Xavier Deutsch
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Note moyenne : 5.77/10Nombre d'évaluations : 31
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Les derniers commentaires sur ses livres
L'idée de départ n'était pas mauvaise, raconter l'histoire de 3 garçons (plus précisément un) qui découvrent l'univers de la poésie ce qui va en soi, changer leurs perceptions pour certaines choses.
Mais le style de l'auteur et la suite de l'histoire m'ont complètement dégouté de la fin. Certains passages sont durs à comprendre (il faut parfois le relire plusieurs fois pour y réussir) et le roman comprend bien trop de longueurs à mon gout.
Encore un roman de cet auteur que je n'apprécie donc pas.
Afficher en entierJoseph Peterson est un personnage attachant que l'ont suit dans son histoire avec un léger sourire aux lèvres. L'auteur a (je trouve) bien su rendre l'espèce de fascination qu'il exerce sur les autres, et celle que Hope exerce sur lui.
La mystérieuse Mrs Kalligalan (désolée, je ne me souviens pas de l'orthographe de son nom), Mr Carlson, Mr Davis, les parents de Joseph, sa soeur, l'homme du train, on trouve dans ce roman nombre de personnages que l'on a envie de connaître plus en détail. Des personnages le plus souvent juste esquissés par petites scènes, mais qui laissent entrevoir que chacun est un être humain avec son histoire.
Une des plus belles et des plus originales histoires d'amour que je n'ai jamais lues.
Afficher en entierMalgré un thème qui est assez d'actualité (vu que notre société est de plus en plus informatisé et que l'on parle de transhumanisme en quelque sorte) l'histoire en elle-même et le personnage sont mal abordés.
Il faut vraiment attendre la fin pour voir un peu d'action mais cela retombe assez vite malheureusement.
Même en le relisant, ce roman n'a pas réussi à me faire changer d'avis et c'est bien dommage.
Afficher en entierIntrigue pas facile à comprendre
Afficher en entierRecueil de nouvelles assez spéciales. Je ne les ai pas toutes appréciées (ou comprises).Se lit très vite. Ma préférée est la première, celle dont le livre tient son nom, c'est aussi la plus touchante et la plus poétique, il m'a semblé. En quelques mots : un jeune homme avant de partir à la guerre prend de la terre de chez lui, persuadé que s'il meurt (à Stalingrad), il doit être accompagné de sa terre natale, pour ne pas reposer en sol totalement étranger...
Afficher en entierune petite nouvelle ( roman de gare ) à la Xavier Deutsch, à la belge donc ... à lire !
Afficher en entierJ'ai vraiment pas aimé ce livre plus que ça... Dès le début, on sait que ça va mal finir, même si l'auteur, dont j'aime la plume habituellement, mais qui ici, ne fait que répétition sur répétition, essaie de nous embrouiller et de nous faire penser que l'incipit est autre chose qu'il ne l'est, et bien dites-vous que les soupçons du début vont s'avérer vrais par après, mais l'auteur n'a pas réussi à nous faire baisser la garde et ça se sent arriver.
Afficher en entierJoli petit manifeste à propos de l'écriture littéraire, des romans, de l'engagement et de ce qui touche au monde du papier de soie, à l'usage de ceux qui ne se résignent pas à voir la littérature sombrer dans sa crevasse, et sont prêts à la retrouver dans le maquis.
Afficher en entierUn roman déjanté et drôle aux effluves de marmelade à l'abricot pour les jeunes de 8 à 12 ans et leurs parents.
Afficher en entierUn côté quête personnelle, avec en plus une dimension amoureuse, la profondeur des ressentis et la projection mentale de Joseph sur Hope, voilà des ingrédients susceptibles de me happer dans l’histoire. Et ça n’a pas raté. Si ça démarre un peu lentement on qu’on se demande un peu s’il va se passer quelque chose, ça se met vite en place quand même.
L’histoire est à la troisième personne, mais est dite du point de vue de Joseph, ce qui, comme je l’ai sous-entendu, nous donne accès à tout son état mental, ce qui me semble primordial étant donné le synopsis. Une fois l’histoire lancée, même si ça ne déborde pas de rebondissements, c’est cet état émotionnel qui fait tout le sel de l’histoire, et c’est très prenant. Ensuite, des choses plus concrètes vont se passer, ajoutant à la richesse de l’ensemble.
Mon seul regret, ce qui m’empêche de placer ce roman en liste d’or, est un aspect du dénouement, qui ne m’a pas semblé à sa placeSpoiler(cliquez pour révéler), il s’agit de l’existence, apparemment réelle, de l’ange gardien de Joseph, ce qui fait entrer un élément paranormal dans une histoire qui aurait pu s’en passer, ce qui gâche l’effet de la fin et amène le dénouement de manière un peu artificielle et facile.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Xavier Deutsch
et autres évènements
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Editeurs
Le Cri : 11 livres
L'Ecole des loisirs : 5 livres
Editions Mijade : 4 livres
Le Castor Astral : 3 livres
Weyrich : 2 livres
Robert Laffont : 1 livre
Averbode : 1 livre
Gael : 1 livre
Biographie
"Mon nom est Xavier Deutsch. Je suis né à Leuven (en Belgique) le 9 février 1965, dans un milieu normal. Mon enfance a été normale, j'ai suivi des études normales.
En janvier 1989, je publie mon premier roman : La nuit dans les yeux, chez Gallimard. Je fais la connaissance de Geneviève Brisac, à qui je dois beaucoup.
En 1990, obéissant à l'appel du drapeau, je sers la patrie et l'intérêt collectif dans les rangs du 1er Wing de chasse, de la Force aérienne. Je me tiens sous les ordres du lieutenant Remacle, une femme remarquable et mon supérieur direct. J'en sors sous-lieutenant de réserve.
En 1994 j'obtiens mon permis de conduire les camions et, le 21 décembre 1995, mon diplôme de docteur en Philosophie et Lettres, de l'Université catholique de Louvain.
Le 1er avril 1996, ayant publié un nombre significatif de romans, j'entreprends de vivre de mon écriture. Je publie régulièrement mes romans aux éditions du Cri, chez Christian Lutz ; puis au Castor Astral, avec Francis Dannemark ; et plus tard aux éditions Mijade, sous le regard attentif de Muriel Molhand.
Durant l'année 1999, je parcours la Belgique avec Marina Cox pour en dessiner l'état des lieux : les photographies de Marina et mes textes paraissent chaque lundi de l'année dans La Libre Belgique (et seront compilés dans un livre en 2002 : La Belgique se raconte des histoires).
Le jour de Noël de l'an 2000, j'intègre la jolie vieille maison que j'ai acquise quelques mois plus tôt, dans une rue villageoise de Chaumont-Gistoux. C'est de là que j'écris ces lignes.
Le 4 décembre 2002, le roman La belle étoile obtient le prix Rossel. Quelques semaines plus tard je m'aligne, aux élections fédérales, sur la liste Ecolo du sénat. Et j'achète une tronçonneuse pour prendre soin des arbres de mon jardin.
En automne 2003, lors des célèbres Fêtes de la Saint-Martin, à Tourinnes-la-Grosse, le spectacle collectif Saint Martin des Tours, dont je suis l'auteur, est représenté dans la vénérable église romane. C'est le début d'une belle histoire qui durera des années.
En mai 2004, j'entame une collaboration avec le magazine Gael, épaulé par la confiance et l'amitié de Mireille Martens.
Du 5 février 2005 au 28 juin 2007, je rédige une chronique hebdomadaire dans les colonnes du journal Le Soir.
J'écris d'autres romans.
Depuis lors tout continue d'aller bien. Je me suis marié le 1er août 2009.
En 2010, par la grâce de Brigitte Lannaud, les éditions Robert Laffont publient Une belle histoire d'amour qui finit bien.
Je suis bien content.
J'ai à ce jour publié une trentaine de livres ainsi que de nombreux textes dans la presse ou des ouvrages collectifs. J'ai écrit plusieurs pièces de théâtre, j'anime des ateliers d'écriture. Les arts plastiques me passionnent, et mes textes accompagnent régulièrement les travaux de photographes et de peintres. "
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