément (blabla et au travail Il se passe ceci et je dois faire cela, blabla bla). laissez passer ces pensées là et reportez votre attention sur ce qui vous entoure.
VOUS POUVEZ REGARDER
- La nature [...]
- les gens [...]
- les couleurs, les sons, les odeurs
À chaque fois que vous regardez quelque chose, la machine à blabla se met en marche et donne un avis ou enchaîné sur un truc virtuel.
Laissez passer et n'y portez pas attention. Ramenez simplement votre attention sur ce qui vous entoure directement et laissez les blabla passer.
Exemple :
Quelqu'un passe. (Blabla... ouh lala il est comme ci, comme ça c'est bien c'est mal, etc... on laisse passer en se contentant de regarder).
Un arbre (blabla... ce week-end je dois jardiner, on laisse passer)
Une pub pour un truc ( ah c'est vrai c'est bien ça, je vais en acheter un... hop on laisse passer).
Essayez de faire ça tous les jours (...)
Laissez la machine à blabla en second plan
Voyez ensuite sur quel temps réel de trajet vous avez été en train de regarder la réalité et combien de temps vous avez passé avec des blabla qui n'ont rien à voir, sans même regarder autour de vous. (...)
Inutile de forcer, laissez faire ce qui vient, comme ça vient. Le but est de s'observer et d'observer l'extérieur dans jugement ni attente.
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Afficher en entierNotre aime a autant expérimenté l'obscurité que la lumière puisqu'elle passe son temps en aller-retour entre les deux pôles. Bien évidemment pour que nos chers sauveurs du monde puissent exister et que les victimes s'expérimenter il fait bien des bourreaux. Donc, chacun se dévoue a tour de rôle.
Le truc, étant donné qu'il est contraire à la nature de l'âme de passer Dans l'obscurité (qui a plutôt le sens: "inconscience de sa vraie nature", plutôt que "bien ou mal" ), fait que cela provoque des blessures qu'il faut guérir ensuite.
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Afficher en entierIl n'y a plus de bien ou de mal, mais un degré de divinité objective de chaque chose (c'est lumineux, coloré et divin ou non quand on regarde le monde manifesté). Et si un truc n'est pas divin, ce n'est pas sa faute à lui, mais plutôt celle de celui qui le contemple (ce qui signifie qu'il lui reste du nettoyage interne à faire ).
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Afficher en entierLa société est une croyance collective qui vit dans l'émotionnel et la sphère mentale. Si on la laisse intervenir dans notre vie, elle peut modifier notre monde (ce que l'on fait constamment en fait). La lâcher, c'est accepter de se désolidariser de cet inconscient collectif pour entrer dans un autre inconscient collectif en création (l'ascension par exemple qui est réelle et en création aujourd'hui) ou bien, sa propre réalité ! Toutes les versions existent puisque c'est bien chaque conscience individuelle, réelle aux autres, qui crée le collectif.
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Afficher en entierLE CHOIX ET LA LIBERTÉ
Cette énergie est perçue comme le diable (un comble étant donné qu'elle représente le livre arbitre ! ). Elle nous d'une simplement le choix de ne pos aller dans le sens de l'Univers. Pour évoluer, il faut commencer par l'accepter, l'aimer et l'utiliser pour faire le choix du divin en conscience ! Si on joue un rôle de "saint" parce qu'on est névrosé sur ce point, on n'évolue pas. Cela reste un rôle, on n'a pas le choix.
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Afficher en entierTyranniser quelqu'un (même si on croit que cet pour son bien), sert juste à en faire un psychopathe. Seul l'amour guérit, pas la tyrannie. Partant, si les gens on envie de se mette sur la gueule, ça ne sert à rien de leur taper sur l'épauleen mérite disant de s'aimer les uns les autres, la seule chose qu'il est possible de faire cesser évoluer soi-même, filer sa compassion, et les laisse colère leurs erreurs pour évoluer.
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Afficher en entierLa mort, à mon sens, se passe en deux étapes majeures :
- renoncement à son corps et à sa vie matérielle (quand on a passé cette étape on peut prendre le tunnel de lumière. En attendant, on peut hanter la matière et se faire un film dans une dimension du dessous en regardant les vivants).
- renoncement à son esprit (quand on a passé cette étape on peut fusionner avec la source. En attendant, on reste dans des paradis spirituels de notre création).
Page 367
Afficher en entierIl m'est venu tout un tas d'infos concernant la jouissance, entre autre le fait que nous cherchons à l'extérieur quelque chose que nous avons à l'intérieur. On se cache la jouissance naturelle de la vie et ensuite on la projette dans des dérivés en construisant des couches par-dessus. Si on laisse le système se faire reconnecter entièrement, on peut retrouver sa jouissance naturelle et ne plus la projeter sur des cibles extérieures ( ds objets, des gens, du sexe, une situation, etc...).
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Afficher en entierEn résumé, si vous avez la chance de ne pas avoir un mental disproportionné, un Ego de dingue et le karma d'un sorcier complètement siphonné qui va avec, ne vous compliquez pas la vie ! Abandonnez-vous au divin et laissez la lumière résoudre les problèmes sans plus vous poser de question. Pas besoin de savoir ce qu'elle fait et d'en être conscient, il suffit de lâcher prise. De toute façon, c'est ça ou bien les problèmes qui sortent se retourneront contre vous si vous vous y accrochez. Quand tout le monde aura compris qu'il suffit de lâcher prise, cela sera fini.
Page 337
Afficher en entierLe monde que nous contemplont est notre création, il n'existe aucune énergie extérieure de la manière où nous l'entendons. Seulement nos propres énergies que nous diabolisons, et transformons en ennemies.
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