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Spoiler(cliquez pour révéler)Arthas, le roi-liche, seul dans sa gloire et sa puissance, ouvrit les yeux. La glace qui les recouvrait craqua par l'effet de ce geste et tomba sous forme de petites échardes, comme des larmes gelées. Un sourire se forma sous le heaume d'apparat qui couvrait ses cheveux blanc et sa peau pâle et davantage de glace tomba de sa silhouette s'éveillant, changeant lentement de position, fragments d'une chrysalide de glace qui n'était plus nécessaire. Il était éveillé.

- Ce n'est que le commencement.

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Ennuyé, il ignora l’étrange sensation et ordonna à nombre de ses soldats indéfectiblement loyaux de construire leur propre pont, un pont fait de chair putréfiée. Des douzaines d’entre eux pataugèrent dans la rivière et se couchèrent là, formant des couches et des couches de cadavres, jusqu’à ce qu’il y en ait assez pour que les chariots à viandes, les catapultes et les trébuchets puissent rouler en vacillant jusqu’à l’autre rive. Certains des morts-vivants, bien sûr, n’étaient plus utilisables, leur corps trop brisés ou déchirés pour effectuer des mouvements efficaces et cohérents. À ceux-ci, Arthas accorda presque généreusement une mort définitive, les libérant de son contrôle. En outre, leurs corps souilleraient la pureté de la rivière. C’était une arme supplémentaire.

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Elle attrapa un mouchoir et tamponna ses yeux gonflés.

— C’est ce que j’ai dit. Mais père a dit que cela n’avait pas d’importance ; que nous allions formaliser les fiançailles et qu’à mon anniversaire j’épouserais le seigneur Prestor.

Les yeux vert céladon d’Arthas s’agrandirent alors qu’il comprenait enfin. C’était donc pour cela que Prestor était là…

— Eh bien, commença-t-il maladroitement, il a beaucoup de relations, et… je suppose qu’il est bel homme. Tout le monde le dit. Au moins ce n’est pas un quelconque vieillard.

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— Oh, chuchota Jaina derrière lui. Ils ont l’air si tristes. Arthas renifla, puis se rappela qu’ils devaient rester silencieux. Il regarda rapidement vers la tour, mais les gardes n’avaient rien entendu.

— Tristes ? Jaina, ces brutes ont détruit Hurlevent. Ils voulaient mener l’humanité à sa perte. Par la Lumière, ils ont tué ton frère. Ne gaspille pas ta pitié pour eux.

— Quand bien même, je ne pensais pas qu’ils auraient des enfants, continua Jaina. Est-ce que tu vois celle avec le bébé ?

— Bien sûr qu’ils ont des enfants, même les rats ont des enfants, dit Arthas.

Il était irrité, mais il songea qu’il aurait dû s’attendre à une telle réaction de la part d’une fille de onze ans.

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- Sois maudit jusqu'en enfer, Arthas Menethil, grogna Kael'thas, tremblant d'indignation. Tu m'as pris tout ce à quoi je tenais. La vengeance est tout ce qu'il me reste.

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- Ne me rejette pas Jaina. Ne me rejette jamais. S'il te plaît.

Elle leva le regard sur lui, les yeux scintillant au froid clair de lune.

- Je ne le ferai jamais, Arthas. Jamais.

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- Je l'ai su durant toutes ces années, dit-il.

- Su q-quoi ?

Jaina avait été bombardée de tant de boules de neige que, bien que la saison fût encore estivale, elle était frigorifiée. Arthas la sentit trembler et raffermit ses bras autour d'elle. Jaina savait qu'elle aurait dû se retirer; une accolade spontanée et amicale était une chose, mais s'attarder dans ses bras en était une autre. Mais elle resta là où elle était, laissant sa tête reposer contre sa poitrine, son oreille pressée contre son cœur, l'écoutant battre à un rythme rapide. Elle ferma les yeux tandis qu'une main venait caresser ses cheveux, retirant des morceaux de neige tandis qu'il parlait.

- Le premier jour où je t'ai vue, j'ai pensé que tu étais une fille avec laquelle je pourrais m'amuser. Quelqu'un que cela ne dérangerait pas d'aller nager un jour d'été ou... (il recula un peu, balayant de son visage quelques vestiges neigeux en train de fondre et sourit.) ... ou de recevoir une boule de neige en plein visage. Je ne t'ai pas blessée, n'est-ce pas?

Elle sourit en retour, soudain réchauffée.

- Non. Non, tu ne m'as pas blessée.

Leurs regards se croisèrent et Jaina sentit la chaleur monter à ses joues. Elle bougea pour reculer, mais le bras d'Arthas l'entourait aussi fermement qu'une bande de fer. Il continuait de toucher son visage, laissant traîner ses doigts fort, calleux le long de la courbe de sa joue.

- Jaina, dit-il doucement, et elle frissonna, mais pas de froid, pas cette fois.

Ce n'était pas convenable. Elle devrait reculer. Au lieu de quoi elle leva la tête et ferma les yeux. Le baiser fut d'abord tendre, doux et délicat, le premier que Jaina ait jamais connu. Comme de leur propre volonté, ses bras se glissèrent pour enlacer Arthas tandis que le baiser se faisait plus passionné. Elle avait l'impression de se noyer, et qu'il était la seule chose tangible au monde.

C'était ce qu'elle voulait, il était celui qu'elle voulait. Ce jeune homme qui était son ami malgré son titre, qui avait vu et compris son caractère érudit mais également su révéler au grand jour la jeune fille espiègle et aventureuse, cette facette d'elle qu'on n’entrevoyait que rarement.

Mais il avait vu tout ce qu'elle était, pas uniquement le visage qu'elle présentait au monde.

- Arthas, chuchota-t-elle tandis qu'elle s'accrochais à lui. Arthas...

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La vieille femme sourit, les rides jalonnant son visage momentanément éclipsées par un éclat d'espièglerie dans ses yeux émeraudes, et elle renchérit :

- De plus, c'est un jour froid et pluvieux. Et c'est exactement le genre de jour pour lequel les histoires ont été faites.

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Ils levèrent les yeux sur les hommes armés, sur leur prince, d'abord de confusion puis de terreur. Au début les gens ne pensèrent même pas à saisir une arme; ils connaissaient les tabards, savaient que les hommes venus les tuer étaient censés les protéger. Ils ne comprenait pas pourquoi ils mourraient. La douleur sera le coeur d'Arthas dès le premier mort ...un jeune homme à peine sorti de la puberté qui le fixait avec incompréhension de ses yeux bruns et prononça les mots "Mon Seigneur, pourquoi est-ce que..." avant qu'Arthas ne crie de souffrance plus que de volonté martiale, et enfonce la cage thoracique du jeune homme avec un marteau dont il se rendit compte d'un air absent qu'il ne rayonnait plus de lumière.

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- La cité toute entière doit être purgée.

La déclaration d'Arthas était crue et brutale. Jaina vacilla. Il ne pouvait pas réellement penser cela.

- Comment peux-tu seulement l'envisager ? hurla Uther, marchant vers son ancien élève. Il doit y avoir une autre façon. Ce n'est pas d'une récolte de pommes pourries que tu parles, il s'agit d'une ville pleine d'être humains !

- Bon sang, Uther nous devons le faire !

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