Didier Conrad
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Note moyenne : 7.36/10Nombre d'évaluations : 1 456
0 Citations 637 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Aie! Même les chants d'Assurancetourix n'ont pas réussi à réveiller le village!... Et c'est moi ou Bonemine est vraiment influençable. Si on se rappeler l'album avec le devin...
Afficher en entierJ'adore Astérix mais j'ai beaucoup été déçue des derniers tomes. Celui-ci relève le niveau. Bien que certaines vannes du début soient vraiment boiteuses (typiquement les soldes), le tout s'améliore ensuite, avec une satire sociale plus subtile et moins "gros sabots dans le plat" que dans les tomes précédents. On critique à souhait les courants de pensée positive qui dégoulinent de miellosité et d'absence de sens critique, le manger sain et local etc. Les bobos parisiens en prennent également pour leur grade. J'ai effectivement trouvé certains points trop balourds mais dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment, qui me réconcilie avec les (médiocres) tomes précédents.
Afficher en entierCela faisait longtemps que je n'avais pas lu une bande dessinée d'Asterix, j'ai eu l'occasion d'avoir celle ci à ma disposition pour la lire et j'en ai donc profité. Je me suis dit pourquoi pas.
J'ai été agréablement surprise, j'ai adoré l'histoire, retrouvé le bon humour de cette série et les personnages !
J'ai vraiment passé un excellent moment avec cette bande dessinée et qui me donne envie de reprendre la série Asterix !
Afficher en entierPlutôt original avec des belles pointes d'humour.
Afficher en entierLe concept de la pensée positive, très à la mode de nos jours, rend cette BD très intéressante et très addictive. Je l’ai adoré. Elle est pleine de rebondissements et très drôle comme tous les tomes d’ailleurs.
Envie d’un moment détente, n’hésitez pas à vous plonger dans cette BD et pourquoi relire tous les tomes ? moi je pense qu’un jour je les relirais.
Afficher en entierJ'ai adoré me replonger dans l'univers d'Astérix.
Drôle, divertissant, très beau dessin ... tout ce que j'aime et que j'attends d'Astérix et ses compagnons.
Afficher en entierUn tome meilleur que les précédents mais qui m'est apparu un peu forcé par moment. Je crois que jamais rien ne remplacera l'humour et la justesse de Goscinny et Uderzo.
Afficher en entierMouais…
Ben j’ai pas été convaincu…
Le méchant romain avec son idée de « corruption bobo » n’a pas beaucoup d’envergure ou de charisme, son idée n’est ni époustouflante ni enthousiasmante…
L’histoire est assez linéaire, on se suit, c’est tout, sans réelle grande idée, retournement de situation…
Peu de gags ou jeu de mots…
Bref, un album assez plat et fade qui ne m’a pas convaincu alors que j’avais bien marché au Griffon précédent…
Afficher en entierBonne BD, beaucoup d'humour. Je ne suis pas une puriste d'Astérix et Obélix alors je ne peux juger l'évolution par rapport aux auteurs originaux.
Afficher en entierBD. L’iris blanc. Astérix.
J’ai souri souvent. De bon jeux de mot.
Cela fait longtemps que je n’en avais pas ouvert un. J’ai arrêté d’en lire il y a …15 ans environ 😊. J’avais été déçu de la qualité. Et celui-ci au contraire m’a bien plus. Du coup, je vais remonter le temps de l’écriture jusqu’à découvrir le gap 😊.
Mais ce n’est pas une priorité. Là pour le moment, c’est surtout la SF. Année 1980-225000. Pardon …-2000.
Afficher en entierOn parle de Didier Conrad ici :
2015-12-18T20:30:49+01:00
2015-11-05T18:43:10+01:00
2013-10-18T16:09:59+02:00
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Dédicaces de Didier Conrad
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Dargaud : 21 livres
Les Editions albert René : 8 livres
Marsu Productions : 2 livres
Glénat : 2 livres
Editions Albert-René : 2 livres
Bédéscope : 1 livre
Dupuis : 1 livre
Hachette : 1 livre
Biographie
Né le 6 mai 1959 à Marseille, d'origine suisse, Didier Conrad publie dès 1974 ses premières pages dans le magazine Spirou. Il y travaille avec Yann de 1978 à 1982 en créant : Les Innommables et Les Hauts de Pages.
En 1983 paraît le premier album d'Aventure en Jaune, qui est suivi par la parodie Bob Marone.
Il commence en 1985 un ouvrage en cavalier seul qui aboutira trois ans plus tard au Piège Malais paru dans la collection Aire Libre. Parallèlement, il crée sa première série tous publics Donito.
En avril 96, il part aux Etats-Unis pour travailler à la production d'un long métrage d'animation pour Dreamworks (studio fondé en 95 par Spielberg, Katzenberg et Geffen), " La route d'Eldorado ".
[http://www.dargaud.com/]
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