Ako Shimaki

Franchement, je regrette de l'avoir lu au vu de la fin, c'était très décevant,Spoiler(cliquez pour révéler) faire de cette histoire une évidence pour finir par obtenir ce résultat, bref, ça me servira de leçon,je ferais attention aux thèmes la prochaine fois.

Dame Yoshiko rejetée par l'élu de son cœur succombe finalement dans les bras de Gohei un jeune apprenti, et alors qu'elle commence à s'attacher à celui-ci, elle surprend un baiser entre Masatsura et Masajirô faisant ressurgir le souvenir de toutes ces vies intérieures.

Dans le présent, la relation entre Nogi et Renjô a pris une drôle de tournure, même si celui-ci comme à son habitude ne compte pas abandonner et veut tout faire pour éclipser Murofushi qui elle continue à se donner sincèrement à fond pour son travail malgré son cœur brisé.

Passé et présent continue à se mêler avec l'apparition d'un nouveau personnage réincarné lui aussi avec ses propres objectifs. Un tome toujours aussi, vivement la suite.

Attention, OVNI ! Made in heaven m'a titillée dès que je l'ai aperçu dans un petit fascicule glissé entre les pages d'un autre manga que je m'étais procurée chez les éditions Akata. C'est l'idée complètement farfelue du scénario qui m'a convaincue de me lancer dans cette série toujours en cours au Japon, alors que, habituellement, j'attends qu'une série soit terminée au moins dans son pays d'origine avant de me lancer dans sa collection pour ne pas risquer de rester sur ma faim face à un éditeur peu scrupuleux qui aurait décider de stopper ses publications… J'en lis depuis plusieurs années maintenant mais j'avais abandonné quelque peu les mangas car le marché était saturé de séries peu originales et qui tendaient à se ressembler beaucoup ; il était difficile pour moi d'y trouver mon compte, alors que je devenais de plus en plus difficile et que je cherchais de l'originalité et donc, une aiguille dans une botte de foin. Puis, un jour, les éditions Akata ont pointé le bout de leur nez sur le marché du manga et répétaient à qui mieux mieux (ouh là, j'avais oublié que cette expression existait !) que les séries qu'ils publiaient étaient mieux que la plupart de celles qu'on trouvait en magasin, qu'elles étaient bien plus originales et de bien meilleure qualité. Et bien je dis oui ! Akata excelle dans le dénichage de séries hors norme, que ce soit dans le genre shojo, seinen, ou le genre feel good qu'ils ont eux-mêmes lancé avec quelques titres déjà parus. Avec Made in heaven, je n'attendais pas moins de la part des éditions Akata qu'une bonne dose de WTF, des personnages bizarres et un scénario complètement farfelu mais tout aussi bien ficelé.

Dès les premières pages, le lecteur est plongé dans les coulisses de la fabrication d'un manga et la mise en abîme est maline et appréciable. D'ailleurs, j'ai même appris des choses sur le travail de dessinateur de mangas. La mangaka a fait l'effort de soigner ses traits et de les différencier lorsqu'il s'agissait des planches que dessine le personnage principal, des flashbacks de sa vie antérieure ou du manga-même Made in heaven. La lecture qu'on en fait se passe à différents étages et le manga en est d'autant plus riche et intelligent. Tous les éléments de l'intrigue temporelle s'imbriquent de façon astucieuse sans même nous perdre une seule seconde.

Les aventures que vit, ou plutôt subit parfois bien malgré lui notre héros Atsurô Nogi ne manquent jamais d'imagination. Par un certain concours de circonstances plutôt rusé, une blonde à forte poitrine sera mise sur son chemin ; elle aguichera autant le protagoniste que le lecteur. Made in heaven n'est sans aucun doute pas à mettre entre toutes les mains mais il n'est pas pornographique pour autant. Les quelques scènes et cases sexy ne sont pas si inutiles que ça et elles transmettront au lecteur toute la maladresse et l'excitation à la fois d'un moine chaste et d'un mangaka puceau, la vie antérieure du premier ayant des conséquences lourdes dans la vie moderne du second. L'homosexualité du meilleur ami de Atsurô ne manquera pas non plus d'apporter son lot de malentendus, d'humour et de sous-entendus au récit et on trépigne à l'idée de rencontrer à nouveau plus tard ce personnage prénommé Akira Renjô. Je ne doute alors pas une seule seconde que l'auteure nous parlera dans les prochains tomes de son triangle amoureux fêlé, sans limite, sans aucun tabou, au vue des premiers chapitres que contient ce premier tome irrésistible.

J'accorde 9/10 à Made in heaven, tome 1. Made in heaven est LA série déjantée de 2018 par excellence ! Et, justement, Akata excelle dans la publication de séries hors du commun, mais des séries qui sont malheureusement bien trop discrètes en magasin alors qu'elles méritent un succès fou tellement elles sont réussies et génialissimes. Pour public averti ou petit otaku voyeur amateur de grosses poitrines, Made in heaven ose et nous fait rire avec son scénario farfelu mais complètement efficace et ses personnages débridés et caricaturés avec beaucoup d'humour. Décidément, le pays du soleil levant est parfois bien frappé mais, à l'autre bout de la planète, dans le second pays consommateur de BD japonaises, c'est comme ça qu'on l'aime !

Bien décidé à arriver à ses fins Akira échafaude un nouveau plan pour évincer définitivement Kanade. Et pour cela, il va faire appel au passé, de son côté Nogi doute de plus en plus de sa pseudo-relation.

Un tome sous haute tension pour Akira qui tente le tout pour le tout.

Kanade se retrouve face à l'extravagante déclaration de Nogi. Et alors qu'elle commence à se poser des questions sur ce qu'elle ressent vraiment et ces attentes. Les choses prennent une tournure inattendue pour la jeune femme.

Kanade devient l'héroïne de ce tome, et après de nombreuses réincarnations la chance semble enfin lui sourire. Mais ces sentiments sont-ils toujours les mêmes ?!

Euh...sans intérêt !! XD

C'est décousu, complètement cucul la praline, tout tombe du néant, l'héroïne a le QI d'une huître...et ça plaît au héros apparemment ! Oo ... XD

Un manga vide qui heureusement se lit vite...pour partir encore plus vite vers d'autres horizons !

Je comptend pourquoi je l'ai trouvé en boîte aux livres. Il va y retourner dare-dare ! :P

Alors que tout semblait enfin aller pour le mieux pour lui, Nogi fait une effroyable découverte qui va bousculer toutes ces croyances.

Un dernier tome complètement WTF , l'auteur nous auras bien mené par le bout du nez.

Dernier tome très triste et très touchant. C'est une belle fin à cette série.

Et c'est très émouvant...

Une petite larme ?!

Grosse déception sur cette saga.

Je n'ai lu que le premier tome et je ne lirai pas la suite. Les dessins ne sont pas très jolis, et l'histoire manque cruellement de sens. Je me suis retrouvée plusieurs fois perdue face aux incohérences et aux changements de sujets Imprévisibile.

Je ne recommande pas ce manga.

☼ Mon avis ☼

Les Éditions Akata aiment étendre leur label WTF et nous fournir tous les titres uniques et fous, pour le plus grand plaisir de ceux qui aiment le style.

Personnellement, c'est tout à fait mon cas, et j'ai eu le plaisir de découvrir "Magical Girls of The End", "Gereksiz", et encore plus récemment, "Teenage Renaissance".

Aujourd'hui, j'invite tout le monde à venir découvrir mon ressenti sur le premier tome de "Made in Heaven" ou encore une fois je n'ai pas été déçue par ma lecture !

J'avais beaucoup d'apriori sur le sujet abordé, qui est de présenter des dessinateurs amateurs qui tentent de percer avec leurs bandes dessinées.

C'est un thème très large, et on le retrouve dans les mangas "Bakuman", "Love Baka" ou encore "Hitman".

Enfin, Akata nous livre un récit original qui met en lumière Atsurô Nogi et son histoire farfelue autour de la relation d'Eiken avec une jeune femme aux seins énormes.

Oui, ce titre regorge de scènes plutôt gênantes tant pour le lecteur que pour les personnages mais j'ai adoré les séquences !

Les différentes situations dans lesquelles se retrouvent les personnages sont souvent très amusantes. J'aime l'évolution du personnage et son désir d'améliorer sa façon de dessiner, même si c'est un vrai défi étant donné qu'il est vierge.

Quand j'ai ouvert le livre, j'ai senti qu'il était déjà très doué, j'ai vraiment vu le décalage entre le début et le livre suivant, et il y avait encore beaucoup de lacunes à corriger.

C'est une des raisons pour lesquelles j'aime cette BD, car au lieu de prendre mal ce qu'on lui dit, il est motivé à vivre vraiment ses séquences pour mieux comprendre à comment les dessiner.

Cela lui a permis d'améliorer certains détails qui semblaient banals mais qui font une énorme différence une fois modifiée.

Franchement, même si son histoire tourne un peu en rond, son application au travail compte beaucoup pour moi.

Mais ce n'est pas tout, j'aime aussi la façon dont le dessinateur alterne raconter l'histoire du jeune dessinateur et sa vie.

J'aime aussi beaucoup son choix de mettre en avant le meilleur ami qui aime le personnage.

Dans l'ensemble, ce livre nous propose de suivre les coulisses d'une bande dessinée complètement folle avec des personnages inhabituels et qui ont un grand sens de l'humour grâce à leurs penchants.

Made in Heaven est titre frais très extravagant qui m'a beaucoup plu.

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Couverture : 1,5/2 points

Histoire : 3/4 points

Originalité : 2/2 points

Personnages : 1,5/2 points

Dessins : 1,5/2 points

Dialogue : 1/1 point

Fautes d'impressions : 1/1 point

Utilisation des trames : 0,5/1 point

Mon ressenti : 3/5 points