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— Pourquoi avez-vous fait mordre la poussière au fils du fermier ?

— Parce que c’était un garçon de seize ans, boutonneux, qui pensait que je ne rêvais que de l’embrasser. Ce n’était pas le cas.

— J’ai moi-même eu seize ans et des boutons, et devrais donc compatir avec ce pauvre jeune homme ; mais, étrangement, j’aurais bien envie de lui mettre une raclée aussi.

— Il ne vaut mieux pas. Il est marié à présent, et sa femme serait capable de nous assommer tous les deux sans même transpirer.

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Il se pencha à son oreille et lui souffla :

— Vous devriez me gifler. Mon comportement est par trop audacieux.

— À vrai dire, je pense que je devrais vous chasser de ce canapé à grand renfort de coups de pied et vous verser le restant du vin sur le crâne.

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- Qu'y a-t-il là-dedans?

- Quelques herbes pour calmer vos douleurs et pour épaissir votre sang, vous fortifier et accélérer le processus de guérison. Il n'y a ni bave de crapaud ni poudre de perlimpinin.

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— Parrain et marraine ? s’exclamèrent les deux Wherlocke au moment où la porte se refermait sur Edgar et Anthony.

— Pourquoi pas ? C’est exactement le rôle que vous avez rempli ces trois dernières années. Autant que cela soit officiel. Bien entendu, toutes ces sottises au sujet de ses belles boucles doivent cesser, dit-il en foudroyant Chloe du regard.

— Ce n’est qu’un enfant, se défendit-elle en levant les yeux au ciel. Vous aurez tout le temps d’en faire un mâle.

Puis, elle se tourna vers la cheminée et ajouta en marmonnant :

— Un mâle avec de belles boucles.

— Est-ce qu’elle s’entraîne pour être aussi agaçante ? demanda Julian à Leopold.

— Non, répondit ce dernier. J’ai bien peur que cela ne soit inné.

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« — Bened sait s’y prendre avec les enfants, commenta Julian dans une tentative bien malheureuse de détourner de la douleur l’attention de Chloe.

— Pas étonnant, il a douze frères et sœurs.

— Bonté divine !

— Je vous l’avais bien dit – « de vrais lapins ».

En entendant cette voix familière, lord Kenwood se retourna et secoua la tête, comme dépité par les âneries de Leopold. Son ami était si pâle qu’il était impossible de douter qu’il avait eu presque aussi peur pour Chloe que lui. »

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« — Il suffit, intima Julian en s’éclaircissant la voix de ce désir qui la faisait trembler.

— Mais c’est vous qui m’avez embrassée.

— Je le sais. C’est à moi que je faisais cette remontrance. Je vous ai embrassée pour deux raisons : la première est que vous bafouilliez.

Le motif de son irruption dans la chambre de Julian lui revint brusquement en mémoire.

— C’est vrai, admit Chloe après avoir marmonné un juron. Je bafouille lorsque je suis nerveuse, et le fait que votre mère ait rencontré Anthony m’a rendue nerveuse. Quelle était la seconde raison ?

— J’en avais envie – et cela me vaudra une place en enfer, songea-t-il. »

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« Chloe se tenait derrière la paire de lourds rideaux d’une minuscule bibliothèque. Les Paxton n’étaient vraisemblablement pas des littéraires, songea-t-elle en essayant en vain de soulager un point qui la démangeait à la taille. Malheureusement, elle ne parvenait pas à l’atteindre en raison de l’épaisseur de sa robe et du corset qu’elle portait en dessous. Elle détestait vraiment assister à ces mondanités. Si elle entendait un seul autre homme parler de la superbe partie de chasse à laquelle il avait pris part, ou une seule autre femme en calomnier une autre avec des paroles mielleuses, elle allait se mettre à hurler. L’unique chose qui la retenait de le faire à l’instant était de savoir que cela nuirait de bien des façons à Leo. Cela rendrait aussi plus compliqué pour elle de jouer les maîtresses de maison lors des occasionnels dîners organisés par son cousin, et c’était là quelque chose qu’elle aimait faire. Les amis de Leo ne la traitaient pas comme une petite poupée écervelée qui n’a pour seule raison d’être sur cette terre que de sourire et d’être belle. Malheureusement, aucun d’eux n’était présent à cette réception. Aucun de ses parents, non plus, ne se tenait auprès de Léo.  »

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« — Je souhaiterais le voir de nouveau, à présent que je me suis remis de mes émotions.

— Vous n’avez pas peur de vous pâmer, cette fois ?

— Je ne me suis pas pâmé. J’ai succombé de manière temporaire à un moment de faiblesse persistante due à mes blessures.

— C’est cela, oui. Il me semble que Leo devrait arriver avec Anthony d’ici peu. Il l’a amené à votre chevet toutes les heures depuis que vous avez… succombé à un moment de faiblesse. Le pauvre enfant a cru que vous étiez mort. »

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« — Êtes-vous en train de me dire que vous êtes une sorcière ? chercha à savoir Julian, les sourcils froncés.

Chloe l’aida à remettre les coussins d’aplomb dans son dos puis à s’asseoir plus confortablement.

— Non, monsieur. Bien sûr, il s’en est trouvé quelques-uns parmi nous pour s’essayer à ce que certains appellent la « magie noire » mais, assurément, non, nous ne sommes ni des sorcières et sorciers maléfiques, ni des suppôts de Satan. Buvez ceci, ajouta-t-elle en lui tendant un gobelet de cidre dans lequel avaient infusé des herbes médicinales.

Lord Kenwood porta la coupe à son nez et en renifla le contenu.

— Qu’y a-t-il là-dedans ? s’enquit-il.

— Quelques herbes pour calmer vos douleurs et pour épaissir votre sang, vous fortifier et accélérer le processus de guérison. Il n’y a ni bave de crapaud ni poudre de perlimpinpin. »

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- Quel genre de personnes serions-nous si nous vous tournions le dos alors que nous vous savons en danger, sous prétexte que nous ne nous connaissons pas ?

- Des personnes tout à fait ordinaires.

- Je vois. Eh bien, il ne s'en trouve pas beaucoup qui aient déjà accusé les Wherlocke d'être des gens ordinaires.

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