Olivier Adam
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Note moyenne : 6.85/10Nombre d'évaluations : 853
0 Citations 489 Commentaires sur ses livres
Interview
Les derniers commentaires sur ses livres
Le thème m'a vraiment mise mal à l'aise et m'as marqué (dans le mauvais sens) plus que je ne l'aurais souhaité :(
Afficher en entierce livre n'est pas vraiment mon livre le type thriller mais l'écriture est assez bien faites pour les passionnés et l'amour frère et sœur vraiment émouvante
Afficher en entierQuoi de mieux que de commencer l'année avec mon auteur préféré et cette histoire sublime, venant compléter ces quatre volumes liés aux éléments naturels. Ici, nous avons le faut et un personnage principal attachant, brisé, torturé par ses rêves et ce qu'ils lui révèlent.
C'est une histoire d'amour, un Amour comme ceux que nous pouvons avoir avec l'intensité d'une jeunesse perdue, d'une innocence envolée. Sur les côtes bretonnes, deux adolescents s'aiment jusqu'à dépasser certaines limites voulues par la vie.
Un récit poignant, attachant, intense et émouvant. A lire absolument !
Afficher en entierDessous les roses est un livre qui nous plonge dans un huis clos familiale lors du décès du père de famille. Interrogeant les relations sociales, remettant en question l'éducation et les visions des membres de la famille, Olivier Adam nous entraîne là où il le souhaite pour nous offrir une certaine remise en question via une succession de règlements de compte.
Afficher en entierUne très belle découverte qui ne m'as pas laissé indifférente une seule seconde.
Les premières lignes sont dures, pleines de tristesse et de détresse. Antoine fait face à la perte, au deuil mais aussi à ses questionnements et son incompréhension face à tout ça. Comment vivre avec les "et si" ? Comment vivre quand le regret est présent ? C'est vraiment le point central de l'histoire. Antoine se perd dans sa tête, dans ses souvenirs mais doit également être auprès de son frère. Il a des responsabilités à tenir. Mais ce qui l'aide à gérer les choses, c'est Léa. Cette jeune fille qui est sa lumière dans ses ténèbres. Antoine est un personnage attachant, qui dans ses réflexions, nous entraîne avec lui. Léa, quant à elle, je l'ai moyennement aimé. Je n'ai pas aimé certaines de ses réactions et sa façon d'être.
Je dois dire que j'ai moyennement compris et aimé la fin. J'étais choquée, triste et dans l'incompréhension. En tout cas, ce livre mérite que l'on s'attarde dessus pour toutes ses questions, ses remises en questions, ses thèmes abordés et les points de vues d'Antoine.
Afficher en entierOlivier Adam signe de nouveau un roman adolescent hyper poignant !
Tout au long de cette histoire, on s'attache énormément à Antoine qui est un garçon plein de gentillesse, de fragilités et qui fait face à de nombreuses problématiques de son âge. Protecteur envers son frère autiste et compréhensif envers sa mère qui les élève seule, il tente de se reconstruire après des évènements quelque peu traumatisants. D’autre part, on découvre aussi Léa, sa petite copine. Ce roman plonge dans les sentiments de ces deux adolescents, à cette période de leur vie où ils se posent beaucoup de questions sur l'avenir où ils vivent déjà des situations psychologiquement difficiles...
J’ai beaucoup aimé la mise en page de ce roman. On alterne entre des chapitres en prose du point de vue d’Antoine, des extraits de lettre qu’il écrit quand ça ne va pas et des messages vocaux que Léa, la copine d’Antoine, envoie à Lucie. Chaque prise de parole est facilement identifiable et apporte de la profondeur au récit et aux personnages. La plume de l'auteur est toujours aussi belle et prenante, psychologique et engagée.
Bien évidemment, j’ai pleuré. Mais c’est que je ne m’attendais pas à cette fin ! Comme d’habitude avec Olivier Adam, c’est un roman qui pousse les lecteurs à se questionner sur leur vie.
Afficher en entierCette lecture a été intense en émotions. Encore une fois Olivier Adam traite de sujets forts et lourds mais il le fait bien. On suit ici un jeune homme tourmentée par la mort de ses proches et ce qu'il aurait bien pu faire pour empêcher cela. Il a également de nombreux questionnement de son âge sur ce qu'il vaut vraiment. L'histoire est courte mais percutante. L'écriture de l'auteur et fluide, le roman se lit donc facilement malgré les sujets qu'il aborde. J'ai quand même eu un peu de mal par moment avec le langage très cru que l'on retrouve, voir un peu vulgaire mais comme on est dans la tête d'un adolescent de 17 ans cela peu se comprendre. La fin surprenante et émouvante. J'ai failli verser une larme mais j'ai été tellement surprise que cela n'a pas été le cas. En somme, il s'agit là d'une bonne lecture mais cela ne sera pas mon préféré de l'auteur.
Afficher en entierComme souvent avec Olivier Adam , le personnage principal est un homme semblant se tenir un peu en retrait de sa propre histoire, incapable de s'investir totalement dans ses relations à autrui , en particulier au niveau amoureux. Au fur et à mesure du récit , on va comprendre comment s'est construite sa personnalité , en réaction à un fait divers sordide survenu à son adolescence et qui a balayé toute ses possibilités de certitude. J'aime l'écriture d'Olivier Adam , toujours au plus près des failles de ses personnages, avec empathie et réalisme, dans des décors de bords de mer tour à tour apaisants , violents , brumeux et voilés comme peuvent l'être les sentiments de ses protagonistes.
Afficher en entierCe livre est mon premier Olivier Adam. Le titre m’interpellait et je voulais un livre qui me procure des émotions fortes, qui me transperce. Et c’est ce qui s’est passé. Beaucoup de sujets sont abordés dans ce roman : le deuil, les différences sociales ou encore de milieu, les relations toxiques, les rêves prémonitoires, la vie après la mort, le racisme, le handicap et ses conséquences sur une famille, l’homosexualité qui n’est pas toujours acceptée, les idées noires, la dépression … Je l’ai vraiment trouvé très riche en sujets de société. On y retrouve aussi beaucoup de questionnements (peut-on prévoir l’imprévisible ? L’amour peut-il dépasser les différences sociales ? Y a-t-il une vie après la mort ?).
J’ai aussi beaucoup apprécié le style d’écriture, les mots utilisés. J’ai d’ailleurs noté plusieurs passages. L’originalité tient aussi dans la mise en page : il y a une alternance entre les chapitres dans lesquels Antoine parle en « je », ceux dans lesquels Léa envoie des messages vocaux à son amie Lucie ou Antoine, des échanges de SMS et enfin les lettres écrites par Antoine à Tranh. Cela donne du rythme au récit et la différence est marquée par la typographie.
Ce fut une histoire qui m’a marquée, je n’ai pas vécu les différentes situations abordées mais je me suis tout de même attachée aux personnages et surtout à celui d’Antoine. Il a vécu des choses difficiles et a su avancer malgré l’adversité. Et aussi, j’ai pu comprendre à quoi ressemblait le quotidien d’un jeune homme qui fait des rêves prémonitoires. Je sais que c’est quelque chose qui existe.
Le suspense est vraiment soutenu : dès le début du roman, le lecteur se demande ce que signifient ces flammes. C’est un véritable page Turner en ce sens. Et cette fin, magistrale…j’ai eu littéralement le cœur en cendres. Je n’ai rien vu venir. On est vraiment baladé tout au long du roman…
Véritable coup de cœur !
Afficher en entierJ'ai découvert ce livre récemment et je dois avouer que c'était une lecture difficile dans un certain sens.
On aborde l'histoire d'une jeune fille qui disparait du jour au lendemain, et qui laisse dans son sillage une famille détruite. Ce qui m'a particulièrement plu, c'est qu'on ne s'attarde pas tant sur la disparition et sur ce qu'elle a vécu mais plus sur le ressenti de la famille qui a vu disparaitre leur enfant cru morte et puis, qui la vu revenir comme elle était partie - brusquement. Plusieurs sujets difficiles y sont abordées (certains plus profondément que d'autres) - les traumatismes liées à des séquestrations, l'homosexualité, l'intolérance, la culpabilité aussi.
J'aime particulièrement le fait d'avoir suivi le point de vue d'Antoine, petit frère de Léa. De voir à quel point une famille peut se déchirer lorsqu'elle est soumise à un tel drame. De voir aussi que le calvaire ne s'arrête pas uniquement après le retour d'une personne disparue. Il y a aussi l'incertitude quand à ce qu'elle a vécue, l'horreur qu'on doit ressentir au s'attendant au pire. L'incompréhension, dans un certain sens. L'impression qu'on ne saura jamais vraiment ce qu'elle a vécue et la volonté peut-être de ne pas vouloir le savoir.
C'était une lecture complexe mais qui m'a fait sortir de mes registres habituelles et qui m'a ouvert les yeux sur le fait que ce n'est pas parce qu'on retrouve une personne disparue que cela efface tous les traumatismes et les horreurs que certaines personnes a dû vivre. Il faut s'attendre à un travail de reconstruction qu'on n'oublie souvent de mettre en avant dans ce genre de scénario. La victime est peut-être sauvé de son ravisseur, mais elle ne le sera jamais vraiment de ce qu'elle a vécue.
Afficher en entierOn parle de Olivier Adam ici :
2018-04-24T19:05:47+02:00
2017-04-14T19:39:39+02:00
2014-08-19T11:24:10+02:00
2011-03-28T20:33:59+02:00
2011-03-18T22:25:37+01:00
2011-03-18T10:25:58+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Olivier Adam
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
L'Ecole des loisirs : 9 livres
Points : 8 livres
Flammarion : 8 livres
Pocket : 7 livres
Editions de l'Olivier : 5 livres
J'ai lu : 5 livres
Robert Laffont : 4 livres
Le Dilettante : 2 livres
Biographie
Nationalité : France
Né(e) à : Draveil , le 12/07/1974
Biographie :
Olivier Adam est né près de Paris. Il suit des études de gestion d'entreprises culturelles puis, après un "trou noir" de quelques années où il commence à écrire, il participe en 1999 à la création du festival littéraire "Les correspondances de Manosque".
En 2000, Olivier Adam publie aux éditions du Dilettante son premier roman, "Je vais bien ne t'en fais pas".
Il signe ensuite avec les éditions de l'Olivier où il publie "A l'Ouest "(2001), "Poids léger" (2002), "Passer l'hiver" (recueil de nouvelles, Prix Goncourt de la Nouvelle 2004 et Prix des Éditeurs 2004), "Falaises" (2005, sélectionné dans 13 prix littéraires sans obtenir aucune récompense) et "À l'abri de rien" (2007, Prix du Premier prix 2007 et favori du Prix Goncourt 2007). Entre-temps, en 2003, il devient directeur de collection aux éditions du Rouergue.
Parallèlement, Olivier Adam écrit aussi plusieurs ouvrages pour la jeunesse, publiés pour la plupart à l'École des Loisirs: "On ira voir la mer" (2002), "La Messe Anniversaire" (2003), "Sous la pluie" (2004), "Douanes" (2004, éditions Page à page) "Comme les doigts de la main" (2005) et "Le jour où j'ai cassé le château de Chambord" (2005). Il publie par ailleurs régulièrement des textes courts dans les revues littéraires et anime des ateliers d'écriture en milieu scolaire.
Pour le cinéma, outre la co-scénarisation de ses romans ("Je vais bien ne t'en fais pas" adapté en 2006 par Philippe Lioret, "Poids léger" adapté en 2004 par Jean-Pierre Améris et "Sous la pluie" en cours d'adaption par Patrick Goyette), Olivier Adam a co-signé les scénarios de "L'été indien" d'Alain Raoust (2007) et de "Maman est folle" de Jean-Pierre Améris (2007, téléfilm).
Depuis 2005, Olivier Adam vit avec sa compagne -- l'auteure de livres pour enfants Karine Reysset -- à Saint-Malo, où il partage son temps entre la littérature et le cinéma.
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