Béatrix Beck
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Note moyenne : 7.6/10Nombre d'évaluations : 10
0 Citations 6 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
C'est peut-être un peu daté, mais à l'époque où je l'ai lue j'avais été touchée par l'amour de Barny pour un jeune prêtre. ... Bon, je viens de le refeuilleter, et effectivement ça a vieilli ! Mais les relations doucement ironiques entre ces deux-là ne sont pas inintéressantes !
Afficher en entierJe l'ai lu il y a quelques années ... il ne m'a pas franchement intéressé. L'histoire ne m'a pas marqué et mis à part le titre : j'ai tout oublié.
Afficher en entierLu il y a tellement longtemps ! Je me souviens pas de grand chose. Agréable à lire mais sans plus.
Afficher en entierSurprenant est le mot qui me vient à l'esprit quand je pense à ce livre. Le trouvant par hasard sur une étagère tout poussiéreux je le prit en pensant que je n'allais pas le terminer mais grande surprise quand je commença à le lire me trouvant plongé dans le monde de Barny. Ce livre raconte une histoire d'amour, l'incroyable histoire d'amour entre une non-croyante, un prêtre et Dieu. Je fus touchée par la grâce de se livre comme Barny avec Dieu. Un bon livre pour nous donner l'envie de croire.
Afficher en entierJ'ai eu envie de lire ce livre suite au visionnage de la bande annonce du film La Confession, qui sort cette année et qui est basé sur ce livre. Autant le film en lui même ne m'a pas attiré, autant l'histoire m'a vraiment intriguée et quand j'ai vu qu'elle était inspirée d'un livre, un livre ayant obtenu le prix Goncourt de surcroit, j'ai absolument voulu le lire. Je dois dire que j'ai bien fait, je l'ai lu très rapidement et j'ai vraiment aimé. Ce que j'ai préféré incontestablement dans ce roman, ce sont l'écriture et les personnages. J'ai eu un peu de mal au début car on tombe vraiment en plein milieu de l'histoire (peut être est ce dû au fait que ce livre s'inscrit dans une série plus large de romans d'inspiration autobiographique, ce que j'ai appris ensuite), mais l'écriture est vraiment très prenante et pleine d'humour subtil. J'ai adoré tous les personnages, j'ai aimé les personnages principaux mais également les collègues de Barny, sa fille,... Le contexte est vraiment intéressant, la guerre est décrite d'un point de vue différent de celui qu'on trouve habituellement dans les livres. J'ai aimé toute la réflexion menée sur la religion dans le roman, Spoiler(cliquez pour révéler)le fait que Barny se sente obligée de croire, qu'elle devienne une pratiquante modèle malgré sa réticence du début. J'ai trouvé extrêmement intéressant ce paradoxe, comprendre son raisonnement, comprendre la lutte intérieure qui se joue en elle, exacerbée par son attirance pour le prêtre et par l'urgence de sa situation durant la guerre. Très loin de me convaincre d'un point de vue religieux cependant Spoiler(cliquez pour révéler)(je suis loin d'opérer le virage que Barny a opéré), j'ai vraiment apprécié cette lecture.
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Dédicaces de Béatrix Beck
et autres évènements
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Editeurs
Grasset : 10 livres
Gallimard : 5 livres
LGF - Le Livre de Poche : 5 livres
L'Ecole des loisirs : 2 livres
Editions du Chemin de Fer : 2 livres
France Loisirs : 2 livres
Le Sagittaire : 1 livre
Biographie
Béatrix Beck est née en Suisse le 30 juillet 1914 d'un père belge d'origine mi-lettonne/mi-italienne et d'une mère irlandaise. Elle a grandi en France. Ayant obtenu une licence en droit, elle devient communiste. Mariée en 1936 avec un Juif apatride, Naum Szapiro, elle perd son mari à la guerre et, veuve avec une petite fille, elle fait des petits boulots pour gagner sa vie (elle a posé dans une école de dessin). Elle publie en 1948 son premier roman, Barny, à la suite duquel André Gide l'engage comme secrétaire. Gide meurt en 1951, mais grâce à Une mort irrégulière (1950) et Léon Morin, prêtre (1952, prix Goncourt) elle peut s'acheter un appartement dans le même immeuble que Sartre. Elle est naturalisée française en 1955. Suivent encore quelques romans, puis elle part pour les États-Unis (1966), où elle est professeur à Berkeley, en Virginie, à Université Laval dans la ville de Québec au Canada, à Université de Sherbrooke, ville du Québec, et à l'université Laurentienne à Sudbury en Ontario. Ce n'est que de retour en France, en 1977, qu'elle se remet à publier des romans, entre autres Noli, sur la vie universitaire au Canada. Sans identifier le pays de froid où se situe l'action, Beck parle de son amour impossible pour une jeune étudiante québécoise, et, toujours en employant des pseudonymes, elle évoque la relation sentimentale tumultueuse de la romancière Anne Hébert et de Jeanne Lapointe, professeur de littérature à l'Université Laval. Mais c'est avec La Décharge qu'elle gagne une nouvelle renommée et le prix du Livre Inter.
En 2006 et 2009, une adaptation pour le Théâtre d'un choix de ses textes par Virginie Lacroix (sous le titre L'Épouvante, l'émerveillement) est montée par la compagnie Hybride, scénographie Sellig Nossam.
Sa fille, Bernadette Szapiro, peintre et écrivain (La Première Ligne), a épousé Jean-Edern Hallier. Sa petite fille, fille de J.E.Hallier, est l'écrivain Béatrice Szapiro ( La Fille Naturelle, Les Morts Debout Dans le Roc...)
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