Sarah Maeght

J'ai bien aimé le début du roman mais plus j’avançais dans l'histoire et plus tout me semblait confus.

C'est la belle couverture qui m'a attiré et aussi la préface de Katherine Pancol .

C'est un roman léger , frais sur la vie d'une jeune prof de français vivant à Paris depuis peu.

On suit ses amours, ses joies , ses déboires.

L'histoire agréable se lit d'une traite mais je n'ai pas réussi à m'attacher à Ella. Il m'a manqué un petit quelque chose.

Mais je continuerai à suivre cet auteur qui je pense n'est qu'au début de sa carrière !

J’ai été attiré par la couverture qui donne envie d’évasion. Au début l’histoire commence bien Ella se sépare de son copain elle veut rester vivre à Paris.

Mais je me rend compte que l’histoire est remplie de dialogues on se demande où l’auteure veut en venir. Je n’ai pas aimé le style ni l’écriture je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages pas d’émotions. Je me suis ennuyé.

C’est où le Nord ? De Sarah Maeght. Un petit roman feel good qui raconte l’histoire d’une jeune prof de français et ses histoires d’amour et d’amitié. Distrayant

Je termine cette lecture sous une pluie de questionnement. En effet, l’histoire est riche d’interrogation sur l’amour, l’orientation sexuelle, le métier de professeur et la religion. J’ai beaucoup apprécié l’héroïne au début, sauf que par la suite cela s’est essoufflé ; par manque de caractère de sa part. Elle est, petit à petit, ennuyante. Le reste des personnages ne m’a pas charmé, ils sont dérangés ; donnant juste de l’humour au roman. « C’est où, le nord ? » narre le chemin d’une jeune femme, en abordant différents thèmes. Un récit sur la découverte de soi et certaines prises de conscience. Cependant, les péripéties partent un peu dans tous les sens, difficile, donc, de se concentrer sur une seule aventure à la fois ; bien sûr, c’est court avec un développement minimal.

À 24 ans, Ella est professeur de français dans un collège, en couple depuis plusieurs années. Elle habite dans un appartement à Paris, avec leur poisson rouge, Klaus. C’est une protagoniste intéressante durant la moitié de l’œuvre, ensuite ; on se détache légèrement d’elle pour plusieurs raisons. Elle ne sait pas vraiment ce qu’elle veut, elle se plaint souvent et dit toujours « oui » dans ses relations ; qu’elles soient amicales ou amoureuses. Je me suis, toutefois, attachée à cette héroïne, le fait est qu’on peut facilement se mettre à sa place et se retrouver dans le même genre de situation qu’elle.

Une histoire pas comme les autres, là est le positif de cet ouvrage. Ella doit construire sa vie, passer par des épreuves et apprendre à se connaître. À côté de ça, on découvre différents personnages. Un peu extravagant pour la plupart. Mais, ils ne me semblent pas vraiment importants, juste « là » pour offrir un « plus » au récit. Je n’ai pas trouvé ou ressenti d’émotion à travers les pages de cette synopsis, bien qu’elle soit comme un journal d’apprentissage. Je considère ce genre de roman, comme du développement personnel, avec une touche contemporaine et humoristique. C’est divertissant plus qu’émouvant. Je reproche principalement une structure désordonnée, par la succession de péripéties déconcertantes et sans fondement.

C’est le seul livre de Sarah Maeght, personnellement, je suis mitigée en ce qui concerne son style d’écriture. C’est trop dynamique, rien ne laisse place aux sentiments. Cependant, ses phrases ironiques, ses piques drôles, ses expressions portant à réflexion ; c’est ce que je retiens de sa plume. Cette dernière n’est pas magnifique, elle est juste très fluide et pleine de clins d’œil à la culture française.

« C’est où, le nord ? », déjà ; je ne trouve pas vraiment de sens entre l’histoire et le titre, sauf peut-être que l’héroïne est originaire de Dunkerque et qu’elle s’est installée plus au Sud, à Paris. J’ai passé un bon moment avec Ella, certes, elle est agaçante sur la fin et même si je me suis sentie parfois proche d’elle ; sa personnalité manque de vigueur. C’est un court roman abordant le quotidien d’une jeune adulte, les hauts et les bas, les doutes et les espoirs. La plume de Sarah Maeght ne possède pas d’étincelle, les dialogues énergiques et parfois sans queue ni tête expédient fortement la sensibilité des thèmes. Une histoire originale, surprenante ; tout en étant quelquefois, absurde et où on ne se plonge pas réellement dans les événements.

https://lesfaceslitteraires.blogspot.com/2020/06/cest-ou-le-nord.html

Je n'ai pas trop accroché à l'histoire de ce livre. On suit une année d'une professeure des collèges de français qui se voit offrir des santons mutilés, un suicide d'un enseignant et, par-dessus tout, la vie sexuelle de cette prof. Bref, je n'ai pas vraiment aimé malgré les retours que j'avais publire en dernier de couverture.

Basile, 9 ans et Victoire, 23 ans, qui fait du baby sitting à côté de ses études.

C’est une lecture pleine de tendresse, qui m’a touchée... Les deux personnages sont terriblement attachants, notamment Basile qui est autiste. Ce petit n’a pas la mère idéale, ce qui ne lui rend pas la vie des plus facile.... Mais heureusement qu’il a croisé le chemin de Victoire, qui vas tout faire pour rendre le quotidien de ce petit, meilleur.

Les sujets abordés sont pertinents mais tout est en subtilité. J’ai aimé le fait que l’auteur ne se positionne pas, mais qu’elle sème des graines de réflexion... La différence est un sujet qui me touche, je trouve qu’il a été traité avec brio.

J’aurai pu avoir un coup de coeur pour ce roman que j’ai dévoré, mais il m’a manqué un petit truc, notamment à la fin. Peut être qu’inconsciemment, j’attendais autre chose pour terminer cette belle histoire ... Mais ça ne change en rien la beauté du récit que j’ai vraiment adoré.

Merci aux éditions @editionsjclattes pour l’envoi de ce roman. ❤️

Mon premier gros coup de cœur de 2022.

Je ne saurai décrire toutes les émotions qui me sont passées par la tête durant cette lecture.

Les personnages principaux, Basile et Victoire sont attachant au plus haut point, les personnages secondaires tel que Allison ou Adam le sont tout autant.

J'ai adoré le lien qui unit nos deux protagonistes, leur amour est si fort, elle comprends et sait gérer Basile, d'une main de maitre.

Nous les suivons ici sur quelques jours, après un petit contretemps empêchant Basile de se rendre avec toute sa classe à la maison de Jacques Prévert, mais c'est sans compter l'amour de Victoire pour ce petit bonhomme et l'amitié qui unit Allison et Victoire que notre "Basilou" va pouvoir enfin vivre son rêve.

Une pépite du début à la fin, de très grosses émotions au fil des pages, j'ai adoré.

Vous pouvez vous lancer dans cette histoire pleine d'amour et de tendresse les yeux fermés.

A lire absolument

Une histoire envoutante passionnante actuelle, avec une touche de LGBT

C'est un roman "feel good". On suit Ella, jeune prof de français, dans sa vie quotidienne, avec ses relations, son travail et ses questionnements. En quelque sorte, je dirais qu'on chemine avec elle dans le questionnement de nos choix de vie: vivre à Paris ou à Dunkerque, continuer à enseigner ou arrêter, rester en couple ou tout plaquer pour rester fidèle à ce qu'on veut. J'ai bien aimé ce livre à la plume facile à lire. J'aurais cependant aimé que certains aspects, notamment son questionnement Spoiler(cliquez pour révéler)sur son orientation sexuelle, soient plus développés pour voir une plus grande évolution dans son personnage.