Thomas Gunzig

J'avoue être passé à côté de ce bouquin. Les personnages sont si caricaturaux qu'il est impossible de s'y identifier ou de s'y attacher, les rebondissements sont sans queue ni tête, les intentions sont trop décrites et balancés à la tête du lecteur. Le style n'est pas mauvais, mais l'ensemble m'est tombé des mains.

Lu il y a quelques temps déjà. Je me souviens l'avoir adoré. C'est tordu et drôle et cela m'a donné envie de lire d'autres ouvrages de l'auteur.

Cela me fait penser à des chroniques, rapide, sans frioritures, piquant et drôle. Un bon moment

J’ai adoré la première partie et le personnage d’Alice. En revanche Tom… l’histoire est un peu incohérente et surtout répétitive mais le thème est original et plutôt intéressant. L’écriture est fluide dans l’ensemble mais il y a trop de listings et j’ai passé certains passages (beaucoup vers la fin). En somme c’est un roman dans la moyenne.

Un petit bijou d'écriture même si j'ai eu un peu dur de rentrer dans l'histoire. Celle-ci ne casse pas vraiment la baraque mais franchement l'écriture vaut la peine.

Je n'ai vraiment pas apprécié ce recueil. Les personnages sont sans intérêt et en plus sexistes pour la plupart. J'attendais de l'humour vu le résumé mais il n'y en avait pas. Juste des personnages pathétiques qui essayent de faire croire que leurs pulsions destructrices sont normales.

Je déconseille.

Pris sur l'étagère "coup de coeur" de la médiathèque. Intéressant. L'idée est originale et le style est plaisant mais j'aurais aimé que ça aille plus loin dans l'aspect science fiction.

Original, l’expression "tout juste" défini parfaitement le personnage d'Alice et la fin est parfaite pour elle. Une bonne lecture digne de son titre idéal en vacance.

Chaque membre de cette famille, déchirée au fil des ans, incarne une facette de l’humain en huit clos et nous interroge sur la valeur d’une vie dans son essence. Au cœur de cette dystopie, nulle échappatoire. Le temps défile et tout ce qu’il y a sur cette île assure une mort de vieillesse pour les quatre personnages.

Mais pourquoi vivre quand nous n’avons plus à travailler, à faire de courses, à entretenir des relations ? Enclavés dans une spirale psychologique infernale, les personnages entretiennent un cercle vicieux de haine aveuglante réciproque. Il n’y a ni entraide, ni ennemi commun à vaincre. Seulement des livres et des films par centaines de milliers pour s’occuper. La richesse et la stratégie les ont conduits à cette situation, les condamnant en un sens à vivre dans un monde où « il n’y aurait plus jamais d’albums en général. Plus personne ne ferait de musique. Ni de nouveaux films, ni de nouveaux romans, ni de nouvelles peintures. »

La suite de ma chronique sur https://www.atelierceryse.com/2023/12/02/rocky-le-dernier-rivage-un-roman-sur-la-vie-apres-la-fin-du-monde/

Un roman, qui révèle un message primordiale sur la vie.

De l'importance de s'harmoniser à la nature ! Que grâce à elle nous nous sentons vivants !

Cette ouvrage à une importante composition du détail.

Un livre qui ne laisse pas indifférent. Je n 'ai pas du tout aimé la cruauté, la violence gratuite.