Christine Orban
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Note moyenne : 6.61/10Nombre d'évaluations : 54
0 Citations 32 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
J'ai reçu ce livre dans un box et il a longtemps trainé dans ma PAL. Honnêtement, je comprends pourquoi, ce n'est pas du tout mon style de livre, et du coup je n'ai pas trop aimé. Je ne suis rentrée dans aucune histoire et les j'ai souvent trouvé les chutes décevantes.
Je pense que les amateurs de Polars aimeront sans doute plus que moi.
Afficher en entierLa quatrième de couverture de ce roman est très mystérieuse puisqu’elle se résume à ces quelques mots de l’auteure : « Je voulais raconter l’histoire d’une attirance irrésistible. Raconter l’échec de la morale confrontée au désir. Raconter un amour déplacé. » C’est pourquoi, je vous ai également repris le résumé du livre qui vous en dit un peu plus, sans pour autant vous en dévoiler tous les rouages de l’histoire.
Les premières pages du livre laissent la place à l’imagination du lecteur : sur le physique des personnages, sur les lieux où ils se trouvent,… Et puis, petit à petit, grâce aux lettres que l’héroïne principale a retrouvées, l’histoire se déroule comme une bobine de fil avec un retour dans le passé, plus de 20 ans en arrière.
On y fait la connaissance de Tina, une jeune fille de 17 ans qui termine doucement ses années de lycée et qui vit une relation amoureuse avec Marco, un garçon rebelle de son âge. Le tournant de ce récit se fera par la rencontre de Tina avec Simon, le père de Marco, un quinquagénaire séduisant mais qui a un peu perdu le goût de la vie.
En plus des lettres en possession de Tina, son journal intime éclaire le lecteur sur ce triangle amoureux dont la bienséance y verrait un opprobre. Pourtant, l’auteure ne tombe jamais dans le pervers. Ce livre est doté d’un style d’écriture élégant et intriguant et je n’ai pu m’empêcher de souhaiter poursuivre ma lecture pour en découvrir en quelque sorte le choix de l’heureux élu. Il est assez aisé de se mettre dans la peau des personnages et de se demander comment nous, nous aurions réagi à ces dilemmes amoureux.
Avec ce roman sur l’amour avant tout, l’auteure, Christine Orban, nous fait comprendre qu’il peut prendre de multiples formes différentes, autant qu’il y a de protagonistes dans l’équation.
C’était la première fois que je lisais un livre de Christine Orban mais ça ne sera sûrement pas la dernière. Je remercie Sarah Altenloh pour sa confiance et la maison d’édition Albin Michel pour l’envoi de ce roman à la fois tendre, mélancolique et pourtant si puissant.
Afficher en entierJ'aime quand l'amour transgresse les règles, dépasse les bornes, renverse les codes, fait taire le politiquement correct et frise la perfection.
C'est cela que j'ai pressenti en lisant la quatrième de couverture et qui m'a fait craquer en ajoutant cet énième livre sur ma pile aussi haute que la Tour de Babel.
La première partie du livre m'a enivrée, chamboulée, poussée dans mes retranchements, dans ces zones secrètes de mes réflexions que je garde précieusement pour moi.
J'ai aimé être témoin de cet amour bouleversant qui fait fi des âges, des principes moraux et du qu'en dira-t-on.
La suite de la lecture a été aussi belle mais plus douloureuse. Pourquoi les nuages sont-il obligés de venir obscurcir le paradis des amoureux ? Pourquoi la jalousie, l'envie, le sentiment de trahison viennent-ils ternir les délicieux jours d'un amour naissant ? Pourquoi le manque de confiance en soi vient troubler les plus douces émotions au plus profond de nous-mêmes ?
Pourquoi avons-nous de la peine à croire que nous pouvons être aimé pour ce que l'on est ?
Christine Orban, dont c'était ma première lecture, a le style d'écriture que j'aime : Phrases courtes et percutantes qui révèlent les émotions, les transcendent, empêchant le lecteur de tourner en rond et de rester extérieur à l'histoire.
J'ai dévoré ce livre. Avec avidité.
Passionnée par les parallèles d'histoires qui me sont proches.
Est-ce que tu danses la nuit ? Moi oui, et puis je rêve aussi...
Afficher en entierJ'ai beaucoup apprécié la plume de l'autrice qui ma donné envie de lire d'autres de ses oeuvres. Un roman touchant et sincère. Le personnage principal est loin d'avoir un caractère qui me plaît mais la justesse de l'écriture de son passé et de ses émotions permettent d'en saisir la complexité. Enfin, comprendre que le récit est autobiographique rapproche de l'auteure qui a su se libérer.
Afficher en entierJ'ai bien aimé découvrir Marie-Antoinette sous une vue un peut plus personnel. Ce récit retrace la base, m'a également fait découvrir certaines choses. Il faut savoir que c'est un peut romancé, donc le coté documentaire est très assouplit par l'interprétation de l'auteur. Cela n'est pas dérangeant et donne envie de creuser beaucoup plus profondément cette partie de l'histoire.
Afficher en entierJe n'aime pas dire du mal d'un livre mais celui-là est vraiment trop mauvais.
C'est rare une histoire aussi nulle !
Afficher en entier« Est-ce que tu dansais la nuit … » c’est la question lancinante que se pose Simon, un quinquagénaire, amoureux de Tina, une jeune fille d’à peine vingt ans. Parce que les jeunes, ça sort, ça danse…et ça n’attend pas sagement son vieil amoureux et c’est comme ça.
Au moment où Simon commence à comprendre que Tina peut avoir une vie en dehors de lui, celle à laquelle tout jeune aspire, Simon devient inquiet voire harcelant et la relation avec Tina s’altère et s'arrête.
L’autrice, tombée sur un fait divers, nous relate comment Tina, jeune amoureuse de Marco, deviendra celle de son père Simon et la tension perpétuelle entre ses deux amours. Marco, celle dont elle doit rompre mais à qui elle ne signifie pas clairement la rupture, entretenant de fait, un doute malsain. Simon, pour qui le cœur bat, mais avec qui elle fonce droit vers une voie sans issue car leur relation l’est, soumise aux jugements conventionnels des autres. En effet, il pourrait être son père et que se passerait-il si Marco l’apprenait ? Que se passerait-il si Simon apprenait qu’il existe encore un lien entre elle et Marco ?
Tina avait oublié cette histoire, heureuse de convoler avec son mari vers le Péloponnèse, pour leurs vingt ans de mariage. Mais dans la voiture, elle emporte un tas de lettres entre elle et Simon et son journal, donnés par Viola, la gouvernante, emmitouflés dans un torchon. Tina lit tout ça et se remémore cette histoire et les sentiments contradictoires qui l’assaillaient, ainsi ceux de Marco et de Simon ou qu’elles prêtent à Simon, d’après les lettres qu’elle découvre. La fin, c’est le retour de Tina vers sa mère pour la remercier de l’avoir aidée à se détacher de Simon et de Marco.
C’est beau, pudique, ambivalent et pose la question du double amour et de l’amour d’une personne bien plus âgée que soi et de leurs limites.
Afficher en entierUne jeune femme mariée et maman retrouve une lettre de son ancien amant qu'elle avait mise de côté 10 ans avant. On apprend au bout de 180 pages ce que contenait cette lettre. Entre temps, des interrogations, des digressions... c'est long c'est plat...
Afficher en entierL'histoire de la sœur de Blaise Pascal, aussi douée en poésie qu'il l'était en sciences. Et comment elle s'est laissée éteindre. Un style qui m'a laissée sur ma faim. Une biographie qui sert de témoignage à l'abnégation et à la soumission des femmes.
Afficher en entierRoman sur Blaise Pascal et sa famille, surtout sa petite sœur.
Pas mal de partis pris, écriture bien faite mais rythme étrange. On apprend beaucoup mais pas de réel attachement aux personnages.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Christine Orban
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Albin Michel : 16 livres
LGF - Le Livre de Poche : 4 livres
Pocket : 2 livres
Grasset : 1 livre
VSD : 1 livre
Libretto : 1 livre
Le Livre de Poche : 1 livre
Mercure de France : 1 livre
Biographie
Ecrivain française
[Littérature française]
Née le 03 octobre 1954
Elevée au Maroc, à Casablanca, Christine Orban fait des études de droit pour devenir notaire comme le souhaitait son père mais la jeune femme se sent irrésistiblement attirée par la littérature. Elle publie son premier roman en 1986, 'Les petites filles ne meurent jamais', sous le nom de Christine Rheims. Si plusieurs suivent, les plus connus restent 'L' Ame soeur', 'J' étais l'origine du monde', 'Fringues' et 'Mélancolie du dimanche' ou 'Petites phrases pour traverser la vie en cas de tempête... et par beau temps aussi', paru chez Albin Michel en 2007. L'auteur y distille les thèmes de l'amour, du désir et de la psychologie féminine avec succès.
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