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Extrait ajouté par Ploudillon 2017-04-10T09:29:33+02:00

À quoi servaient les journaux ? À vous montrer qu’il existait dans le monde des gens encore plus malheureux que vous.

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Extrait ajouté par Ploudillon 2017-04-10T09:29:21+02:00

Les paupières closes, renversé sur mon divan, j’essayai d’imaginer le Diable. Une espèce de cinglé, avec des cornes et une queue fourchue, régnant sur des enfers de lave. Qu’est-ce qu’il devait s’emmerder.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-09-30T13:41:21+02:00

" Le Parlement, avait écrit un journaliste, est un vieux machin hybride composé d'un tiers de nains, d'un tiers d'humains et d'un tiers d'elfes, et coiffé d'une grosse meringue qui possède le droit de véto." C'était une définition assez réductrice et l'article n'avait pas été publié, mais il y avait tout de même là-dedans un fond de vérité.

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Extrait ajouté par petitspock 2018-11-08T20:19:41+01:00

La mort par les flammes, pourquoi pas ? Mais le truc un peu gênant avec cette méthode c’est que primo, vous risquez de mettre le feu à toute la maison (ce qui ne m’arrangeait guère dans la mesure où je comptais laisser une lettre d’explication) et que secundo, un type transformé en torche vivante a le plus souvent beaucoup de mal à garder son calme. C’est fou ce que le savoir-vivre passe au second plan dans ce genre de situation. Et moi, je ne tenais pas particulièrement à me donner en spectacle. Mon existence en général était déjà un spectacle.

Quoi qu’il en soit, le feu présentait tout de même pas mal d’avantages et de toute évidence, la question méritait une étude approfondie. J’attrapai ma plume et commençai à griffonner une liste.

De toute façon, ma décision était prise : j’allais me foutre en l’air. Au moins comme ça, il y aurait quelque chose de définitif dans ma vie. D’un certain côté, c’était rassurant.

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Extrait ajouté par Ploudillon 2017-04-10T09:29:49+02:00

Les pensées de Gloïn s’élevèrent dans la bruine comme des oiseaux volages puis disparurent dans les nuées, se mêlant à tous les songes vagues, à tous les soupirs engendrés par la ville. Peut-être était-ce pour cela que le soleil ne brillait jamais vraiment : trop de rêves lourds, trop de pensées dérivant sous le ciel gris indélébile. Derrière leurs fenêtres, les habitants de Newdon se terraient, semblables à de petits animaux apeurés.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-09-30T13:41:38+02:00

Sur les grilles rouillées de domaine Mordayken, une plaque de cuivre annonçait fièrement la devise familiale :

Putrefacio Vita Est

Pour le baron comme pour ses aïeux, la nécromancie était un art de vivre. Les goules et les zombies étaient ses serviteurs. Il possédait sa propre équipe de Quartek, composée exclusivement de morts-vivants. Il se trouvait en bon terme avec la plupart des vampires de Newdon. La Reine avait fait de lui son astrologue officiel, au grand dam de ses conseillers. En outre de puissants sortilèges nimbaient son domaine d'un halo protecteur, et la Mort elle-même, au nom sans doute de quelque pacte oublié, se tenait prudemment à l'écart. Les autorités avaient fini par baisser les bras devant les frasques successives des barons Mordayken. De toute façon, les souverains de Newdon nourrissaient à leur égard une certaine affection : Ils les jugeaient " distrayants "

Les barons Mordayken mangeaient des rats pour le petit déjeuner. Les barons Mordayken finançaient des trafic d'organes vitaux. Les barons Mordayken organisaient des parties fines sur les tombeaux de Haarlem. Ce n'est pas le genre de personnage à qui vous auriez confié une jeune fille vierge. Lorsqu'ils étaient en colère, ils faisaient pleuvoir sur Newdon des flopées de grenouilles écarlates. Lorsqu'ils étaient heureux, ils faisaient empaler leurs domestiques sans raison particulière. et se postaient au balcon de leur manoir en rêvant à d'improbables et très meurtriers incendies. En résumé, il n'y avait pas grand-chose à attendre d'eux sur le plan strictement humain. Même leurs chiens présentaient des problèmes de comportement : pour commencer ; ils avaient deux têtes.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-09-30T13:41:03+02:00

- Voyons déchiffrait péniblement Mordayken, euh, Par le grand feu sacré qui danse entre les monts, par les lueurs mauvaises qui sont autant de pont, par la v...

- Oh pitié

Le baron s'arrêta net.

- Qui a dit ça ?

- C'est moi, la dedans.

La voie semblait venir de la crypte.

- Moi ?

- Non, moi. Pas toi. Moi,le Diable.

Mordayken tomba aussitôt à genoux.

- Maître, chuchota-t-il, par quel étrange prodige ? Je veux dire, le rituel n'est pas terminé...

- Le rituel ? Oh, fait donc une pose Mordayen. Le rituel. Bon, sors-moi de là,maintenant, je commence à en avoir assez.

Le baron se redressa tout tremblant. Derrière lui, la goule qui lui servait de serviteur avait enfin réussi à se hisser sur la berge. Trempée, hors d'haleine, elle relevait péniblement la tête.

- Maître ?

- Oui ? demanda le Diable, qui pensa que ce titre lui était adressé.

- Oh, tu va la boucler ? Chuchota le baron furieux.

- De quoi ? fit le Diable.

- Non, ce n'était pas pour vous, maître.

- Pas pour me mettre ? Dis-moi, Mordayken, j'apprécie les bons mots, et je sais que le rire est le propre de l'homme, fut-il nain ou autre ou enfin bref, et je sais aussi que ça fait bien plusieurs milliers d'années que je suis coincé là-dessous mais tout de même,est-ce que tu ne voudrais pas aller un tout petit peu plus vite ?

- Tout de suite, maître, tout de suite ! répondit le baron, mille pardons, ô glorieux Prince de Ténèbres !

Il sautillait littérallement sur place tandis que son serviteur, encore tout dégoulinant, se relevait à ses côtés.

- Maître, chuchota la goule Nozdriov, j'ai perdu un doigt.

- Tu sais où tu peux te le mettre ?

- Comment ? fit le Diable.

- Non, je parle à ma goule, expliqua le baron.

- D'accord fit le Diable, qui commençait à perdre son calme. C'est parfait, c'est fantastique.

- Merci maître.

Un soupir de dix tonnes s'éleva de la crypte et retomba comme un soufflé.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-09-30T13:40:38+02:00

Après une attente interminable, l'un des lapins qui se trouvait en fait avec nous depuis un bon bout de temps se racla la gorge et prit la parole. Il portait un chapeau haut-de-forme , et ses oreilles pendouillaient de chaque côté.

- Bien. Je crois que nous sommes tous là. Est-ce-que certain d'entre vous ont été suivis ?

- Médicalement ? Demanda quelqu'un.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-09-30T13:38:47+02:00

-Qu'est-ce-qui s'est passé ? Demandais-je.

- Pour vous ou pour moi ?

- Pour toi. Pour moi, je suis au courant.

Horatius commença à lécher sa gamelle.

- Slurp, fit-il. Très simple. Pendant que vous étiez endormi,le dragon m'a – slurp – demandé de l'aider à, vous savez : Attraper un rhume.

-Mmh. Et tu l'as fait ?

L'ogre hocha la tête.

- Pourquoi pas ? Vous roupilliez comme un loir. Et ça avait l'air important. Sans compter que je me disais comme ça, Horatius, mon vieux, c'est la Mort en personne qui te demande un service. Alors peut-être que ce serait pas mal vu de refuser. Vous pigez le truc ?

Je fis signe qui oui.

- Alors je suis sorti et j'ai commencé à réfléchir.

Aïe, me dis-je.

- Je me suis dit comme ça ; Horatius, quel est l'endroit le plus froid que tu connaisses ? L'endroit où tu aimerais surtout pas être en ce moment ?

- L'école ? Hasardai-je.

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Extrait ajouté par x-Key 2011-01-15T13:38:59+01:00

- Vos lacets sont défaits.

L'elfe baissa lentement les yeux. Ses lacets ? Mais il était pieds nus !

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